Vous et votre médicament : comment l'acceptez-vous ?

Bonjour,

                       Sans pour cela en être différent, mais je constate que la médecine courante a des effets secondaires. J'ignore si SUCCES se reporte sur ce sujet, mais il ne pourra pas dire le contraire. J'ignore pour lesquels problèmes de santé sont-ils utilisés, mais la médecine n'a pas que du bon.Il faut prendre un médicament pour contre dire un autre médicament. On se demande parfois si on ne sert pas de cobaye.

@gerom45 Vous savez, si SUCCES  lit ce sujet, je suppose qu'il dira que les effets secondaires des  médicaments allopathiques sont une preuve de leur efficacité  et que si les produits homéopathiques ne présentent pas ces inconvénients, c'est bien normal puisqu'ils sont inefficaces, donc sans effets ( ni premiers ni secondaires).

Bonjour maritima,

                           Votre remarque est positive. S'il faut à l'heure actuel ne pendre que des médicaments à effets contraire, je pense que cela deviendrait un casse tête pour les médecins et que les pharmaciens auraient du ménage à faire.

J'ai très mal pris le fait de devoir prendre un nouveau médicament, car en attendant d'en changer je me sentais super bien.

Vu que le diagnostic avait changé j'ai dû arrêter les piqures d'interférons REBIF, pour prendre des immunosuppresseurs. Les interférons ont fini par me donner des effets secondaires insupportables et m'ont bousillés la tyroïde le neuro. m'a fait refaire tous les examens et m'a annoncé que je n'avais pas une SEP mais une MYELITE, que les interférons étaient inutiles et qu'il fallait que je change IMUREL.

Ce traitement je l'ai pris de Novembre à il y a 15. J'ai arrêté car je crois que j'avais tous les effets secondaires décrits. Aujourd'hui je commence à aller mieux mais la neuro. veut me voir le 29/02 car elle considère que je ne peux pas rester sans traitement.

Je crois que j'en ai assez de tous ces traitements, je me sens mieux sans. Je prends du LYRICA 75, et des antidépresseurs à cause de ma colère dit la psy. et je crois que c'est vrai. Je suis très en colère !

Bonjour,

                         Lors d'un traitement à vie, il ne faut penser qu'au bien qu'il nous apporte. Peu importe les apports néfastes, le principal est de s'en sortir et vivre presque bien. La vie m'avait paru longue la première année qu'il m'avait été prescrit, il y a de cela 45 ans. Aujourd'hui je le prend avec moins de frustrations. 

Bonjour à tous

pour ceux qui doute de l homeopathie, je connais un pharmacien qui n y croyait pas. le jour ou ses chats ont été malades, seul l'homeopathie a pu les soigner. alors à vous de voir!

Bonjour, je rejoins @gerom45 en disant qu'il faut penser au bien que nous apporte le ou les médicaments. J'en ai depuis longtemps dont certains à vie. Il faut bien s'y habituer, c'est vrai. Je l'ai supporté depuis des années. Mais quand je vois encore le nombre de comprimés que je prend à chaque repas, je commence à me lasser de plus en plus, j'ai l'impression de ne manger que ça. Aujourd'hui c'est tout de même démoralisant. Plus années passent, plus il y en a. Peut-être certains moins forts, mais encore plus. C'est ça ou souffrir.

Il y a qu'a se dire que c'est de la nourriture comme le reste et non les stigmatiser , il les faut , il les faut , c'est tout

Bonjour florinda,

                   La médecine est une habitude à prendre, au sens propre et au sens figuré. Il est certain que prendre un traitement matin, midi, et soir, est soulant. Il faut comprendre que c'est la médecine qui nous fait vivre. Lorsque j'ai commencé en 1971 pour l'épilepsie, on ne me donnais que des calmants. Ce n'est pas pour cela que mes malaises disparaissaient. Par contre je me sentais diminué physiquement. Par la suite(1982) j'ai rencontré un médecin qui cherchait à améliorer mon train de vie. Il m'avait prescrit Sabril 100.  Suite à un IRM(1997), examen tout récent de l'époque, non seulement il m'avait augmenté Tégrétol( 200 est passé 400), j'ai eu Neurotin 400. Je n'avais plus de malaises importants. Ce n'était que de courtes absences. Il me fallait éviter toutes émotions vives aussi bien contrariantes que satisfaisantes. En 1998, au moment de mon divorce, lors des passages au tribunal, j'ai eu des malaises quand je revenais. Cela ce produisait en voiture. J'ai eu des accidents sans gravités (Tôle froissée). C'est pourquoi, en 2003, j'ai pris la décision d'arrêter la conduite.

                   C'est pour dire que même content j'ai eu des malaises. En 2000, j'étais allé une semaine en Autriche. Les jours s'étaient passée formidablement. Le retour étant un soir, j'avais 15km pour revenir en voiture, ce n'est que le lendemain que j'ai constaté que j'avais eu un malaise lors du retour. J'avais une aile de ma voiture cabossée. Mon spécialiste m'a expliqué la raison. Etant donné mon handicap (C'est ce que je dis à la place de maladie), si je me fatigue trop, lorsque je suis au repos, j'ai les risque de malaises. Comme il me disait: " Au moment d'un repos, suite à un effort physique ou autre, votre handicap provoquerait comme des coupures électriques. Ce serait les raisons des malaises." Depuis cette période, je participe à des voyages à la journée. Afin d'éviter un malaise, je me repose la veille et le lendemain.

                    Fin 2003, j'ai arrêté toutes mes activités( J'étais à la sécurité du football, dans plusieurs chorales). En l'espace de deux mois, j'ai eu deux malaises, des matins au moment du réveil. Le spécialiste m'a augmenté Neurotin (600 est passé 800) et m'a prescrit en supplément Di Hidan 100 qui est passé Diphantoïne 100, pour cause, le précédent était arrêté de fabrication en France. Depuis, non seulement je n'ai plus de malaises, mais j'ai repris des activités, en faisant attention de ne pas me fatiguer  

Cela fait malheureusement plus de 52 ans que je prends tout le temps des médicaments et de plus en plus. C'est vrai que j'en ai marre.