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N'hésitez pas à faire valoir vos droits !
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Posté le 07/08/2018 à 19:13
Merci de votre réponse @maya78 ! J’essaye d’arreter De nouveau mais honnêtement l’envie n’es plus la pour le moment :( j’ai rendez vous demain avec mon médecin je vais lui parler de tout sa .
bonne soirée à vous
Posté le 07/08/2018 à 19:16
Merci @ledalle je vois mon médecin traitant demain pour voir si une reconnaissance travailleur handicapée es possible ou non . Mon pneumologue a déjà reconnu la bpco .
Je vous tien aux courant après mon rendez vous demain soir .
Bonne soirée .
Posté le 07/08/2018 à 19:22
@Tacha96 ledalle
il te faut te faire reconnaitre en a l d auprès de ton géneraliste pour êtres a 100% tu y a droit
a l d
Affection Longur Durée bonne soirée Dan
Posté le 02/05/2019 à 12:07
Bonjour
Je viens de découvrir que j'ai un asthme chronique alors que je travaillé normalement(responsable de rayon ) mais avec une genne respiratoire et une fatigue de malade bref moi je me disais que c'est due au travail et l'effort j'ai été chez l'allergologue a découvert que j'ai une allrégie au acariens et un courrier en urgence chez un pneumologue la en a détecté mon asthme après avoir passé le test respiratoire donc le pneumologue ma donner un certificat médical qui dis que je suis incapable de travail la ou il ya de la poussière et différents températures sachant que je suis tout le temps en contact avec les cartons et la chambre froide je suis perdu pourriez-vous m'orienter svp
Merci
Posté le 04/05/2019 à 09:49
@Sabrose bonjour
la première chose à faire est de vous faire reconnaître travailleur handicapé par la mdph . téléchargez un dossier sur le net ou allez le chercher à la mdph de votre ville . faites vous aidez par votre médecin .
c'est long ! il faut attendre plusieurs mois pour avoir la réponse .
ça serait bien aussi de voir la médecine du travail .
Posté le 05/05/2019 à 09:57
Merci maya 78 pour vôtre réponse
meme si je sort au chômage je peux suivre mes démarches au tant que chômeur
Posté le 05/05/2019 à 10:02
@Sabrose bonjour
oui bien sur mais surtout ne quittez pas votre emploi . ne dites rien de votre état tant que vous n'avez pas vu la médecine du travail . parce que le mieux est d’être licenciée pour inaptitude . (financièrement)
Posté le 03/01/2020 à 12:20
@Laurette89 bonjour laurette, je viens de te lire, je souhaite savoir comment tu vas, voila, je viens de savoir également que je suis bpco, mais depuis plusieurs années je suis asthmatique et en 2019 je me suis fait opérer des 2 kystes cervicale, conclusions après avoir retirer les nodules on m'a détecter un cancer de la thyroide.
merci
Posté le 30/01/2020 à 11:23
La mention "non substituable" n'est plus opposable
Depuis le 1er janvier 2020, de nouvelles dispositions légales visent à favoriser le recours aux médicaments génériques en incitant (obligeant serait plus correcte) à la substitution.
Désormais, le médecin doit obligatoirement préciser sur l’ordonnance, en plus de la mention «non substituable», la raison médicale qui justifie sa décision de ne pas autoriser la substitution par le pharmacien. Cette décision doit être fondée exclusivement sur l’une des 3 situations médicales visées par l’arrêté ministériel du 12 novembre 2019, publié au Journal officiel du 19 novembre 2019.
Ce texte prévoit 3 situations médicales qui peuvent justifier un refus de substitution et autoriser le recours à la mention « non substituable » :
MTE - prescription de médicaments à marge thérapeutique étroite pour assurer la stabilité de la dispensation, lorsque les patients sont effectivement stabilisés avec un médicament, et à l’exclusion des phases d’adaptation du traitement ;
EFG - prescription chez l’enfant de moins de 6 ans, lorsqu’aucun médicament générique n’a une forme galénique adaptée et que le médicament de référence disponible permet cette administration ;
CIF - prescription pour un patient présentant une contre-indication formelle et démontrée à un excipient à effet notoire présent dans tous les médicaments génériques disponibles, lorsque le médicament de référence correspondant ne comporte pas cet excipient.
L’arrêté restreint également la première situation médicale (MTE) à certains principes actifs.
Il s’agit de :
lamotrigine, lévétiracétam, pregabaline, topiramate, valproate de sodium et zonisamide (des antiépileptiques),
lévothyroxine (une hormone thyroïdienne),
azathioprine, ciclosporine, évérolimus, mycophénolate mofétil et mycophénolate sodique (des immunosuppresseurs),
et buprénorphine (un traitement substitutif aux opiacés).
La mention « non substituable » et sa justification doivent apparaître sur l’ordonnance pour chaque médicament prescrit et pour chaque situation médicale visée.
Dès lors, pour les génériques qui sont néfastes à certains d'entre nous, les personnes concernées seront désormais contraintes de faire l'avance des frais de médicaments prescrits même dans le cadre d'ALD et ne pourront prétendre qu'à un remboursement sur la base du coût des génériques.
Il y a obligation d'adresser chaque mois des feuilles de soins afin d'obtenir le remboursement partiel des frais de médicaments avancés.
Encore une fois les autorités, par seul souci d'économie, optent pour le sacrifice des malades et leur "paupérisation" à terme.
Bravo à nos "dirigeants"........!!!!!!!