- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forum Maladie de Parkinson
- Recherche et liens utiles - Maladie de Parkinson
- Sexe, casino, voitures : la face sombre du traitement de Parkinson
Patients Maladie de Parkinson
Sexe, casino, voitures : la face sombre du traitement de Parkinson
- 310 vues
- 0 soutien
- 16 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaire
Moniq1
Bon conseiller
Bonjour... Je pense qu'il y a moins de soucis d'addition avec le modopar.... Ce qui ne veut pas dire sans effets secondaires ..
leparigo
Membre AmbassadeurBon conseiller
@ettibirge Etonnant car le Requip en monothérapie ne cible que les récepteurs D2 , ce qui veut dire uniquement le mouvement et non le cognitif. Sauf si le neurologue croit bon de prescrire un agoniste du type Sifrol, Modopar...qui n'est pas conseillé puisque monothérapie.
Voir la signature
Leparigo Delaciotat
laurent2
Bonjour à toutes et tous,
Mon père est atteint de Parkinson depuis une dizaine d'années. Il a 73 ans. Il a été opéré il y a 3 ans. Je me suis aperçu il y a quelques semaines qu'il était en train de dilapider tout son argent. J'en ai parlé avec lui, impossible de lui faire réaliser l'ampleur des dégâts. Son médecin est au courant, elle va établir un certificat pour entamer une mise sous tutelle. La procédure a l'air longue (plus de 6 mois voire 1 an). J'ai peur qu'il n'ait le temps de s'endetter ou de dépenser davantage d'autant plus s'il se doute de la procédure qui va débuter. Pouvez vs me conseiller sur la procédure la plus rapide et efficace à mettre en place svp.
Merci par avance de vos conseils.
Utilisateur désinscrit
@laurent2 Bonjour Prenez rendez-vous avec le neurologue que votre papa consulte . Le certificat du neurologue sera pris plus au sérieux que celui du médecin traitant ..
nilsen94
Bonjour Narjbt,
J'ai été confronté aux mêmes problèmes que vous et je le suis encore, ce sont les agonistes qui me mettent dans ces états : J'ai essayé le Sifrol, quel médoc (pour moi) alors la, j'étais dans l'achat compulsif, j'achetais tout et n'importe quoi, puis j'ai pris du réquip, rebelotte, je faisais chauffer la carte bleue, elle devenais verte pâle.
Puis j'ai éssayé du modopar dispersible : la fête du slip ,alors là addiction au sexe, c'est Rocco Sifredi à toutes les sauces, on se croit le maître du X. lol
sans parler des symptômes qui vont avec, jalousie infondées etc...
Depuis on m'a retiré ce style de médicaments, plus de réquip, plus de Sifrol, ni de neuro patch à plus de 4 mg, Je prends du carbidopa Lévodopa, avec 1 neuro patch 4 mg et basta
Il y a des gens qui supportent les agonistes d'autre non.
Alors de temps en temps je me prends un modopar pour concurrencer Rocco, mais je ne sors pas la caméra lol
Rions, cela ne peut que faire du bien à notre cerveau.
A+
Phil
Voir la signature
Phil
narjbt
Merci pour ton témoignage nilsen alors moi j’ai essayer la pompe apomorphine avec laquelle les symptômes on diminuer mais malheureusement ma peau n’a pas tolérer le produit ( nodules , hématomes,démangeaisons et surtout douleurs) du coup j’ai dus arrêter de plus c’était pas pratique pour mon mode de vie moi qui bouge beaucoup
mais j’ai gagné du moins quelque chose grâce à la période d’ajustement de la dose à injecter j’ai réussi à connaître la réaction de mon corps à chaque. Dose ce qui m’a permis et par mon propre initiative de diminuer les doses de mon traitement du coups je suis passer a presque la moitié du traitement que je prenais donc plus de dyskinésie bc moins de pulsion mais moin de tonus tt de même
suffisamment pour gérer ma journée et maintenant je pense sérieusement à l’opération
avez vous des témoignages à propos de cette intervention
merci et bon courage
Donnez votre avis
Enquête
Les membres participent aussi...
Recherche et liens utiles - Maladie de Parkinson
La piste d'allergie alimentaire dans une cause du Parkinson ?
Articles à découvrir...
24/03/2024 | Nutrition
27/01/2024 | Actualités
Maladie de Parkinson : connaître et comprendre les signes moteurs et non moteurs
03/09/2023 | Actualités
Le mucuna pruriens : quels sont ses bienfaits sur la maladie de Parkinson ?
01/10/2018 | Actualités
05/02/2021 | Témoignage
Maladie de Parkinson : “ J’ai réussi à inverser le processus de ma Parkinson”
18/10/2019 | Témoignage
La joie de vivre malgré Parkinson : défis personnels, hypnose et traitements
11/04/2018 | Conseils
Fiches médicaments - avis...
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Louise
Animatrice de communautéBon conseiller
Certains traitements contre la maladie de Parkinson ont une face sombre, l'apparition d'une impulsivité qui déclenche troubles alimentaires, hyperactivité sexuelle, envies d'achats ou dépendance aux jeux, qui seraient plus fréquents qu'on ne croyait, selon une étude publiée mercredi.
Publiée dans la revue américaine Neurology, l'étude a porté sur 411 patients français suivis durant plusieurs années. Au cours d'une période de cinq ans, ces "troubles du contrôle des impulsions" frappent près de la moitié (46%) de ceux traités avec "agonistes dopaminergiques", médicaments synthétiques qui miment l'action de la dopamine, un neurotransmetteur.
"Ce sont des gens qui vont se ruiner au casino, se lever la nuit pour vider leur frigo, ou avoir une sexualité débordante. Par exemple être arrêtés pour exhibitionnisme ou divorcer parce qu'ils ont multiplié les conquêtes, indique le Dr Jean-Christophe Corvol, de la Pitié-Salpétrière (Assistance publique-Hôpitaux de Paris). Ils vont se mettre à acheter des voitures de luxe. Un patient qui avait beaucoup d'argent disait qu'il avait acheté une Porsche, et sa femme corrigeait : non, tu en as acheté quatre d'un coup."
Prévenir pour accroître la vigilance
L'étude prouve que ces effets indésirables augmentent avec la dose et la durée du traitement aux agonistes de la dopamine. "Et si on arrête le traitement, ça disparaît, dans l'année chez la plupart", a souligné le Dr Corvol. La survenue de ces troubles était déjà décrite dans la recherche. Mais l'absence de suivi long laissait croire à une incidence beaucoup moins élevée, de 10 à 15% en un an.
Selon les auteurs, chercheurs de l'Institut de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et de Sorbonne Université, la connaissance de ces troubles doit inciter les médecins à prévenir les patients et leur famille. "L'entourage ne s'en rend pas compte au départ, alors que quand on prévient le couple par exemple, il y a une vigilance", affirme M. Corvol. Il évoque aussi des patients pour lesquels le traitement a décuplé la créativité artistique ou littéraire.
La maladie de Parkinson, qui touche une dizaine de millions de personnes dans le monde, principalement âgées, se manifeste par des symptômes moteurs (tremblement, lenteur et raideur) dus à une perte des neurones secrétant la
dopamine.
-AFP-
Et vous, avez-vous connu des expériences similaires ?