La Grande Évasion : Fuire aux Quatre Coins de la Non-Maladie !

Bonjour @Hookette contente que tout se soit bien passé pour vous pendant vos vacances belle journée biz

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Bonjour à toutes et à tous ! Aujourd'hui, je vais vous présenter un poème dédié à @Lycaon héros courageuse qui affronte de terribles acouphènes. Mais ne vous inquiétez pas, ce n’est pas une ode à la solitude sensorielle, mais plutôt une célébration de la résilience face aux maladies chroniques, qui, comme @Lycaon ont leur propre niveau de bravoure. Dans ce poème, nous découvrons que même quand le bruit devient une symphonie sifflantes et de bourdonnements, il faut garder le sourire – ou du moins, une oreille bien accrochée ! Après tout, chaque guerrier des maladies chroniques, qu’il s’agisse de diabète, de fibromyalgie ou de sclérose en plaques, mérite une standing ovation pour sa ténacité. Alors, que vous soyez atteint d’acouphènes, de migraines rebelles, ou que vous jongliez avec une maladie chronique, rappelez-vous : votre combat, aussi silencieux ou bruyant soit-il, est une aventure héroïque. Et qui sait ? Peut-être que, comme Lycaon, vous avez en vous la force de transformer chaque défi en un poème épique… avec une touche d’humour bien sûr !À toutes et à tous, portez haut votre courage, et n’oubliez pas : même dans la tourmente, il y a toujours une note d’espoir, ou au moins un bon rire à partager.

Dans le silence, un murmure s'élève,

@Lycaon ton esprit n'est qu'un rêve,

Des échos dansent dans ta tête enfiévrée,

Un chant d'ombres, une douleur pour l'éternité.

Ces sonorités, présence lancinante,

Dérangent l’âme, la nuit te tourmente,

Chaque bourdonnement, chaque cliquetis,

Sont des souvenirs d’un son que tu n’as plus pris.

Dans le tumulte de ces sons impassibles,

Cherche la paix, des instants sensibles,

La nature, en toi, peut apaiser les flots,

Écoute le vent, un doux chuchotement nouveau.

@Lycaon brave âme, lutte avec courage,

Embrasse les bruits d’un monde en voyage,

Car même dans le chaos des tonnerres,

Il existe un chant, une lumière éphémère.

Ferme les yeux et laisse-toi porter,

Par le souffle d’un rêve, un doux secret,

Trouve dans le silence, un refuge subtil,

Car au-delà du bruit, la paix est fertile.

@Hookette @Candice.S @Claudia.L @veronique53 @STEPHIE33 @Elodie @erwannono @kelily @pomme123 @Danone 16 @nuagerose @nephertitih @Catwoman @coccinelle77 @kate2424 @12byron @Flo0909 @Rochambeau @bibimet75 @maya78 @lilou88 @arlesienne @Micra60 @maritima @Fleurbleue1993 @Esteban @PetiteF @ledalle @dan26576 @Roger41 @Reno62 @gyapso @Momima @Ksimodo @Thotho14 @kanpanstu @nonnajo @beffay @Tantine56 @Stermer22 @Lycaon @Flo5985 @Brenda71 @cath999 @dinouille @Zen86200 @Vero12 @Ananina @Marialinda

Chasseur de lumière, ou la quête absurde du cliché parfait

05h10. C'est une heure à laquelle le corps humain n'est légalement pas censé être vertical. Ma motivation de la veille au soir, nourrie par des vidéos YouTube intitulées « Maîtrisez la Golden Hour en 5 leçons », s'est évaporée, laissant place à une seule, et lancinante, question : « Mais pourquoi ? » La réponse est là, posée sur une chaise, me jugeant en silence : mon appareil photo, lourd de promesses et d'objectifs interchangeables. C'est pour lui. Pour l'Art, avec un grand A comme « Absurde ».

