Diabète de type 2 : favorisé par certaines bactéries du microbiote
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Une dernière pour la soirée http://www.prescrire.org/fr/101/325/47324/0/PositionDetails.aspx voilà de quoi se rassurer sur les médicaments, nous pouvons choisir de quels maux nous voulons souffrir. La panacée ne s'y trouve pas, hélas.
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Avant de chercher à guérir quelqu'un, demandez-lui s'il est prêt à renoncer aux choses qui l'ont rendu malade.” - Hippocrate
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Tu vas rire @Gbretagne mais comme j'avais lu dans Prescrire justement les inconvénients d' une molécule qu'on venait d'ajouter à mes autres anti-diabétiques, j'ai franchement dit à ma doctoresse que la revue en question n'était pas favorable au Galvus. Oh! me répondit- elle si l'on devait s'en tenir aux avis de "Prescrire" on ne donnerait plus rien! C'est pas beau,ça? Bonne soirée
!
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@maritima tu as raison il vaut mieux en rire plutôt qu'en pleurer. Mais tout de même a qui pouvons faire confiance ! Bonne soirée à toi et tes petits 
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@Maritima @Gbretagne
Je me sens un peu quelque part responsable de cette polémique . Il y a quelques Mois , j'aurais dû garder secrète ma décision de prendre de la Berbérine . J'ai peur d'avoir influencé certains d'entre vous dans le mauvais côté des choses . Je dois préciser que mon Diabète a été décelé le premier mois de son apparition . Deux mois avant tout était parfait . J'ai pris de la Metformine les premiers mois mais je le dis et le répète que pour ma Diabéto , c'est mon hygiène de vie et mes longues marches qui ont fait quatre vint pour cent du traitement . En décidant de prendre de la Berbérine après de nombreuses recherches sérieuses , j'ai considéré que je ne risquais pas grand chose . Durant des mois tout a été parfait , mais à présent que les douleurs ont pris le dessus , j'ai un doute . Je suis moins mobile et je préfère assurer . Ce n'est pas très compliqué à comprendre .
Je ne veux pas te faire de la peine ma chère amie @Maritima
mais je dois avouer que @James 42a compris ma démarche et je l'en remercie .
Je vous souhaite une bonne soirée et soyez indulgent les uns envers les autres . 
Quand aux Labos Pharmaceutiques , je connais par mon Mari . Trente six Ans auprès d'un Pharmacien , cela laisse des traces . 
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@lilas blanc Mais non Lilas! pourquoi garder secrète ta décision de prendre de la Berberine? Au contraire, en en parlant tu as ouvert un débat que perso, je ne considère pas comme une polémique stérile mais comme un échange d'arguments et même si ceux-ci ne débouchent pas sur une certitude, ils ont le mérite de permettre de s'interroger. Non, mon amie, tu ne me fais aucune peine : ta démarche t'appartient et je reconnais aussi que les arguments de @james42 ne sont pas sans fondement( même si je lui en oppose d'autres!)
J'ai peut-être ,au sujet de la Metformine un vieux contention à régler, vu qu'on me l'avait supprimée un temps car elle m'avait provoqué une insuffisance rénale modérée mais irréversible et qu'ensuite on m'en avait quand même represcrit ( en quantité moindre certes mais .....je m'en méfie). Donc, comme toi Lilas, je crois que je ne risque pas grand chose avec la Berberine mais ....dès que j'aurai un doute, je serai la première à arrêter. C'est ce que j'ai déjà fait avec les statines( Tahor)qui franchement ne me réussissaient pas.
Rassure-toi Lilas et tu vois, je te remercierais plutôt d'avoir permis ce débat. Douce journée si tes douleurs veulent bien te laisser un peu tranquille.
et caresses à ton petit
.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@Maritima Ton commentaire mon Amie fait preuve d'intelligence et d'ouverture d'esprit , comme toujours d'ailleurs . Non , tu ne risques rien à essayer la Berbérine . En fonction de tes résultats dans trois Mois , tu feras le point . Je te conseille de commencer après ta prise de sang de Septembre pour L'HG afin d'avoir après un résultat plus juste .
Pour les statines ( tahor ) ma diabéto et mon médecin voulait m'en prescrire en prévention ( Je n'ai pas de cholestérol ) J'ai refusé .
Je te souhaite également une douce journée . Guizmo se porte à merveille . Je suis heureuse de l'avoir .
