Et si on commençait par le début tout simplement

 coucou, je viens de lire ton histoire, pas de mots, je te serre très fort sur mon coeur, je n' ai pas le même courage, que toi,...je n' arrive pas à vous parler, ou peu, je tourne en rigolades, ça m' arrange!!!CHAPEAU à TOI ET BISOUS JE COMPRENDS MIEUX TON POST DE CE MATIN.

bonjour moi mon histoire est tres longue elle a commence avant que je naisse je suis ne d une rencontre illegitime donc pas accepter des ma naissance j ai ete placer a la dass a 2 ans j ai eu la tuberculose j ai ete 1 an en sanatoruim  j ai ete adopter a 3 ans mais j etait la petite poupee de la maison quand je suis arrier 4 jours avant mon anniversaire je ne disais pas um mots jamais parler avant  le jours de mes 3 ans j ai sortiela premiere phrases papa maman et la fille sonia j ai ete heureuse a peu pres jusqu a mes 7 ans enfin jetait toujours la poupee toujours la plus belle pas une tache sur mes habits et toujours ala mode ma mere a ete operer et apres pour moi descente aux enfers ma mere bourrer d hormones et progesterones elles etait folle je me faisais taper par ma mere pour un rien quand je faisais pipi au litelle m attachait aux barreau de mon lit et me tapais dessus jusqua remps qu elle etait fatiguer mon pere dormais deja ou aux boulot  et je restais dans mon pipi le lendemain j avais droit a la douche pour pas que je sente mauvais belle tenue et rien ne ce voyait tout etait cacher elle rentrait de +en + tard malgre que j allait prendre une voler jel attendais  souvent elle passait ces nerfs sur moi je continuerait plus tard j ai du mal a continuer 

C'est déjà bien courageux ma belle, un bon début, je suis fière de toi moi ! Et maintenant je comprends mieux ce que tu m'as dis en mp ;)
Très fière de toi, je suis toujours là si tu veux parler tu le sais bien ;) bizz 

oh copinegateaux...comme je te comprends.....sèches ou laisse partir tes larmes....car je t'imagine face  à cet écran...et nous toutes simples derrière...te soutenant et te comprenant.....tu continues si tu peux, si tu veux , quand tu veux....

bises et je comprends...ta venue sur ce sujet....toutes des "mères courages" ...qui n'ont rien demandé à leur naissance...alors pourquoi...cette attitude des adultes ?? le pire...reverser son mal être sur l'enfance innocente....

Copinegateaux,

Merci infiniment d'avoir eu le courage !

Je t'embrasse

je continue le dernier noel passer en famille 70 mon pere et ma mere ce sont engueuler cela n etait jamais arriver j ai eu tres peur cela c est calmer et le 10 janvier re engueulade mais la ma mere a cracher tout son venin j assistai a la scene cela volait de partout mon pere lui as balancer une claque et elle a fait venir le medecin de famille pour qu il declare que mon pere avait taper sur elle elle a eu un certificat et une incapaciter de travail 3 jours  et le 11 janvier elle foutait le camps c est une voisine qui ma dit que ma mere avait mis les bouts  avec sa valise et beaucoups de chose  son ami est venu chercher la voiture avec elle apres elle avait dit des paroles a mon pere tres provoquante  du genre qu il etait coccue depuis longtemps j ai courrue pour la rattrapper et je suis tomber sur une lettre a la maison ou elle disait qu elle portait plainte contrelui  apres je suis rester avec mon papa et mon grand pere et ma peau de vache de grand mere le jour de mes 10 ans elle a demander a mon pere quand est ce qu il me renvoyait d ou je venais et la mon grand pere et mon pere lui ont dit maintenant quel est la elle resteras  le 2 eme enfer commençait pour moi elle m en faisait ch tout les jours elle m avait deja confier aux bonnes soeurs de la commune 1 tres bien mais l autre pareille que ma grand mere mais la par contre je n avait plus de coups  a 12ans pension un jour ma mere est venue avec son avocats carelle voulait que j aille vivre avec qu elle l avocat ma pris toute seule avec lui et je lui est dit que je restait ou j etait le tantot je faisais ma 1 ere ts avec les comprimes de la bonne soeur  excuser moi je ne peu finir encore 

il faut lire 1970 

Mocouk, je viens juste de lire ton témoignage et je te remercie d'avoir eu le courage de nous parler de ton parcours

cela est plus facile après pour échanger nos émotions .Je trouve que tu as beaucoup de courage pour continuer à travailler et de pouvoir positiver sur ta situation.c'est bien,moi,je n'y arrive pas encore.

Copinegateaux,

Merci de ton témoignage, j'imagine à quel point cela doit être difficile de remuer tout ça, et le courage qu'il t'a fallu pour aller de l'avant. Je t'embrasse très fort car j'ai le sentiment de ne pouvoir faire que ça pour toi après avoir lu tes écrits.

Hey ma belle COPINEGATEAUX je suis trop fière de toi, tu vois que c'est sorti, c'est de ça que je te parlais hier, écrire tes douleurs, tes émotions, ça libère ! ça n'efface pas la rage, le chagrin ... mais c'est un moyen de dire MERDE ! à ton vécu, de te rebeller, et une fois que tout sera sorti, tu seras encore plus fière de t'être exprimée en public et tu auras bien raison !!!!

MARIEP ce n'est qu'une infime parti de mon histoire, Mais mon vécu je la raconte très facilement maintenant. Parce qu'après de multiples coups, et ts, j'ai une certaine fierté (celle dont je parle à COPINEGATEAUX) d'être arrivée où je suis arrivée et de faire ce que je fais, ça a été un parcours semé d'embûches et douloureux, mais je sais ce que je suis, je me suis retrouvée et je m'étonne même encore de voir comment j'arrive à prendre les choses maintenant, ça me travaille largement moins qu'avant, donc je continue à avancer et à travailler sur moi, c'est cool :) J'arrive maintenant à être sensible tout en faisant la part des choses, et à me remettre en questions tout en me disant que tout n'est pas de ma faute, je n'y arrivais pas y'a encore un an. Mes métiers aident beaucoup à cela aussi, même si je n'en suis pas moins humaine et que la souffrance des autres (dont mes patients) me touche, j'arrive à me détacher, et maintenant au boulot je suis appréciée des patients pour ça (écoute, disponibilité, et pas à regarder ma montre toutes les 2min en me disant "j'ai pas le temps d'écouter je vais couper court à ce que me dit le patient") Puis je  relativise ma souffrance en voyant la souffrance de mes patients