Vous et votre médicament : comment l'acceptez-vous ?

bonjour je viens de répondre à l.enquête mais je ne savais pas quel médicament je devais prendre pour exemple car j.ai plusieurs maladies. 

Bonjour à tous

je me sens frustré par ce questionnaire car il porte sur un seul médicament sur les 12 derniers mois, alors que je souffre de plusieurs pathologies: SEP et APNEE DU SOMMEIL lié à l'obésité

ma SEP est légere d apres ma neurologue, cela ne m empeche pas parfois d avaler du tramadol (200mg par prise)sinon pas d effet.

mon traitement est basé sur un antidouleur lyrica (je suis monté jusqu à 2 fois 400), ma SEP est interactive avec mon psy d' ou parfois antidepresseur cymbalta (60 mg; à 90 pour suivre la psy, je me suis retrouvé à l'hosto jambes sans repos) et anti anxiolitique Atarax 25 voir 50mg       les effets secondaires ressemblent à s y meprendre aux effets traités   comme ça j ignore si c est ma maladie ou non

le lyrica à grosse dose me crée une diplopie qui m oblige à suivre des sceances d orthoptie pour me permettre de ne plus voir double

en centre diététique, on m a fait comprendre qu avec ces médicaments j aurais beaucoup de mal à maigrir

lors des poussées, j ai de la cortisone et à chaque fois mon taux de glycemie monte, les médicaments vont me rendre diabetique

face à tous cela, jai cherché ailleurs:

nathuropatie/ 50 g fragaria vesca et 50 g de sequoia gigantéa   cela 3 fois par jour afin de ralentir la sequence des poussées

maschithérapie: voir sur internet ; porter un sac contenant de pierre absorbant les ondes magnetiques

autres pays: la vitamine D mise à l honneur, ainsi que les omega 3   100 gouttes d huile de foi de morue le matin

cure thermale: je conseille Lamalou les bains.  Néris ne me convient pas, mais cela est personnel

l'homéopathie: zincum metallicum 9CH 5gr le matin; zincum valerianicum 9ch 5gr le soir super efficace contre les jambes sans repos

en suivant ses 3 derniers, j allais tres bien, j ai arrete les médicaments, j allais toujours tres bien. si bien que j ai oublie de prendre les gouttes, de porter mon petit sac(il sonne à la douane), je me sentais bien, je me sentais pas malade. cela a durer 4 ou 5 mois avant que la SEP se manifeste à nouveau par une poussée

d ou cortisone, poids glycemie augmente

ALORS MAINTENANT MES POTIONS, MON HOMEOPATHIE EST SUR MON BUREAU POUR NE PAS OUBLIER

Bonjour,

Merci pour vos réponses et contrbutions.

Je n'oublie pas car je garde sur moi le pilulier.

Sauf si je suis sollicitée juste au moment de prendre le ttt, la distraction ! attention il être !

@PIERROT69200 Ma NEURO quand je lui disais que le Lyrica me troublait la vue me répondais que c'est parce que j'étais en poussée et que mon occipital est atteint mais je n'en étais pas à cette dose de Lyrica. Le Lyrica ne traite pas la SEP, c'est seulement un neuro antalgique. 

Quelle forme de sep et de puis quand ?

Cette expression du psy n'est qu'une façon de parler pour vous représenter votre sep d'un point de vue psychologique.

Que disent les neurologues ?

La SEP n'est pas une maladie psychiatrique mais neurologique.

Et nous sommes suivis par des psychiatres ou psychologue au choix et à la nécessité du patient et de ses troubles seulement parce que c'est une maladie chronique imprévisible et douloureuse qui nous empêche de vivre à notre guise.

Le soucis du psy c'est juste qu'on ne tombe pas en dépression sous une forme ou une autre (léthargique ou hyper active). Qu'on ne se plante pas dans nos ttt et si jamais reperer les tendances suicidaires pour les prévenir (par exemple il s'inquiète quand en congés ayant rempli frigo et placard je ne mets plus le nez ni les pieds dehors) pourtant j'ai l'habitude des cloitres et cellules de méditation (ça ne devrait pas l'inquiéter). Il faut aérer et faire le ménage ce qui suffit comme exercice physique qui 'vous met au lit direct !