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@lilas blanc Je te remercie de tes commentaires et je suis dans le même état d'esprit que @maritima et en parfait accord avec ce qu'elle écrit c'est une femme sensée. Non ce n'est pas une polémique tout juste un échange d'idées pour que chacun puisse réfléchir à ses priorités. Ne craint rien tu ne m'as pas influencé, cela fait presque 2 ans que je me renseigne sur la berbérine. En avril j'ai eu un gros clash avec l'onglyza qui m'a fait sauter le pas. après 4 mois les résultats de l'HG étant en nette amélioration j'ai décidé de continuer dans 2 mois et demi une nouvelle HG, je verrai l'attitude à avoir vis à vis de la berbérine. A chaque jour sa peine et ses petites bonheurs, et vivre au jour le jour, m'aide à ne pas trop me focaliser sur cette satanée maladie. Des douleurs j'en ai aussi mais la berbérine n'est pas en cause je les avais déjà bien avant. Encore merci, des personnes qui font part honnêtement de leur expérience comme tu l'as fait, c'est très utile pour le moral. 
A bientôt
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Utilisateur désinscrit
Certaines bactéries intestinales induisent la résistance à l'insuline, et donc la survenue d'un diabète de type 2. Une découverte qui ouvre la voie au développement de nouveaux traitements.
Plus de 100 000 milliards de micro-organismes vivent dans l’intestin. Cette gigantesque colonie de bactéries compose le microbiote, ou flore intestinale. Un organe à part entière, notre "deuxième cerveau", selon certains experts. Propre à chaque individu, il se forme dès la naissance au gré de notre alimentation, prise médicamenteuse… Il peut également être source de troubles graves comme le diabète. Une équipe européenne, impliquant l’Institut national de recherche agronomique (Inra), vient en effet de montrer que le microbiote contribuait à la résistance à l’insuline, et donc à l’apparition du diabète de type 2. Ces résultats ont été publiés lundi dernier dans la revue Nature.
Près de 5 % de la population française est affectée par le diabète de type 2. Les patients atteints de cette maladie présentent une glycémie très élevée et développent souvent une résistance à l’insuline. Alors que leur organisme produit cette hormone, les cellules n’y sont plus sensibles et ne parviennent plus à stocker le sucre. Résultat : le sucre reste dans le sang et endommage les organes, entraînant notamment des pathologies cardiovasculaires.
4 espèces mises en cause
De nombreux travaux ont suggéré un lien entre une dérégulation du microbiote et l’apparition de cette maladie métabolique. « Les scientifiques ont notamment mis en évidence, chez les personnes diabétiques ou pré-diabétiques, des taux élevés d’acides aminés branchés ou BCAA, explique l’Inra. Ces BCAA sont des acides aminés essentiels qui proviennent de l’alimentation ou des bactéries de notre microbiote ».
Pour connaître l’origine de ces molécules, les chercheurs du programme européen MetaHIT coordonné par l’Inra ont examiné le plasma et des prélèvements de selles de 277 personnes non diabétiques et 75 diabétiques. Leurs observations confirment que plus le taux de BCAA est élevé, plus l’insulino-résistance augmente.
En outre, l’analyse du microbiote met en évidence 4 espèces microbiennes impliquées dans la synthèse ou l’utilisation de ces BCAA. « Prevotella copri et Bacteroides vulgatus sont associées à la biosynthèse des BCAA et donc à la résistance à l’insuline. Butyrivibrio crossotus et Eubacterium siraeum sont, quant à elles, impliquées dans le transport et l’utilisation de ces acides aminés et contribuent à diminuer leur taux dans le sang », indique l’Inra.
Rééquilibrer la flore
Toutefois, le rôle exact de ces bactéries intestinales n’est pas clair. Aussi, les chercheurs ont décidé d’étudier Prevotella copri chez la souris. Ils ont alors démontré que cette bactérie induisait la résistance à l’insuline et augmentait la quantité de BCAA dans le sang des cobayes. Un résultat qui ouvre des perspectives prometteuses. « Si Prevotella copri est un facteur de risque d’insulino-résistance chez l’homme, la prochaine étape consiste à moduler et diminuer cette bactérie pour atteindre un équilibre optimal entre les espèces bactériennes de notre microbiote et optimiser notre alimentation », explique l’Inra.
A l'inverse, une étude menée par l'Inserm et parue en août dernier montrait que le microbiote jouait un rôle protecteur contre l'apparition du diabète de type 1, une maladie auto-immune qui s'attaque aux cellules du pancréas et empêche la production d'insuline.
Source : pourquoidocteur.fr
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