06h20. Me voilà sur le Vieux-Port de La Rochelle, transformé en missionnaire de la belle image. Je porte mon appareil en bandoulière comme un trophée. L'air est vif, pur, glacial 10°. Chaque inspiration est un rappel que je suis le seul idiot à avoir échangé la chaleur d'une couette contre cette fraîcheur de cryogénisation. Le port est à moi. Les deux Tours, Saint-Nicolas et la Chaîne, se dressent dans la pénombre, majestueuses et un peu intimidantes. C'est LE cliché à faire. Un employé municipal passe l'aspirateur à déchets sur le quai, me lançant un regard qui oscille entre la pitié et l'incompréhension.

06h30. Mission « Tours du Port » accomplie . Je me lance alors dans une quête plus artistique : la photo de détail. Me voilà à quatre pattes, l'œil collé au viseur, tentant de capturer la poésie d'une vieille aussière humide. Je règle l'ouverture, j'ajuste l'ISO, je retiens ma respiration... Le résultat ? Une photo très nette d'une corde. Fascinant. Je passe dix minutes à immortaliser une flaque d'eau dans laquelle se reflète un lampadaire. Je l'appellerai « Narcisse Urbain » ou « Mélancolie d'une flaque ». J'hésite. Mes sujets principaux sont les goélands et mouettes. Ils ont le charisme d'un contrôleur fiscal et la grâce d'un sac en plastique dans le vent. J'essaie de capturer l'un d'eux en plein vol, l'air noble, le regard tourné vers l'horizon. Mais la faune locale n'est pas coopérative. L'un me tourne ostensiblement le dos, l'autre est occupé à dépecer une pizza quatre fromages de la veille. Je prends la photo quand même. « Nature et Résilience », ça fera un bon titre.

07h00. Le soleil pointe enfin le bout de son nez. La fameuse « golden hour » est là ! La lumière est sublime, chaude, elle caresse les coques des bateaux et transforme le moindre boulon rouillé en pépite d'or. Je mitraille. Je suis en transe. Je prends des photos de tout : un cadenas, une chaîne d'ancre, le reflet orangé sur la vitre d'un bateau-mouche... Je suis un génie, un Rembrandt de la photographie portuaire !

07h15. L'odeur. L'odeur divine d'un croissant chaud et d'un café fraîchement moulu s'échappe d'une boulangerie qui vient d'ouvrir. Mon âme d'artiste est instantanément court-circuitée par mon estomac. L'appareil photo pèse soudain une tonne. La quête de la beauté peut bien attendre.

Je m'installe en terrasse, le sac à dos posé sur la chaise d'à côté. Je fais défiler mes clichés sur le petit écran de l'appareil. Sur 112 photos : 71 sont... correctes. Finalement, la meilleure photo de la matinée n'est pas dans l'appareil. C'est celle, dans ma tête, du port silencieux, baigné d'une lumière rien que pour moi. Et la meilleure sensation ? Celle de ce café chaud qui me réchauffe. L'Art, c'est bien. Un croissant, c'est mieux.

La quête du cliché parfait, aussi passionnée qu'absurde, nous rappelle une vérité simple : parfois, la beauté se trouve dans l'instant présent, dans une tasse de café chaud ou dans la lumière d'une matinée ordinaire. Chercher l'idéal peut nous faire oublier que l'art réside souvent dans l'imperfection, dans la simplicité du moment vécu. Alors, laissons de côté la recherche incessante du « parfait » et savourons plutôt ce qui est là, maintenant, avec authenticité et plaisir. Après tout, la vraie magie ne se cache pas dans la photo parfaite, mais dans la capacité à apprécier l'éphémère et le quotidien.

Bonjour Phildu, très beau récit teinté d'une mélancolie et magnifique image. Merci pour ce moment d'évasion. Nouvelle sur le site, je maîtrise pas encore tous ses atouts. Je sais pas comment intégrer une image sur un post. Je vais étudier cela demain.

J'habite St Malo en Bretagne en nous avons aussi des lever et coucher de soleil sur la plage du sillon féeriques.

Belle journée à vous tous chers membres, je me sens moins seule désormais. A plus tard. Amitiés.

Bonjour ! avant de commencer cette lecture , je tiens à préciser que je n'ai pris aucune substance prohibée !!😂

La BPCO ! Cette maladie chronique qui, avouons-le, ne paie pas de mine au rayon super-pouvoirs. Et pourtant ! Si on y regardait de plus près, avec une bonne dose d'humour et une pincée d'absurdité ? Voici la ligue des justiciers un peu essoufflés, mais pleins de ressources (et de mucus) : "Les Broncho-Vengeurs" !

1. Capitaine Ventoline (alias Jean-Michel Soufflard)

Origine du "pouvoir" : Une vie de clopes derrière la cravate et une collection impressionnante d'inhalateurs.

Super-pouvoir comique : "Le Souffle de l'Incertitude." Quand Capitaine Ventoline prend une énorme bouffée de son inhalateur magique (parfois c'est le bon, parfois c'est celui à la menthe périmé), il peut : Soit déclencher un sprint de 4,5 secondes pour attraper le dernier biscuit à la cantine des méchants. Soit émettre un sifflement si aigu qu'il fait imploser les verres à moutarde et désoriente les caniches de combat. Soit... rien du tout, à part une quinte de toux qui lui donne un air très menaçant pendant qu'il reprend son souffle.

Mode d'action : Il arrive sur les lieux du crime en marchant lentement, s'arrête, sort son inhalateur, mime une transformation spectaculaire... puis demande si quelqu'un a une chaise. Sa plus grande tactique : l'effet de surprise de sa propre (in)capacité.

2. L'Expectoratrice (alias Josiane Glaviovitch)

Origine du "pouvoir" : Une bronchite chronique qui a muté après une exposition accidentelle à un pot de cornichons radioactifs (longue histoire).

Super-pouvoir comique : "Le Crachat Stratégique." Josiane peut, avec une précision digne d'un archer olympique (mais beaucoup moins glamour), projeter un flegme aux propriétés étonnantes :

Version "Glue" : Immobilise les petits objets, comme les clés de la voiture du méchant ou sa moumoute.

Version "Patinette" : Rend une petite surface de sol incroyablement glissante. Très efficace dans les couloirs.

Mode d'action : Elle évalue la situation, racle sa gorge de manière sonore (ce qui a déjà fait fuir quelques malfrats débutants), et choisit sa "munition". Son mouchoir est son carquois.

3. Le Siffleur Nocturne (alias Paulo Tuyaux-Cassés)

Origine du "pouvoir" : Une BPCO sévère qui transforme ses bronches en véritable instrument à vent.

Super-pouvoir comique : "La Symphonie Asthmatique Désorientante." Selon son niveau de stress ou l'humidité ambiante, Paulo émet une gamme de sifflements, de râles et de gargouillis pulmonaires qui peuvent : Imiter le chant d'un oiseau rare, attirant les ornithologues et la police (pour tapage nocturne). Créer une cacophonie telle que les systèmes de communication ennemis tombent en panne (ou les opérateurs préfèrent couper le son). Endormir les gardes les moins vigilants grâce à un ronflement/sifflement berceur et régulier.

Mode d'action : Souvent utilisé pour des missions d'infiltration discrète... qui deviennent rapidement moins discrètes. Il est le seul héros capable de faire fuir un ennemi simplement en respirant un peu fort à côté de son oreille.

4. Miss Oxy-Gêne (alias Bernadette Lairfrais)

Origine du "pouvoir" : Sa BPCO nécessite un apport constant en oxygène via une petite bonbonne qu'elle trimbale partout.

Super-pouvoir comique : "Le Tank à Tout Faire." Sa bonbonne d'oxygène n'est pas qu'une assistance respiratoire, c'est une arme polyvalente : Le "Coup de la Bonbonne" : Un swing bien placé peut faire trébucher ou sonner un adversaire (elle vise les tibias, c'est plus sûr).

"Jet d'Air Comprimé Surprise" : Une petite fuite "accidentelle" bien dirigée peut éteindre une bougie, faire voler des papiers importants ou décoiffer un méchant chauve.

Le "Fil d'Ariane Oxygéné" : Elle utilise parfois son tuyau pour ne pas se perdre dans les repaires labyrinthiques... ou pour faire des croche-pieds.

Mode d'action : Elle avance avec la grâce d'un petit tank, son tuyau créant un périmètre de sécurité involontaire. Les méchants sont souvent plus déstabilisés par la logistique de sa présence que par ses attaques.

Ces héros ne gagneront peut-être pas toujours avec panache, mais ils prouvent qu'avec un peu d'imagination (et beaucoup de toux), on peut trouver de l'humour même dans les situations les plus essoufflantes ! Ils sont la preuve vivante que le vrai super-pouvoir, c'est de garder le sourire... entre deux bouffées.

Même avec la BPCO, nos super-héros ne renoncent pas à leur mission… parfois, ils prennent juste le temps de souffler un peu (et de rire beaucoup). Parce qu’après tout, le vrai super-pouvoir, c’est aussi de savoir en rire… même quand on doit faire une pause pour reprendre son souffle !

Et vous avec votre maladie, si vous étiez un héros , quel super pouvoir drôle utiliseriez-vous ?

Floraison de Fleurs-Bleues

Dans un jardin où tout scintille,

Se dresse une @Fleurbleue1993 qui s'illustre,

Elle est la reine de l'hypersensibilité,

À la pression, elle vit en vulnérabilité.

Ses pétales douillets, oh comme ils frémissent,

Au moindre frôlement, elle se hisse,

"Doucement, s'il vous plaît, ne me pressez pas,

Un léger souffle et je plonge dans le trépas !"

Quand le vent souffle un petit peu plus fort,

Elle se tord et s'évente, un vrai sport !

Les abeilles passent, elles se mettent à prier,

"Si tu sais, @Fleurbleue1993 faut pas nous piquer !"

Elle rêve de douces caresses toujours légères,

Mais son entourage, un peu trop sournois, s’y perd,

Les papillons rient, ils ne comprennent pas,

Que ses chatouilles sont plus des coups qu'un émoi.

Mais là où la vie semble être une farce,

@Fleurbleue1993 se pavane, remplie de grâce.

Avec humour, elle nous rappelle en riant,

Que parfois, la légèreté est un doux vent.

Alors saluons notre @Fleurbleue1993 unie,

Dans son monde de gags et d'harmonies.

Elle fleurit malgré tout, oh quelle belle leçon !

Le rire, même douloureux, est une belle condition !

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Souvenirs d'antan : Échos d'une nostalgie douce

Aujourd'hui je suis dans la nostalgie !

La Rochelle dans fin des années 60, quelle époque ! Imaginez un gamin débarquant rue Bletterie, les valises à la main et le cœur léger, prêt à découvrir cette ville qui allait devenir le théâtre de tant d'aventures.

Inscription à l’école Bonpland (disparue) pour moi et ma frangine école Valin..plus tard ,je voulais être hirondelle (flic) comme métier, je les voyais souvent tourner dans les rues près des écoles, souvent à des croisements.

Il y avait la gendarmerie rue Amelot. Un bâtiment imposant où l'on préférait ne pas être convoqué, sauf peut-être pour signaler le vol de sa bicyclette, un classique ! Les gendarmes, avec leurs uniformes stricts et leurs moustaches bien taillées, semblaient tout droit sortis d'un film de Louis de Funès.

