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Dépression et fibro
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GIGI
Bon conseiller
Oh que oui, Camellia ! Ce sont certainement les deux plus fréquents facteurs déclenchant
Bon courage
Utilisateur désinscrit
Camellia, chez moi les baisses de moral sont provoquées par la fatigue et vice versa. Et le tout peut déclencher, mais pas obligatoirement un pic de douleur. Une crise c'est autre chose
Camellia
Bon conseiller
Merci de vos infos les filles !
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Camellia - «Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n’abandonnent jamais»
kikoulo
Bon conseiller
pour moi Camelia mais c'est "mon experience"!! un stress, une contrariété, une grande joie,je sais que dans 3 jours je suis au lit!! je le sais mais doit accepter de vivre ainsi!!
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YLES56
Camellia
Bon conseiller
Merci Kikoulo ! Bonne soirée !
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Camellia - «Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n’abandonnent jamais»
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blandi63
Je vous mets un article que j'ai trouvé sur un site profesionnel (médical et para), je ne peux vous donner le lien car pour y avoir accès il faut être du milieu médical.
Une dépression dans le sillage d’une infection ?
On suppose depuis longtemps qu’il peut exister un « lien causal » entre une infection aiguë et une dépression sévère. S’appuyant sur des informations disponibles dans les grandes bases de données de la littérature médicale (Embase, MEDLINE, PsycINFO et PubMed), une recherche australienne s’efforce de jauger cette hypothèse récurrente d’une composante infectieuse ou inflammatoire dans le déterminisme de la dépression et d’examiner les mécanismes physiopathologiques concernés.
Les résultats des études rétrospectives suggèrent effectivement « une association entre une infection et des perturbations thymiques subséquentes, y compris une dépression sévère », et cette association a été « confirmée par des études utilisant des modèles prospectifs. » Les preuves disponibles relèvent d’une « assise multifactorielle de vulnérabilité à la dépression, dans un contexte d’infection aiguë » où divers éléments (génétiques, neuroendocriniens, psychosociaux…) peuvent, chez certains individus, « interagir pour potentialiser la probabilité d’une réponse dépressive sévère et prolongée à un facteur de stress immunitaire. » Les auteurs estiment que ces perturbations thymiques seraient peut-être susceptibles de « jouer un rôle protecteur » pour le sujet souffrant d’une maladie infectieuse. Mais cette « réponse adaptative » habituellement réversible et de courte durée peut parfois se prolonger et s’aggraver chez des personnes vulnérables, en débouchant sur une situation « plus marquée et sévère de modifications comportementales et physiologiques » caractéristiques d’une grave dépression.
De plus amples recherches sont nécessaires pour préciser les facteurs prédisposant à cette évolution dépressive dans le sillage d’une maladie infectieuse aiguë, avec bien sûr l’arrière-pensée d’élaborer de nouvelles stratégies de prévention ou/et de traitement efficaces où une maîtrise thérapeutique de cette éventuelle dimension anti-inflammatoire et anti-infectieuse pourrait alors présenter un impact antidépresseur.
Dr Alain Cohen