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Remèdes naturels pour mieux vivre au quotidien
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Publié par : Dr. Nicolas Evrard (24. juillet 2013)
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Introduction
Dans tous les cas de crampes musculaires
Qui n'a jamais eu cette sensation vive et douloureuse qui survient en plein milieu de la nuit et réveille instantanément ? Les crampes sont des contractions douloureuses, involontaires et passagères d'un ou de plusieurs muscles. Elles n'arrivent pas seulement la nuit, elle peuvent aussi survenir suite à un effort physique ou pendant la grossesse.
Dans certains cas, les crampes sont consécutives d'une carence ( fer, magnésium, calcium...). D'autres fois, elles sont liées à une sollicitation musculaire exagérée.
Les crampes sont le plus souvent dues à une hydratation insuffisante, une mauvaise posture, parfois une mauvaise circulation artéreille ou veineuse. Elles sont favorisées par l'abus d'excitants (café,alcool), la pilule contraceptive ou la prise de certains médicaments (diurétiques, antihypertenseurs...).
En cas de crampes, ayez quelques bons réflexes :
- étirer le muscle doucement,
- masser la zone douloureuse,
- appliquer localement une compresse chaude,
- s'hydrater suffisamment,
- éviter l'alcool et la caféine.
Les crampes sont souvent bénignes, mais si elles se répètent, il faudra consulter un médecin, car leur répétition peut être le signe d'un trouble métabolique ou d'une maladie sous-jacente. Le médecin pourra prescrire des examens complémentaires spécifiques.
L'homéopathie en première intention peut soulager la douleur des crampes et même aider à les prévenir. Alors pourquoi ne pas essayer les solutions homéo en cas de crampes ?
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Homéopathie et sport
Publié par : Dr. Nicolas Evrard (26. septembre 2013)
Sommaire
Crampes, contractures, courbatures... Aïe, le sport peut faire mal ! Heureusement, que vous soyez un sportif amateur ou confirmé, l'homéopathie peut vous aider.
Quand on s'est fait mal
Après un traumatisme (sportif ou pas) qui ne connaît pas en homéopathie Arnica montana ?
L'administration d'Arnica montana doit être la plus précoce possible pour limiter hématomes et douleurs.
Par exemple, Arnica montana 9 CH : une dose dès que possible, puis Arnica montana 9 CH, 5 granules toutes les heures.
Lorsque le "traumatisme" est prévisible (course à pied, effort sportif important), on peut conseiller de prendre Arnica montana 9 CH : une dose par jour, en commençant trois jours avant, puis 5 granules 3 fois par jour, le jour de l'effort.
En cas de douleurs consécutives à un traumatisme ancien : Arnica montana 15 CH, 5 granules deux fois par jour, pendant plusieurs jours ou semaines.
Arnica montana existe en doses ou en tubes de granules dans toutes les dilutions.
Lors d'un effort sportif, les comprimés d'homéopathie orodispersibles Arnicalme® (Arnica Montana 9 CH) sont pratiques, faciles d'utilisation et ne nécessitent pas d'eau. Arnicalme® convient à toutes les personnes pratiquant un sport, pour l'entraînement, la compétition... sans aucun risque de dopage.
Bon à savoir : Que faire contre les courbatures ?
- 1 sur 25
La meilleure stratégie pour prévenir des courbatures : quand vous faites du sport,allez-y doucement et ne forcez jamais …
A lire aussi :
> Les crampes traitées par l'homéopathie
Tout le monde en a souffert au moins une fois dans sa vie : les courbatures.
Elles surviennent après uneffort inhabituel (par exemple un sport qu'on n'a pas l'habitude de pratiquer) ou après une activité physique éprouvante (un entraînement particulièrement éprouvant).
© Jupiterimages/iStockphoto
Heureusement, les courbatures sont sans gravité et totalement anodines, comparées à des claquages ou déhirurres musculaires.
© Jupiterimages/StockbyteLes courbatures surviennent surtout chez les personnes pas ou peu entraînées, ne pratiquant pas une activité physique régulière. Mais personne n’est à l’abri !
© Jupiterimages/PhotoDiscMême des sportifs bien entraînés peuvent souffrir de courbatures, par exemple lorsqu’ils passent d’un modèle de mouvements à un nouvel enchaînement, ou après un entraînement particulièrement intense.
© Jupiterimages/PhotoDisc
Les courbatures sont particulièrement fréquentes dans le cadre de disciplines sportives où l’on passe rapidement de mouvements d’élan à des mouvements de freinage, tels que : squash, tennis, foot ou les sports de musculation (haltérophilie).
