Et si on commençait par le début tout simplement

Bon courage Kikoulo et prends bien soin de toi

Pas tout à la fois

Bises

je vous dit simplement douce nuit les larmes plein les yeux!! comme..... hier......

combien d'étapes de ce genre???? combien????

Merci,

Douce nuit Kikoulo, nous sommes là pour toi  

Courage

Merci Kikoulo.

Pas de soucis Gigi : fais une pause !

Bisous.

angelina...laisse un peu de temps (ou pas si tu penses que ces conversations lui font aussi du bien...) bises

bonjour à toutes

voila j'ai lu tous vos commentaires sur la fybromialgie,je ne connais pas cette maladie,vous seriez sympa

si vous acceptiez de m'en dire plus si je demande ça c'est par ce que tous les symptômes que vous décrivez je les aient,à bientot

manuella87

Bonjour Manuella,

Il te suffit d'aller dans tous les sujets concernant la fibromyalgie.

Bon courage et bonne lecture.

Bel après-midi

bonsoir à toutes

je viens de lire tous vos commentaires,je suis l'ainée de six enfants,souffre douleur de ma mère,qui ne m'aimait pas,au moindre truc c'était des coups pourtant je faisais tout pour etre "gentille"pour qu'on m'aime,!même à l'école j'etais le souffre douleur,j'etait toujour dans mon coin tremblant de peur,à l'aldolecence j'ai fait plusieures tentative de suicide un appel au secour qui n'a jamais était entendu,sauf par ma grand-mère que j'adorais,elle est tombée malade et est décédé alors que j'avais 16 ans,j'ai été anéantie,j'ai mis du temps à m'en remettre,à l'age de 18 ans mon père m'a presentais un jeune homme,qui semblait bien sous tout rapport,on s'est marié et le jeune homme bien sous tout rapport s'est révélé etre un monstre,j'etait"sa chose"pour un oui ou pour un non il me battait,psychologiquement il m'avilisait il m'humilié en public,grosse dépression,et cette sensation d'etre toujour fatigée les douleur qui ont commencée,je ne disais rien,j'avais peur je pleurais en cachette tellement j'avais peur,je suis tombée enceinte mais rien n'a changé,ni pendant la grossesse ni apres,j'ai 3 enfants qui les pauvre n'ont pas eus une belle enfance,quand ils ont pu comprendre ils ont essayez de me défendre,c'etait atroce ils ont tapé leur père,la ça allait trop loin il fallait que je défande mes enfants j'ai demandais le divorce et la j'ai cru qu'il allait me tuer,plus de souffre douleur,et puis tout allait etre découvert,il était gendarme,j'ai tenu bon et un jour je l'ai retrouvais pendu avec une lettre ou il demandais à ce qu'on m'enlève mes enfants il expliquait que j'etais une mère indigne que je courais les hommes ect...ce genre de décés est catastrophique pour une personne dépressive j'était anéantie je ne tenais pas debout,j'avais mal,ma belle mère qui ne m'aimait pas et ma mère ont demandais une enquete "de moralité" heureusement pour moi les gendarmes n'ont rien trouvés j'avais ma concience pour moi mais j'etais habituée aux humiliations,le jour de l'enterement de mon mari ma belle mère et ma mère m'ont prise à partie dans l'église et au cimetière,elles m'ont giflé me traitant d'assassin,je ne pouvais pas réagir je me suis sentie tres mal je me suis reveillé à l'hôpital la premiere chose j'ai demandais mes enfants,on m'a répondu qu'ils etaient en sureté,la gendarmerie s'était occupé de tout,on m'a fait une batterie d"examens pour voir d'où venait cette fatigue et ces douleurs "rien"j'ai signais un décharge je voulais retrouvais mes enfants,mais ma vie n'a pas été facile le venin avait été dispatché,à ce momment la mon père est tombé malade"la maladie de Charcot"contre laquelle il n'y a rien à faire,le regarder partir d'une façon horrible toutes les fonctions vitales qui claquait les une après les autres,j'essayais d'etre auprès de lui le plus souvent possible ma mère à bien essayais de s'interposais mais quand elle a vu ma réaction et celle de mon père elle a du s'incliner,un soir je me souviens il était 11 heure mon père à eu une crise il avait du mal à respirais c'était horible à voir,on a appelez le mèdecin qui l'a fait hospitaliser,il est rentre à l'hospital  à 1 heure du matin,j'etait avec lui j'ai refuser de partir comme les médecins nous invitez à faire,je suis restais à ces cotes lui tenant la main,de temps en temps il donnait une pression,il respirais tres mal,je me suis mise à priais"moi qui ne suis plus croyante"vers 3 du matin sa main à laché la mienne,son soufle s'est atenué et puis plus rien il était partit à 54 ans,le chagrin m'a terassé,et encore une fois cette grande fatigue et ces douleurs j'avais du mal à marcher mais je n'ai rien dit,après l'enterement ma mère m'a dit"je ne veux plus te voir"je n'ai plus de famille j'ai trimé pour donner une situation à mes enfants,pour mes douleurs un jour ça vas un jour ça vas pas,quand ça ne vas pas j'ai tellement mal que j'en crirais,je ne sors pratiquement plus de chez moi

quelqu'un pourais t'il me repondre...

manuella87

Quelle est ta question ?

Manuella tu t es toujours battue, ton parcours a été plus que terrible. Je te comprends, continue à te battre, l'espoir va revenir, repart à la conquête de toi-même et fais toi aider par une psychiatre, fais lui confiance. Bisous