C'est la dépression due à la SEP, ou une maladie psychiatrique qui est aussi présente ? Ça peut arriver, on est à l'abri de rien, aussi il ne faut pas s'inquiéter mais bien se faire diagnostiquer pour mieux être traiter. Et discuter avec nos médecin leur montrer qu'on est capable de comprendre ce qui nous arrive si on nous l'explique pour être acteur de notre traitement afin de le rendre efficace. Car ce que l'on subit est source de souffrance supplémentaire, il nous faut comprendre pour accepter, c'est normal.

C'est pour ça qu'on est là et qu'on discute pour ne pas rester passif et péter une durite ou un plomb.

Bonjour à tous,

                               J'admire le courage et la volonté de chacun. Pour Detchen, je sais qu'avec la carte, une personne différente peux aller chercher le médicament. Comme la marche à pied ne m'a jamais fait peur, j'y vais presque par plaisir. Cela permet de visiter des anciennes connaissances du foyer de 3è âge alités par la force des choses. On en ressort en pensant qu'on a de la chance. Les uns comme les autres, acceptés vos traitements avec, malheureusement, les inconvénients et surtout, gardez le moral. Je me doute que genevi ne peux plus courir comme à vingt ans. Vous gardez le moral, c'est le meilleur des traitements.

questionnaire aléatoire qui porte sur un médicament en général donc impossibilité de répondre correctement sur la prise d'autres traitements par exemple kardegic 75 mg en prévention  crestor (pris à contre coeur car beaucoup de contradictions à son sujet ?)nebivolol extrasystoles et hypertension (je le prends toutefois avec méfiance n'agit pas à 100%)conclusion : les médecins prescrivent des médicaments alors il faut faire confiance.cordialement

Oui mamamie , c'est sur qu'il faut faire confiance en son médecin . Mais en changer de temps en temps est pas plus mal non plus . Si je vous parle comme cela , c'est que je viens récemment d'en changer et j'avoue que cela m'a fait beaucoup de bien . Cette dernière a bien vu que le taux d'EFFEXOR que me donnait mon ancien médecin ne m'allait pas et me l'a changé aussitôt et maintenant je dirais que cela va un peu mieux . Amicalement . Kookai

Bonjour kookai,

                                   Je suis entièrement d'accord. On n'est pas marié avec son médecin. Il y a quatre ans, j'avais changé parce que le deuxième, en plus de généraliste était homéopathe. Deux années passées, celui-ci a eu un accident de la route ce qui l'a arrêté d'exercer. Comme il était, on peux dire, difficile de dégoter un toubib, je suis aller chez une doctoresse roumaine qui venait de s'installer. Suite à une bronchite qui trainait, je me suis rabattu chez le premier nommé. J'ai eu bonne œil, la Roumaine a quitté la ville. C'est pour dire que parfois on a bon nez. Comme il faut le "déclarer" à la SS, il n'y a pas eu de problème. C'est le médecin lui même qui le fait.

@mamamie et tous ceux et celles qui ont du mal à répondre pour un seul ttt répondez plusieurs fois au questionnaire : une fois pour chaque ttt allopathique de fond.

Le ttt de fond est celui qui stoppe l'évolution de la maladie.

Les autres sont des ttt symptomatiques.

Mais c'est vrai c'est pas assez précis comme question. 

C'est pour voir comment on s'approprie le médicament et comment on y est scotché ou réfractaire ? 

@JulienP  peut on répondre plusieurs fois soit une par médicament ? Le questionnaire cours toujours ? On peut encore répondre ?

Depuis que mon diabète(stabilisé à 120-140) a été diagnostiqué, je suis sérieusement mon ordonnance, l'idéal serait de trouver un traitement définitif pour enrayer ce diabète, je pense que ces molécules, mêmes si elles gèrent le diabète à la longues elles doivent faire des ravages dans l'organisme. Existe-t-il un traitement( définitif?

@magnolia29  Au risque de te décevoir, il n'existe pas, pour le moment, de traitement définitif du diabète.

 C'est une maladie sournoise, multifactorielle qui ne se gère pas "mathématiquement". J'ignore depuis combien de temps tu es diabétique, ( perso je le suis depuis 22 ans), mais si je peux t'être utile, je le ferai volontiers, ainsi que d'autres sur ce site  où le  diabète type2 est bien présent. Quant aux molécules qu'on absorbe, elles se comportent comme tous les médicament : elles aident d'un côté et maltraitent de l' autre.