" Mémoires en cavale du p'tit homme "

...Vol de données informatique au laboratoire du Dr Nearth, La photo d'Anatoly  en première page, Quoi, merde, je l'ai rester seul, baliverne, je dois le rejoindre........chaque fois que je refuse l a  compagnie d'un ami ou de sa présence,  il deviens en danger éminant de la Haute autorité.  Pourquoi n'ai-je faites le lien? Chaque personne,  risquant  leur vie,  pour me venir en aide, un malheur s'abattait sur eux.  Bon ou vais-je le  retrouver, il m'a parlé au bord de l'eau ,sur le sable fin . Je vais pendre cette direction, Une soirée au clair de lune, éclairait les bords du rivage, me permettant de  distinguer  la nature morte que mon œil pouvait distingue....

... Le vent s'engouffrait dans ma parka, il était glacial. J'avançais décidément, l'affrontant de mon mieux. Le sable voltigeait et je n'avais rien pour protéger mon visage. Tobby avait également beaucoup de mal à progresser, je décidai de faire demi tour pour nous mettre à l'abri quand...

...

....passe.  La chance est avec vous messieurs, ce n'est que superficiel, le couteau n'a atteint aucun organes vitaux,une coupure longue mais nécessitant 30 points de suture, Je vais vous gelée localement.    -Non, Doc, je suis résistant à la douleur, allez-y, je n'ai besoin qu'un bâton entre les dents..... Le vétérinaire commence les points et sans broncher, Anatoly assume, sans rien paraître sur son visage.........Un flash dans ma tête me   vient à l'esprit, ce choque m'a bousculé, me ramena à l'Armée Rouge.  Alors, c'est donc vrai, Anatoly, était le rassembleur,  le messager, le fil conducteur à la réalisation de regrouper les Éléments de la Division ''Ultime Force''. j'ai du me résilier, d'accepter dans un futur à écouter, ce que je suis en réalité.

-Anatoly, ta photo est dans le journal local, nous devons quitter......Nous ne pouvons attendre votre rétablissement, nous prenons la route  des la levée du soleil et ce pour votre sécurité.....

- Oui Sergueï, je le savais qu'un jour, votre puzzle sera enfin en un morceau......Mais les données enregistrés à la banque.....

-Anatoly, nous devons prendre nos distances, nous reviendront avant que le mois de location se termine....Je trouve trop brulante la situation dans lequel nous sommes et je t'avoue que tout ça, me dépasse et me brusque, C'est le cahot dans ma tête, je préfère tout savoir selon ma capacité d"absorption et d'accepter ce que je suis réellement.  Pour ma fille...cela me brise le cœur, de ne pouvoir me rappeler mais dans un autre côté....en ne me rappelant de rien du tout de son existence...je peux quand même rester de manière objectivement, face à tout les évènements se déroulant à la vitesse de la lumière.

Prenant le chemin de l'hôtel, Anatoly ,s’assoupit, et mon cri le fit sursauter. Ha!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!....................-Toly, merde, Les acolytes du Dr Nearts, nous on découvert.

-Sergueï, cela ne veut rien dire, ils suivre des traces, Nous devons donc abandonner ce petit Tobby

-NONNNNNNNNNNNNNN........................... en aucun cas, je ne le laisserai..........En disant ces mots, Ils entendent des aboiements, Tobby, Tobby mon compagnon, vient, mon chien, embarque, vite, vite....Et encore une fois, partirent vers une destination ..................

...incertaine, mais nous n'avions pas le choix. nous nous rendîmes à l'hôtel social, Anatoly pourrait s'y reposer et reprendre des forces. Quand à moi j'essaierais de rassembler mes idées, lesquelles étaient de plus en plus confuses. J'avais entendu tellement de versions différentes sur mon passé, que je ne savais plus à quel saint me vouer.

Avais je été volontaire comme mon père pour faire ces expériences, ou m'y avait on forcé ? Devais je croire ce que Natacha m'avait appris, avais je été ingénieur ? Ma femme était morte et mon père aussi, mais ma mère... Et ma fille ? Putain !... Et ce couple retrouvé mort...Il doit bien y avoir un indice qui pourrait me permettre d'éclaircir tout ça, de faire le lien entre toutes ces informations ? J'ai l'impression de devenir fou !... Et si je me réveillais demain matin, dans les bras de ma femme, notre fille réclamant son petit déjeuner, hein ?... Et si tout ça n'était qu'un terrible cauchemar ?... Je me frottai le visage de mes deux mains et...

....non j'étais bien dans le réel,  m’égratignant l’œil maladroitement. -Anatoly, ça va, Regarde, on se jurerais dans une fourmilière devant l’hôtel sociale, tous ces gens, que c'est-t-il passé? -Misère, un cauchemar Anatoly, nous devront faire demi tour, -Si Sergueï, sans éveiller leur attention, le plus discrètement, fermer les phares, je firent tous ce qu'Anatoly, et sans problème quittèrent les lieux en douce. 

