La Grande Évasion : Fuire aux Quatre Coins de la Non-Maladie !

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Le Rami de nos Cœurs

Trois ans plus tard, j’en suis encore à me demander si mon copain n’a pas un don pour dénicher des situations cocasses. Un jour, il a eu l’idée géniale de m’emmener jouer au rami chez une "copine" à lui . Je me dis : "Pourquoi pas ?", sans vraiment réaliser qu'il avait un sens de l'aventure légèrement … excentrique. Nous voilà donc dans cette maison, et là, bim ! Après les bises d’usage, mes yeux tombent sur une vision qui ferait rougir les anges : une blonde, des cheveux longs jusqu’au bas du dos, et ces yeux verts… Je parie qu’ils ont été peints par Picasso lui-même, tellement ils sont captivants. Mon cœur, fidèle compagnon de mes mésaventures, a fait un bond digne d’un kangourou sous amphétamines. J’étais en transe, figé comme une statue de sel en plein désert. Mon copain, lui, m’a à peine remarqué, tout absorbé qu’il était à sa partie de rami. Je l’ai même vu faire une moue dégoûtée lorsque je lui ai murmuré que je voulais prendre une pause. Oui, une pause, ou plutôt une pause... pour admirer la déesse des cheveux blonds !

A ce moment-là, je me suis dit que si le rami était un jeu de stratégie, la stratégie pour gagner le cœur de cette fille serait un jeu de tout autre niveau ! Entre le tirage des cartes et les tirages de l’âme, j’ai finalement décidé de me jeter à l’eau (mais pas dans le rami, hein !). Je l’ai approchée, armé de mon humour - parce que, soyons honnêtes, le charme sans un bon trait d’esprit, c’est comme un café sans sucre. Je lui ai balancé une blague pourrie, du genre : "Si les blondes sont réputées pour être bêtes, alors toi tu dois avoir un doctorat en physique quantique !". Elle a ri, et c’était le moment où j’ai su que j’avais gagné une première manche. Ça a commencé avec un brelan, et voilà qu’aujourd'hui, cinq enfants plus tard, nous sommes en train de jouer à un tout autre jeu… celui de la parentalité !

Elle avait déjà un fils, moi j'avais un garçon et une fille, et ensemble, nous avons eu deux adorables petits monstres : une fille et un garçon. Mais attention, avec un Tanguy en herbe ! Qui aurait cru qu’un jeu de société pourrait mener à une telle histoire d’amour ?! C'est vrai que, des fois, l'amour et l'humour, c'est le meilleur des tirages !

Aujourd'hui, 31 ans plus tard, elle est toujours là, devant moi, à m'écouter raconter des conneries d'un air amusé, et moi je me dis que, finalement, le rami a été le meilleur coup de poker de ma vie.

avez vous eu plusieurs vraies histoires d'amour ?

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Elegie amoureuse

cette histoire est basée sur des faits reels (puisque c'est les miens ) en 1981

Elle s'appelait Dominique. Imaginez un peu le tableau : une brune incendiaire aux cheveux mi-longs, des yeux verts à vous faire oublier votre matricule et un sourire qui aurait pu faire déserter un régiment entier. Moi, je sortais tout juste de l'armée, avec le pas cadencé et l'art de faire mon lit au carré comme seules compétences sociales notables.

Et là, bam ! Dominique. Elle avait une maisonnette, un petit nid douillet juste à côté d'une église – pratique pour les prières de dernière minute, sait-on jamais. Et pour couronner le tout, une adorable petite tornade de deux ans qui avait visiblement hérité du charme ravageur de sa mère. Inutile de vous dire que j'ai craqué. Pas juste un peu, non. Carrément. Le genre de craquage qui vous fait vous demander si on ne vous a pas remplacé le paquetage réglementaire par un cœur d'artichaut. Et le plus fou ? C'était réciproque.

Elle m'a déposé devant chez elle, avec ce regard qui disait "Attends-moi là, soldat, la mission ne fait que commencer." Puis, elle a filé déposer la petite chez ses parents, sans doute pour éviter que le champ de bataille amoureux ne ressemble trop à une crèche.

Ce qui a suivi ? Disons que la semaine a été... intense. Très intense. Le genre d'intensité qui vous fait réaliser que les exercices militaires, à côté, c'est de la gnognote. Les draps s'en souviennent encore. On a dû battre des records, sûrement homologués par une obscure fédération du bonheur clandestin.

Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin – sauf le saucisson, heureusement – il a bien fallu redescendre sur terre. Ou du moins, sortir du lit. J'ai trouvé un appart dans une résidence, le genre d'endroit où l'on espère secrètement que les voisins sont sourds. L'emménagement a été... sportif, mais avec la promesse d'une vie heureuse qui pointait le bout de son nez, on aurait pu soulever des montagnes. Ou du moins, des cartons.

Le début d'une nouvelle vie, avec Dominique. Et croyez-moi, après une semaine pareille, j'étais prêt à signer pour l'éternité. Et même pour les corvées de vaisselle.

Quelques mois et j'ai trouvé un poste de contremaître – j'avais enfin un titre qui sonnait mieux que "champion du monde du lit au carré". La vie, la vraie, me tendait les bras. Et visiblement, elle avait décidé de me les tendre avec... une autre brune.

Appelons-la Patricia. Et quand je dis "nana d'enfer", je pèse bien mes mots. Le genre de nana qui vous fait vous demander si vous n'avez pas signé un pacte avec une divinité de la tentation sans lire les petites lignes. Et devinez quoi ? J'ai craqué. Encore. Faut croire que mon cœur, fraîchement démobilisé, avait gardé une certaine... disons... "capacité d'accueil".

Forcément, à jongler entre deux régiments de charme, il fallait bien qu'un jour, la logistique sentimentale dérape. J'ai commis une petite erreur tactique. Un détail, une broutille, mais suffisante pour que Dominique, avec son sixième sens digne d'un radar de l'OTAN, s'en rende compte.

Et là, c'est là que j'aurais dû comprendre. Pas un cri. Pas une assiette cassée. Pas même un "On peut savoir d'où tu sors, Rambo ?". Rien. Le calme plat. Le genre de calme qui précède une offensive majeure. Elle n'a rien dit. Et ça, mes amis, c'est bien plus flippant qu'une charge à la baïonnette.

Puis, un soir, alors que je rentrais nonchalamment d'une "réunion de chantier" très tardive chez Patricia, la clé a tourné dans le vide. Ou plutôt, elle a tourné dans une serrure qui donnait sur... le néant.

L'appart était vide. Mais quand je dis vide, c'est pas "elle a pris ses fringues". Non. C'est vide niveau "opération Portes Ouvertes dans le Sahara". Plus de meubles, plus de rideaux, plus de photos... et le coup de grâce, la touche de génie, la signature de l'artiste : MÊME PLUS LA SONNETTE ! Elle avait démonté la sonnette ! Qui fait ça ?! C'était un message. Puissant. Silencieux. Et terriblement efficace. Je suis resté là, bouche bée, conscient que même Sun Tzu se serait incliné devant une telle opération de camouflage. La sonnette en moins, c'était comme si elle avait effacé toutes les traces de notre histoire, comme si elle avait décidé que les bruits du passé n'étaient plus les bienvenus. "Pas de sonnette, pas de visite", c'était son mantra désormais. J'aurais presque pu applaudir, si je n'avais pas été figé sur le paillasson, la main déjà prête à sonner avec cette fameuse sonnette imaginaire. Mais là, clairement, ça ressemblait plus à une invitation à un échange de textes qu'à un face-à-face. Qui aurait cru que la fin d'une histoire pouvait être aussi… silencieuse ? Allez, au moins, j'avais une bonne excuse pour partir sans un bruit : je ne pouvais même pas sonner !

je n'ai jamais revu Dominique et Patricia . Alors, Dominique et Patricia, si vous m'entendez , je ne regrette rien !

Bonjour

Merci de me sortir de la liste de personnes destinées à recevoir vos messages

En effet ,je ne souhaite pas lire vos longues litanies révélant vos exploits amoureux ou autres

Victor HUGO a dit un jour en parlant des beaux parleurs

" Les discours les plus courts sont les meilleurs"

Cordialement

Bougez sa carcasse (ou presque)

Je suis d’accord, garder la forme peut parfois ressembler à une vraie aventure (ou presque), entre la tentation du canapé-Netflix et l’appel du frigo. Mais je ne me laisse pas décourager ! Je suis convaincu qu’on n’a pas besoin de devenir un athlète ou un coach en fitness pour se sentir bien dans ses baskets (ou ses chaussons). Voici ce que je fais, avec bonne humeur (ou presque) : Voici donc, en exclusivité mondiale (ou presque), les mouvements révolutionnaires que mon kiné m'a "gentiment" suggéré de faire avec ma chaise, pour éviter de finir fossilisé avant l'âge :

Le "Lever de Fesses Héroïque" :

Le principe : Assis bien droit (ou presque), on contracte les abdos et on tente de soulever ses fesses de la chaise, ne serait-ce que d'un millimètre.Tenir 10 secondes (ou presque). Répéter 15 fois. Sentir la brûlure de la gloire (ou des crampes).

"L'Extension de Guibole Furtive" :

Le principe : Toujours assis (on ne va pas se fatiguer trop vite), on tend une jambe bien droite devant soi (ou presque), comme pour pointer du pied un dossier ennuyeux ou un collègue trop bruyant.Tenir, contracter le quadriceps (c'est le gros muscle, paraît-il), reposer doucement. Alterner.

"Le Twist du Siège : La Gym du Dos en Mode Sieste"

Le principe : Assis, le dos droit (ou presque), on pivote doucement le buste d'un côté, puis de l'autre, en s'aidant (un peu) du dossier. Aller chercher loin, sentir l'étirement, respirer profondément (ou presque).

"Pompes de Bureau : L'Exercice Qui Ne Fait Pas Que Briser la Routine !"

Debout derrière la chaise (oui, il faut se lever, courage !), on pose les mains sur le dossier et on fait semblant de faire des pompes. On peut fléchir les coudes, un peu, beaucoup... passionnément ? Garder le dos droit, descendre lentement, remonter avec force (ou presque). Debout, en se tenant (légèrement) à la chaise, on se met sur la pointe des pieds, puis on redescend. Contrôler la montée et la descente, muscler les mollets (ou presque).

Voilà, grâce à mon kiné et à ma chaise, je suis (presque) devenu un athlète. Je navigue entre les exercices avec une grâce (presque) féline, tout en pestant intérieurement contre ces mouvements qui me rappellent que non, je n'ai plus 20 ans. Mais au moins, je bouge, je ris (presque) jaune ....

j'avoue que les exercices, ça n'est pas tous les jours, ( presque)

Et vous, que faites-vous pour rester en forme (ou presque) ?

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La Symphonie des "Oui" qui Veulent Dire "Non"

Il était une fois, dans un royaume lointain, un peuple connu pour sa manière singulière de communiquer. Dans ce pays, les mots étaient aussi précieux que des bijoux, mais ils avaient l’art de masquer la vérité.

Un jour, un brave solitaire, appelons-le Jean-Claude, décide de demander à son amie Sophie si elle voulait aller au cinéma avec lui.

Sophie, souriante, répond : « Oh, bien sûr ! »

Jean-Claude, tout excité, pense avoir gagné le lot à la loterie. Mais derrière ce sourire, se cache un « NON » déguisé. En réalité, elle ne veut pas voir ce film nul où un requin parle.

Pourtant, Jean-Claude continue de décrypter le mystère. Il essaie à nouveau : « Tu es libre ce soir ? »

Sophie, un peu plus hésitante, répond : « Peut-être, je dois vérifier mon emploi du temps… »

Vous l’avez deviné, cela signifie « je préfère rester chez moi à regarder des vidéos de chats ». Mais Jean-Claude, en bon optimiste, persiste.

Alors, il propose un repas : « Que dirais-tu de… »

Avant même qu’il ait fini sa phrase, Sophie l'interrompt : « Ça a l’air super ! » C’est là qu’il réalise que chaque « super » de Sophie équivaut à un « non, merci » cloisonné dans un joyeux emballage.

Jean-Claude, ayant l’esprit de détection aiguisé, commence à imaginer comment ces mots prennent une vie propre. Au lieu de parler directement, les habitants de ce royaume préfèrent revêtir leur discours de métaphores.

« Oh, je vais réfléchir à ta proposition », cela signifie en fait « je vais faire semblant de réfléchir pendant que j'ignore totalement ton invitation ».

Et si par malheur, quelqu'un ose remettre les choses au clair ? Un simple « écoute, je ne suis pas intéressé » pourrait provoquer une éruption volcanique de faux-semblants.

En fin de compte, Jean-Claude a compris : si vous recherchez la vérité, apportez des lunettes spéciales pour lire entre les lignes. Mais attention, même avec ces lunettes, vous pourriez confondre un « Oui, c’est une bonne idée » avec un « Nope, pas du tout ! »

Moralité de l’histoire ? Dans ce royaume de la communication, un simple « peut-être » est souvent la clé pour une soirée tranquille à la maison… loin des requins qui parlent.