© Jupiterimages/iStockphoto
Les adeptes du running sont moins exposés au risque des courbatures, car cette discipline se base sur des mouvements réguliers.
© Jupiterimages/Stockbyte
En cas de courbatures, le moindre mouvement des muscles touchés se fait douloureusement ressentir.
© Jupiterimages/Wavebreak MediaGénéralement, les muscles courbaturés sont comme « rigides » et sensibles à la pression et au toucher. Les mouvements semblent plus rigides.
© Jupiterimages/StockbyteLes courbatures affaiblissent les muscles qui peuvent perdre jusqu’à 30 % de leur force habituelle.
© Jupiterimages/HemeraEn règle générale, les courbatures ne se manifestent pas immédiatement, mais se ressentent seulementquelques heures après l’effort physique.
© Jupiterimages/iStockphotoUne fois que les courbatures se sont installées, les douleurs musculaires s’intensifient dans les 3 premiers jours.
© Jupiterimages/iStockphoto
Après, les douleurs s’estompent petit à petit. En règle générale, les courbatures ont disparu au plus tard une semaine après l’effort.
Si au-delà de cette période, les douleurs ne diminuent ou disparaissent pas, il est conseillé de consuter un médecin.
© Jupiterimages/Photos.com
Les courbatures ne laissentpas de séquelles physiques durables et sont sans gravité en soi. Il est cependant préférable d’attendre un jour avant de reprendre l’activité physique. Ou alors de privilégier une activité sollicitant d’autre groupes musculaires.
© Jupiterimages/iStockphotoPendant longtemps on a présumé que les douleurs de courbatures sont provoquées par une accumulation d’acides lactiques dans les muscles.
© Jupiterimages/HemeraAujourd’hui on sait que ce sont des micro-traumatismes - despetites blessures dans les fibres musculaires qui provoquent les douleurs.
© Jupiterimages/iStockphotoDes efforts musculaires incontrôlés lors de mouvements inhabituels causent de minuscules fissures dans les fibres musculaires impliquées, provoquant ainsi une réaction inflammatoire et douloureuse : les courbatures.
© Jupiterimages/PixlandCes processus prennent un certain temps, ce qui explique que les courbatures ne se manifestent pas immédiatement, mais se déclarent avec un certain décalage.
© Jupiterimages/iStockphotoNormalement, les courbatures ne nécessitent pas de traitement particulier, en règle générale elles disparaissent progressivement d’elles-mêmes.
© Jupiterimages/StockbyteQue faire en attendant ce moment de soulagement ?Ménagez vos muscles et renoncez au sport dans un premier temps !
© Jupiterimages/Monkey BusinessLe repos, ce n’est pas pour vous ? Alors allez-y doucement et évitez des efforts musculaires intenses. Essayez par exemple de faire un petit tour en vélo ou quelques longueurs à la piscine. Mais tout en douceur !
© Jupiterimages/iStockphotoPour atténuer les courbatures, un seul mot d’ordre : la chaleur! Elle améliore la circulation sanguine et accélère la guérison. Prenez donc un bain chaud (idéalement avec des additifs au romarin ou aux aiguilles de pin). Une séance de sauna peut également soulager.
© Jupiterimages/HemeraEvitez les massages ! Si, d’une manière générale, les massages permettent de détendre les muscles, ils ne les aident pas à récupérer en cas de courbatures. Au contraire, les massages risquent même de mettre les muscles déjà fatigués encore davantage à l’épreuve.
© Jupiterimages/Stockbyte
Si les courbatures sont très douloureuses, des antalgiques ou des anti-inflammatoirespeuvent soulager (comprimés, gel ou pommade,…).
N’oubliez pas non plus les bienfaits de l'arnica, en crème ou homéopathie !
© Jupiterimages/iStockphoto
L’efficacité de l’échauffement et du stretching pour prévenir les courbatures n’a pas été prouvée. En revanche, les deux techniques aident à diminuer le risque d’un claquage musculaire.
L'arnica est également efficace comme traitement préventif !
© Jupiterimages/iStockphoto
La meilleure stratégie pour prévenir des courbatures : quand vous faites du sport,allez-y doucement et ne forcez jamais …
A lire aussi :
> Les crampes traitées par l'homéopathie
Tout le monde en a souffert au moins une fois dans sa vie : les courbatures.
Elles surviennent après uneffort inhabituel (par exemple un sport qu'on n'a pas l'habitude de pratiquer) ou après une activité physique éprouvante (un entraînement particulièrement éprouvant).
L'arnica
Publié par : Elide Achille (27. mai 2015)
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Bobo, douleur, bleu... et on pense alors très souvent à arnica. Mais pourquoi au juste ? Qu'est-donc l'arnica ? Et quelles sont ses effets exacts ?
L’arnica est une plante qui fait partie de la famille botanique des Asteraceae. L’arnica montana, selon son appellation latine, est originaire des régions montagneuses européennes médianes, notamment en France. Elle pousse en altitude, sur des sols inclinés et acides.
L’arnica a l’aspect d’une grosse marguerite jaune orangée, avec une tige verte pale recouverte de petits poils odorants appelés trichomes. Lors de la fabrication des médicaments homéopathiques à base d’arnica montana, c’est la plante fraîche et entière qui est utilisée, car toutes ses parties renferment de nombreux procédés chimiques.
L’arnica est reconnue pour ses propriétés médicinales et utilisée depuis l’antiquité à titre curatif, pour son pouvoir antidouleur. Cette plante contient en effet des molécules actives aux propriétésanti-inflammatoires, veinotoniques, antiseptiques et anti-oxydantes (lactones sesquiterpéniques, flavonoïdes, …). La teinture mère d’arnica, solution obtenue après 4 étapes de fabrication (macération, expression, filtration, contrôle), est la base des médicamentshoméopathiques.
Les médicaments homéopathiques à base d’arnica sont traditionnellement indiqués pour soulager les symptômes des affections d’origine traumatique : bleus, hématomes, œdèmes, contractures ou douleurs musculaires, etc.
Bon à savoir : Plantes médicinales : quand et comment les utiliser ?
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Massage abdominal Unizen: vidéo
Le massage abdominal expliqué par Olivier Elbaz, praticien Unizen
Olivier Elbaz, praticien Unizen, nous montre comment et pourquoi pratiquer la technique du massage abdominal.
Le massage abdominal part du haut de la cage thoracique jusqu'à l'os pubien en n'oubliant pas les flancs. Dans cette vidéo, le praticien nous montre comment masser l'appareil digestif : intestin,estomac, foie, vessie, vésicule biliaire, pancréas.
Quels sont les gestes à effectuer pour pratiquer un massage abdominal en auto massage ?
Ce massage abdominal doit se faire dans la douceur.
Le geste est circulaire, dans le sens des aiguilles d'une montre, pour suivre le travail de digestion de l'appareil digestif fait par le gros intestin.
Quels sont les bénéfices du massage abdominal ?
Suivez les différents gestes de base du praticien Unizen en vidéo pour réaliser vous même ce massage abdominal et vous soulager si vous souffrez de constipation par exemple ou de problèmes liés à la digestion.
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Publié par : Dr. Nicolas Evrard (24. février 2015)
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Introduction
Les traitements
Toute personne qui a connu un jour des ballonnements digestifs sait combien la gêne occasionnée peut-être handicapante au quotidien, surtout si les ballonnements deviennent chroniques.
Les ballonnements sont liés à l'accumulation de gaz dans l'intestin, ils donnent la sensation d'avoir de l'air dans le ventre.
Ils se manifestent par des gaz, accompagnés de maux de ventre et de tiraillements. Pour amoindrir ces symptômes, en plus de l'application de règles diététiques, en plus d'éventuels médicaments, certaines personnes se tournent vers l'homéopathie.
Les causes
Les causes des ballonnements sont assez difficiles à déterminer, même si une alimentation trop riche en fibres, en boissons gazeuses... est souvent incriminée.
Mais il existe aussi un terrain qui peut éventuellement prédisposé à souffrir d'un côlon irritable, de ballonnements. Un état d'anxiété peut favoriser ce genre de symptômes.
En cas de ballonnements importants, on peut prendre l'avis d'un médecin généraliste pour établir un diagnostic, voire un médecin gastro-entérologue.
En plus d'examiner le patient, le praticien cherche d'éventuels autres signes associés aux ballonnements :
diarrhée,
constipation,
saignements digestifs...
Des examens complémentaires ne sont pas forcément demandés en cas de ballonnements digestifs, sauf pour s'assurer qu'il n'existe pas de lésions intestinales particulières.
En images : 15 conseils pour ménager votre estomac
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Publié par : Dr. Nicolas Evrard (08. septembre 2014)
© