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Bonjour Ă  toutes

Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.

Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.

La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tùches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.

Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dÚs qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.

Alors peut ĂȘtre que c'est ça le secret....penser Ă  soi!E n tout cas chez moi ça a marchĂ©.

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Compte tenu des diffĂ©rents symptĂŽmes de la maladie, j’ai essayĂ© de catĂ©goriser les traitements possibles selon les atteintes.

💊 MĂ©dicaments sur ordonnance : en cas de poussĂ©e, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de mĂ©dicaments pour soulager la douleur :

-              Antalgiques : du type paracĂ©tamol ou paracĂ©tamol codĂ©inĂ© (selon l’intensitĂ© de la crise)

-              Anti-inflammatoires + omĂ©prazole : afin de soulager ponctuellement Ă  l’inflammation

-              Anti-dĂ©presseurs : certains mĂ©dicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.

Pour tous ces mĂ©dicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilitĂ© et vos besoins.

đŸŠđŸ»â€â™‚ïž PhysiothĂ©rapie : le sport est d’importance primordiale pour rĂ©duire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activitĂ© pour ne pas crĂ©er l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :

-              La natation :  deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.

-              La kinĂ©sithĂ©rapie : je vous conseille de consulter un kinĂ©sithĂ©rapeute du sport qui saura vous construire un programme adaptĂ© Ă  vos besoins et Ă  l’état actuel de votre spondylarthrite.

La maladie Ă©tant imprĂ©visible, la pratique du sport peut donner lieu Ă  des scĂ©narios trĂšs diffĂ©rents : vous pouvez avoir mal durant l’entraĂźnement et ne plus avoir mal aprĂšs, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc
 Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une lĂ©gĂšre douleur pendant l’entraĂźnement peut ĂȘtre acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre sĂ©ance si la douleur est insupportable.

🧮 CrĂšmes : plusieurs crĂšmes sans ordonnance peuvent ĂȘtre pertinentes pour remĂ©dier aux douleurs, notamment pĂ©riphĂ©riques (genoux, talons etc
) :

-              Baume du tigre rouge : naturel et agrĂ©able avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvĂ©nient de tĂącher vos vĂȘtements Ă  cause de sa couleur.

-              Voltaren Actigo.

🧊 Douches froides : certes peu agrĂ©ables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est prĂ©fĂ©rable de les prendre l’aprĂšs-midi ou le soir et de privilĂ©gier les mois chauds.

💡 Mon conseil ultime : crĂ©er une fiche avec chaque douleur rĂ©pertoriĂ©e, et les traitements associĂ©s pour y remĂ©dier. Cela vous aidera vous, mais Ă©galement vos proches s’ils doivent vous aider.

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Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.

Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.

La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tùches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.

Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dÚs qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.

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Compte tenu des diffĂ©rents symptĂŽmes de la maladie, j’ai essayĂ© de catĂ©goriser les traitements possibles selon les atteintes.

💊 MĂ©dicaments sur ordonnance : en cas de poussĂ©e, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de mĂ©dicaments pour soulager la douleur :

-              Antalgiques : du type paracĂ©tamol ou paracĂ©tamol codĂ©inĂ© (selon l’intensitĂ© de la crise)

-              Anti-inflammatoires + omĂ©prazole : afin de soulager ponctuellement Ă  l’inflammation

-              Anti-dĂ©presseurs : certains mĂ©dicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.

Pour tous ces mĂ©dicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilitĂ© et vos besoins.

đŸŠđŸ»â€â™‚ïž PhysiothĂ©rapie : le sport est d’importance primordiale pour rĂ©duire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activitĂ© pour ne pas crĂ©er l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :

-              La natation :  deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.

-              La kinĂ©sithĂ©rapie : je vous conseille de consulter un kinĂ©sithĂ©rapeute du sport qui saura vous construire un programme adaptĂ© Ă  vos besoins et Ă  l’état actuel de votre spondylarthrite.

La maladie Ă©tant imprĂ©visible, la pratique du sport peut donner lieu Ă  des scĂ©narios trĂšs diffĂ©rents : vous pouvez avoir mal durant l’entraĂźnement et ne plus avoir mal aprĂšs, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc
 Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une lĂ©gĂšre douleur pendant l’entraĂźnement peut ĂȘtre acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre sĂ©ance si la douleur est insupportable.

🧮 CrĂšmes : plusieurs crĂšmes sans ordonnance peuvent ĂȘtre pertinentes pour remĂ©dier aux douleurs, notamment pĂ©riphĂ©riques (genoux, talons etc
) :

-              Baume du tigre rouge : naturel et agrĂ©able avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvĂ©nient de tĂącher vos vĂȘtements Ă  cause de sa couleur.

-              Voltaren Actigo.

🧊 Douches froides : certes peu agrĂ©ables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est prĂ©fĂ©rable de les prendre l’aprĂšs-midi ou le soir et de privilĂ©gier les mois chauds.

💡 Mon conseil ultime : crĂ©er une fiche avec chaque douleur rĂ©pertoriĂ©e, et les traitements associĂ©s pour y remĂ©dier. Cela vous aidera vous, mais Ă©galement vos proches s’ils doivent vous aider.

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