La Symphonie des "Oui" qui Veulent Dire "Non"

Il était une fois, dans un royaume lointain, un peuple connu pour sa manière singulière de communiquer. Dans ce pays, les mots étaient aussi précieux que des bijoux, mais ils avaient l’art de masquer la vérité.

Un jour, un brave solitaire, appelons-le Jean-Claude, décide de demander à son amie Sophie si elle voulait aller au cinéma avec lui.

Sophie, souriante, répond : « Oh, bien sûr ! »

Jean-Claude, tout excité, pense avoir gagné le lot à la loterie. Mais derrière ce sourire, se cache un « NON » déguisé. En réalité, elle ne veut pas voir ce film nul où un requin parle.

Pourtant, Jean-Claude continue de décrypter le mystère. Il essaie à nouveau : « Tu es libre ce soir ? »

Sophie, un peu plus hésitante, répond : « Peut-être, je dois vérifier mon emploi du temps… »

Vous l’avez deviné, cela signifie « je préfère rester chez moi à regarder des vidéos de chats ». Mais Jean-Claude, en bon optimiste, persiste.

Alors, il propose un repas : « Que dirais-tu de… »

Avant même qu’il ait fini sa phrase, Sophie l'interrompt : « Ça a l’air super ! » C’est là qu’il réalise que chaque « super » de Sophie équivaut à un « non, merci » cloisonné dans un joyeux emballage.

Jean-Claude, ayant l’esprit de détection aiguisé, commence à imaginer comment ces mots prennent une vie propre. Au lieu de parler directement, les habitants de ce royaume préfèrent revêtir leur discours de métaphores.

« Oh, je vais réfléchir à ta proposition », cela signifie en fait « je vais faire semblant de réfléchir pendant que j'ignore totalement ton invitation ».

Et si par malheur, quelqu'un ose remettre les choses au clair ? Un simple « écoute, je ne suis pas intéressé » pourrait provoquer une éruption volcanique de faux-semblants.

En fin de compte, Jean-Claude a compris : si vous recherchez la vérité, apportez des lunettes spéciales pour lire entre les lignes. Mais attention, même avec ces lunettes, vous pourriez confondre un « Oui, c’est une bonne idée » avec un « Nope, pas du tout ! »

Moralité de l’histoire ? Dans ce royaume de la communication, un simple « peut-être » est souvent la clé pour une soirée tranquille à la maison… loin des requins qui parlent.

connaissez vous des gens comme ça. Et je vous rassure, ils sont nombreux ? !

Mission : Marché ! Ou l'art subtil de la déambulation matinale pour victuailles

Ce matin, j'ai marché pour aller au marché. Oui, vous avez bien lu. Une phrase d'une simplicité biblique, mais qui, croyez-moi, cache une épopée digne d'un trek en milieu hostile... enfin, presque. Disons plutôt une expédition où le cabas remplace le sac à dos et où les prédateurs sont des petites mamies en mission "poireaux frais" prêtes à tout pour la dernière botte. Ai-je mes sacs réutilisables, symboles de ma conscience écologique fluctuante (surtout quand j'en oublie la moitié) ? Puis vient la marche. "J'ai marché pour aller au marché", ça sonne comme une tautologie, un pléonasme de la gambette. Mais c'est une vérité vraie. Chaque pas est une victoire sur la flemme, une ode à la procrastination vaincue. On croise d'autres marcheurs du marché, regards entendus, sourires crispés de ceux qui savent que la vraie bataille commence à l'intérieur.

Le marché ! Ce temple de la consommation de proximité, ce lieu où les couleurs des étals rivalisent avec celles des joues des marchands vantant leurs "melons qui chantent" (le mien, la semaine dernière, devait être aphone). On slalome entre les poussettes, on évite les chiens en laisse qui ont une conception très personnelle de la "zone de propreté", et on essaie de déchiffrer les étiquettes manuscrites comme des hiéroglyphes. "Tomates moches mais bonnes", un concept marketing audacieux. Et puis il y a les rencontres. Madame Michu, qui vous raconte en détail la dernière opération de son caniche pendant que vous essayez désespérément d'attraper le dernier bouquet de basilic. Ou ce Gribouille et Delphine qui débattent pendant dix minutes sur l'opportunité d'acheter des artichauts violets alors qu'ils ne savent pas les cuisiner. Spectacle permanent.