Et que dire des cinémas ? Ah, les cinémas ! Il y avait le Rio, où l'on allait pour voir les derniers films à l'affiche, souvent en noir et blanc, et où les sièges en velours rouge craquaient à chaque mouvement. L'Olympia, lui, était un peu plus chic, le genre d'endroit où l'on portait sa plus belle chemise pour impressionner les demoiselles. L'Apollo, quant à lui, était le temple des films d'action et des westerns, où les héros à cheval faisaient rêver toute une génération. Ma mère me donnais 1 franc 50 pour une place et une glace..

Le Paris, le Rex et le Richelieu etc.. complétaient cette panoplie de salles obscures où l'on pouvait échapper à la réalité le temps d'une séance. Les films étaient souvent entrecoupés d'entractes où l'on pouvait acheter des glaces et des bonbons, vendus par des ouvreuses qui semblaient connaître tout le monde par leur prénom.

La Rochelle fin des années 60, c'était aussi une ville où l'on se déplaçait à vélo ou à pied, où les voitures étaient encore une denrée rare mais suffisamment encombrantes et où les rues pavées résonnaient du bruit des sabots des chevaux tirant les charrettes des marchands de légumes et les pots d'échappement... Les cafés étaient remplis de monde, et les discussions animées fusaient de toutes parts, entre parties de belote et verres de vin rouge.

Les marchés regorgeaient de produits locaux, et les odeurs des étals de poisson et la charette de Mitraillette et ses "sans sel " se mélangeaient à celles des fruits et légumes frais. Les commerçants, toujours prêts à discuter, connaissaient leurs clients par leur prénom et n'hésitaient pas à leur offrir un petit quelque chose en plus.

Et puis, il y avait la mer. Toujours présente, toujours changeante, avec ses marées qui rythmaient la vie de la ville. Les balades sur le port, les parties de pêche à la ligne, les baignades estivales... La mer était une compagne fidèle, une source inépuisable de rêves et d'aventures.

La Rochelle fin des années 60, c'était une ville où la vie était simple, où les gens prenaient le temps de vivre et de profiter des petites choses. Une époque où l'on pouvait encore croire que tout était possible, où les rêves avaient la saveur des bonbons acidulés et où l'avenir s'annonçait radieux.

Un de mes endroits préférés était la Pergola, plage de la Concurrence, c'était un lieu de rencontre incontournable pour nous, les jeunes. On s'y retrouvait pour discuter, rire et profiter de la vue sur l'océan. Le plongeoir en béton était un vrai symbole de notre jeunesse insouciante. On passait des heures à sauter dans l'eau, à faire des concours de plongeon et à se rafraîchir pendant les chaudes journées d'été.

On y jouait au volley, on faisait des châteaux de sable et on se baignait. La mer était toujours un peu froide, mais ça ne nous empêchait pas de profiter de chaque instant. Les pique-niques sur la plage étaient aussi un grand classique. On apportait des sandwiches, des fruits et des boissons fraîches, et on passait la journée à se détendre et à profiter du soleil.

Le vélo était notre moyen de transport. On faisait des tours autour de la ville, on explorait les environs et on se sentait libres. Les balades à vélo le long de la côte étaient particulièrement agréables, avec le vent dans les cheveux ..

Et bien sûr, il y avait les fêtes locales et les événements culturels. La Rochelle était une ville animée, avec des concerts, la cavalcade, des spectacles de rue et des marchés artisanaux. On aimait se retrouver pour ces occasions spéciales, découvrir de nouvelles choses et profiter de l'ambiance festive.

Les années 60 à La Rochelle, c'était une époque de simplicité et de bonheur. On savait profiter des petites choses de la vie et créer des souvenirs inoubliables avec nos amis et notre famille. Alors, quand je repense à ces années-là, je ne peux m'empêcher de sourire. La Rochelle m'a offert tant de souvenirs.