Toujours en cavale, je m'informe -Anatoly avez-vous de la liquidé, des pesos, euros, dollars

- M. Sergueï, ho! pardon, ne vous inquiété pas, il ouvre l'intérieur de son veston, il était par liasse attaché par bande autocollante,

- La vache, putains, que fais-tu avec ce fric?

- Sergueï, je savais que la route serait longue, alors notre section ne m’ont pas laissé sans ressources

Je reste muet, dans ma tête, une flamme alluma des souvenirs, j'ai des vertiges, je me station au bord .............

du trottoir... comme un film en accéléré, des images plus ou moins claires défilaient dans ma tête. Mais toutes avaient un dénominateur commun : l'argent! Je vis des sommes rondelettes s'afficher sur des chèques, des liasses de billets enfouies dans de grosses enveloppes kraft, et des mains inconnues me les tendre. J'avais dû gagner beaucoup d'argent à une certaine époque. Mais pourquoi me payait-on si grassement? J'eus un doute désagréable : pourvu que je n'aie pas trempé à un moment ou un autre dans une affaire frauduleuse. J'avais déjà l'étiquette d'assassin, celle de gangster était aussi possible?

Après tout...après toutes ces semaines à essayer de tisser le fil de mon histoire,  à croiser toutes sortes d'individus plus ou moins sincères mais le plus souvent plus que louches... je ne savais même pas si j'étais moi-même digne de confiance!

Je fermais les yeux et essayer de chasser toutes ces pensées parasites...comme il était expliqué dans cet article de journal que j'avais lu tout à l'heure dans le square... "par la méditation, apprendre à se dégager des pensées négatives, sans les retenir, à les accepter, à les laisser passer, à empêcher qu’elles emportent notre esprit. Les techniques de méditation invitent à se concentrer sur quelque chose qui occupe l'esprit de telle manière que les pensées parasites ne trouvent plus leur place. On ne cherche pas à chasser ses pensées, mais à les réorienter.

Heureusement, Anatoly, près de moi, sentait sûrement que ce n'était pas du tout le moment de me déranger. Il regardait droit devant lui, cherchant à se faire tout petit...ou bien ..je l'impressionnais? 

Peu à peu, je repris mes esprits. Le calme en moi était revenu. Je pouvais redémarrer...

...et continuer cette cavale sans fin. -Anatoly tu tiens le coup! Pas de saignement sur ton pansement, hein! -Ne vous inquiété pas Sergueï, je vais bien, tout est stable. Et vous ? -Moi, perdu, assez que je ne comprend plus rien...rien ne qui vaille encore risquer notre peau, Nous fuyons l'inconnu pour se trouver dans le néant. Un cauchemar en direct sans pouvoir atteint l'interrupteur on/off.

-Sergueï, voyez vous on se dirige vers le nord, j'ai loué un chalet en montagne, loin, vraiment loin, avec le panorama des plus spectaculaire, à Saint-Morizt en Suisse, la route sera longue, M. Sergueï, voulez vous que je conduise, vous allez pouvoir vous reposer, je sens votre fatigue. 

- D'accord Anatoli,  je vais me ranger au bord de la chaussée. Anatoly prie le volant et inscrivirent au GPS la direction.  Il n'a pas fallu peu pour que je tombe dans les bras de Morphée que...

-''Ho! Hoooooooooooooooo! Projeter dans le vide de l'avion, à mon dos, un parachute, la main sur l' enclenchement , je me retrouve, là près du puits, m'interpeler: ' ce que tu veux, est hors porté....  jamais tu sauras, jamais tu l'auras....Cœur battant à contre courant , je courais sans avancer, à tout haleine, près du puits..........soleil couchant,  un bruissement  de vague frappa, sur les rochers,  j'avais juste une idée en tête, d'être près de ces vagues sous  les reflets sombrant de son coucher...............

... Puis un sourire resplendissant vint s'entremêlé dans les reflets de l'eau. je m'entendis crier :

    -" Hélina, non Hélina ! reviens ici ! C'est dangereux, tu vas tomber !..."

Puis je vis courir vers moi un petit ange blond, à la chevelure bouclée. Ses yeux verts et rieurs me défiaient, comme si rien ne pouvait lui arriver. J'entendais ses éclats de rire, ceux d'un bébé d'environ deux ans, de ceux qui vous entrainent dans leur tourbillon.

Je me réveillai subitement, je riais encore ce qui surpris Anatoly.

   - " Et bien sergei, ça fait du bien de vous entendre rire !... Votre rêve devait être agréable ? "

   - "Oh oui  Anatoly ! j'ai vu...

...