Et enfin, le retour. "J'ai marché depuis le marché", pourrait-on dire, les bras chargés comme un baudet, les doigts rougis par les anses des sacs qui scient la peau. On se dit qu'on aurait dû prendre la voiture, mais au fond, cette petite marche (3 km), cette petite aventure matinale, c'est aussi ça, faire ses courses. C'est la preuve qu'on est encore capable de grandes choses, comme de se souvenir d'acheter du lait... la plupart du temps.

Alors oui, ce matin, j'ai marché pour aller au marché. Et franchement, entre nous, j'ai déjà hâte de remarcher pour y retourner... dès que j'aurai oublié la douleur dans mes épaules et retrouvé l'usage de mes doigts et de mes mollets (arterite). C'est ça, l'héroïsme du quotidien !

Etes vous faignant le Dimanche matin ?

La Famille : Ce club VIP dont on ne peut démissionner (même si on a parfois très envie)

La famille, c'est ce mélange unique d'amour inconditionnel et d'agacement profond. C'est ce repas du dimanche midi où l'on vous demande pour la quinzième fois si vous avez enfin trouvé l'âme sœur (ou au moins un travail stable), c'est cette tante qui vous pince les joues alors que vous avez dépassé l'âge de la puberté depuis bien longtemps, et c'est ce cousin qui vous raconte ses dernières vacances aux Maldives alors que vous peinez à payer votre loyer. Mais la famille, c'est aussi ce cocon réconfortant où l'on peut débarquer à l'improviste (en espérant qu'il y ait des restes dans le frigo), ces fous rires partagés devant les vieilles photos (où l'on arborait fièrement des coupes de cheveux improbables), et ce soutien indéfectible dans les moments difficiles. Alors oui, parfois, on a envie de les envoyer sur une île déserte (sans Wi-Fi), mais au fond, on les aime, nos familles (même les pièces rapportées !).

Et vous ,êtes vous famille ?!

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Les "Super Pouvoirs" de la BPCO : Quand nos héros prennent une bouffée d’humour !

Imaginez Spiderman, Superman et Batman avec la BPCO… Non, ce n’est pas une nouvelle version des Avengers, c’est la ligue des super-héros un peu... essoufflés, mais toujours aussi drôles !

Spiderman, le "Filtre à Souffle" Au lieu de grimper aux murs, notre Spiderman à la BPCO doit faire une pause toutes les deux secondes pour reprendre son souffle. Mais pas question de se laisser abattre ! Il transforme sa respiration sifflante en un chant mélodieux pour distraire ses ennemis. “Attention, vilain, je vais t’aspirer… ton souffle, pas ton âme !” (Et il le fait en soufflant comme une locomotive). Avec son inhalateur, il peut faire des pirouettes… ou s’évanouir à moitié dans la toile, mais voilà le prix d’un héros “respirant” !

Superman, le "Super-Oxygène" Son souffle est si puissant qu’il peut souffler une tornade… sauf quand il oublie son nébuliseur. Quand il se fatigue, il se pose sur un toit, sort son inhalateur et souffle comme un dragon. “Hé, Lex Luthor, tu voulais m’affaiblir ? Désolé, je viens de recharger mes batteries avec une dose de bronchodilatateur !” Et hop, il vole à nouveau, tout sourire, avec un petit coup de souffle dramatique pour faire peur à ses ennemis… ou pour reprendre son souffle.

Batman, le "Capitaine Asthme" Ce Batman-là a un gadget bien à lui : la cape équipée d’un inhalateur géant. Quand il doit faire face à un méchant, il sort son inhalateur comme un gadget ultime. “Na-na-na-na-na, je respire mieux que toi, méchant !” Et il utilise sa respiration contrôlée pour désarmer ses adversaires à la manière d’un maître Jedi respirant profondément. Même avec la BPCO, Batman reste le maître du jeu… ou du moins, du souffle.

En résumé : Même avec la BPCO, nos super-héros ne renoncent pas à leur mission… parfois, ils prennent juste le temps de souffler un peu (et de rire beaucoup). Parce qu’après tout, le vrai super-pouvoir, c’est aussi de savoir en rire… même quand on doit faire une pause pour reprendre son souffle !

Et vous, si vous étiez un héros avec une maladie, quel super pouvoir drôle utiliseriez-vous ?

le psoriasis de Maître Yoda ! Un secret bien gardé de la galaxie, moins glamour que sa maîtrise de la Force, mais tout aussi… persistant.

Imaginez la scène sur Dagobah. Luke Skywalker, en plein entraînement, tente de soulever son X-Wing des marécages. Yoda, perché sur une racine, le guide de sa voix chevrotante :

"La Force, autour de toi elle est, Luke. Ressens-la... Non, pas là ! Un peu plus à gauche... Grrrrmmmbl... Cette plaque sur mon coude, encore elle me démange !"

Luke, déconcentré : "Maître, tout va bien ?"

Yoda, se grattant frénétiquement la tête avec son bâton de gimer : "Bien, tout va. Juste... le côté obscur de la dermatologie, puissant il est. Hmmm. Cette sécheresse, une épreuve pour un Jedi elle est."

On raconte dans les archives du Temple Jedi (celles qu'Anakin n'a pas brûlées) que Yoda avait développé des techniques de méditation spécifiques pour ignorer les démangeaisons. Il appelait ça la "Patience Épidermique". Ses tentatives pour utiliser la Force afin de faire disparaître les plaques se soldaient souvent par des résultats... inattendus. Une fois, il aurait accidentellement rendu chauve un Wookiee en essayant de calmer une poussée sur son propre crâne. Le Wookiee, vexé, aurait boudé pendant trois cycles solaires.

Ses robes de Jedi ? Choisies non pas pour leur style, mais pour leur capacité à camoufler les rougeurs et à ne pas irriter sa peau sensible. Et cette manie de toujours vouloir s'asseoir sur des souches moussues ? Un pur hasard, bien sûr... ou une tentative désespérée de trouver un peu de fraîcheur apaisante.

Lors des réunions du Conseil Jedi, imaginez Mace Windu levant un sourcil (le seul qu'il ait, d'ailleurs) en voyant Yoda se tortiller discrètement sur son siège, essayant d'atteindre une zone inaccessible de son dos. "Un trouble dans la Force, je ressens," dirait Windu. Et Yoda de répondre : "Non, non, juste... une irritation passagère. La Force, toujours avec nous elle est... surtout quand ça gratte, hmmm."

Il aurait même tenté des remèdes de grand-mère de tous les systèmes planétaires : bains de boue de Naboo (trop salissants), cataplasmes d'algues de Mon Cala (ça sentait le poisson pendant des semaines), et même une crème à base de bave de Hutt (une expérience qu'il préférait oublier).

Finalement, la plus grande sagesse de Yoda face à son psoriasis n'était peut-être pas de le vaincre, mais de l'accepter avec cet humour un peu bourru qui le caractérisait. Après tout, il avait combattu des Sith, formé des générations de Jedi, guidé la République... une petite desquamation n'allait pas lui faire perdre sa contenance. Enfin, la plupart du temps.

Alors, la prochaine fois que vous vous sentirez irrité par un petit tracas du quotidien, pensez à Maître Yoda et à ses démangeaisons intergalactiques.

La question est : si même le plus sage des Maîtres Jedi doit composer avec ses petites imperfections, ne devrions-nous pas, nous aussi, apprendre à accueillir les nôtres avec un peu plus de légèreté et d'autodérision, hmmm ?

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Deadpool, le héros qui a réussi à transformer une mauvaise blague (son cancer) en une aventure épique pleine d’humour noir et de résilience ! Imaginez un peu : un gars qui, face à la pire des maladies, décide de ne pas se laisser abattre. Au lieu de pleurer dans un coin, il choisit de rire (jaune, bien sûr) et de faire des blagues même dans les moments les plus sombres. Son traitement expérimental ? Une sorte de potion magique qui lui a donné des pouvoirs, mais aussi une dose massive de sarcasme.On peut dire que Deadpool est un peu comme ce cousin un peu bizarre qui, quand la vie lui donne des citrons, préfère faire une tequila et chanter du karaoke en pyjama. Son humour noir n’est pas seulement une façon de se défendre, c’est aussi un moyen de montrer que, même face à la maladie, il faut garder la tête haute et le sens de l’humour bien affûté. Après tout, rire de tout, c’est peut-être la meilleure thérapie, non ?Alors, la prochaine fois que vous croiserez quelqu’un qui a traversé des tempêtes, rappelez-vous : peut-être qu’il a simplement décidé de faire de sa vie une grande blague, avec un peu de résilience en supplément.

Et vous, seriez-vous capable de rire quand la vie vous joue un mauvais tour ?

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Deadpool — Wikipédia