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Écrits nocturnes d'un auteur en quête de sommeil

Je n'ai pas fermé l'œil de la nuit, et j'ai commencé à me demander si c'était moi qui était insomniaque ou si mon oreiller avait un problème de personnalité. Je suis resté là, dans le noir, à compter les moutons qui, au lieu de sauter par-dessus la clôture, semblaient prendre des vacances bien méritées.

Alors, dans ma quête désespérée de sommeil, j'ai décidé de faire appel à mon fidèle compagnon : l'ordinateur. Ah, cet engin magique qui, à première vue, semble être un grand secours, mais qui, en réalité, ressemble davantage à un bon copain qui vous invite à une fête où seul le café décaféiné est servi.

J'ai ouvert mon document et j'ai commencé à avancer doucement sur mon bouquin. Mais soyons honnêtes, сe n'est pas en écrivant à 3 heures du matin que l'on produit le chef-d'œuvre du siècle. Mes idées étaient aussi claires qu'une pensée de quelqu'un sous l'emprise de cinq tasses de café. J'avais cette vague impression que mon inspiration s'était endormie pendant que le reste de moi tournait en rond comme un hamster sur une roue.

Finalement, j’ai lâché prise et j’ai décidé que l’écriture de la nuit serait un journal de mon moment de folie. Peut-être que je ne finirai jamais ce roman, mais j’aurai au moins des souvenirs hilarants de cette insomnie créative. Et qui sait, peut-être que l'une ou l'autre de ces élucubrations finira par faire rire quelqu'un… un jour… dans un autre univers… où les moutons ne prennent jamais de vacances !

Avez-vous déjà ressenti que l'absence de sommeil pouvait vous inspirer d'étranges et merveilleuses idées, ou préférez-vous la clarté d'esprit d'une bonne nuit de repos ?

nos pathologies voulez vous dire ? quand je suis avec des amis , je ne parle pas de maladie , je parle de tout de beaucoup plus d'arts de musique de ce que nous allons faire de beaux dans la semaine ? et venir voir ce qui se passe chez dans les musées , la danse , concerts a Arles ville d'arts de culture, et de cuisine ? chose importante de la vie.

sur Carenity on vous parle de pathologie sur certaines maladies, il est certain que nous sommes au courant des nouveaux traitements a lire? mais ne donnent pas de diagnostic , c'est normal . seul un médecin est là pour le faire .

bonne soirée

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Épopée d'un Narhinocéros !

Un jour, dans un petit village où tout le monde se connaissait, un homme nommé Phildu, considéré comme le plus grand raconteur de blagues du coin, se réveilla avec un gros rhume. Il se sentait comme un éléphant pris dans une tempête de neige : il toussait, avait le nez qui coulait comme une fontaine et un mal de crâne digne d’un tambour bien frappé. Malgré sa condition, Phildu ne voulait pas annuler son spectacle du soir, car il avait promis de raconter ses meilleures blagues à la foule du village. Mais à mesure qu’il se préparait, il commença à réfléchir... Que faire ? Il se décida alors à improviser un numéro en lien avec son état. Le soir venu, devant une assemblée hétéroclite de villageois, il monta sur scène avec des mouchoirs dans les poches et un gros verre d'eau. À peine avait-il commencé à parler qu'il éternua si fort qu'il fit tomber son chapeau et éclaboussa son voisin ! Tout le monde éclata de rire. Phildu, un sourire malicieux sur le visage, profita de la situation : "C'est le vrai spectacle de ce soir, mesdames et messieurs ! Le 'consultation de rhume' ! Qui ici a déjà éternué si fort qu'il a failli s'envoler ?"La salle riait aux éclats. Il enchaîna avec des blagues sur le mal de tête, la toux et même sur le fait que le nez qui coule est le système de ventilation du corps ! Le public était conquis, et Phildu, malgré ses mésaventures, a passé un moment incroyable. A la fin de son spectacle, haletant mais heureux, il se tourna vers le public, un dernier sourire aux lèvres et lança

"Alors, qui parmi vous a le meilleur remède pour un rhume ?"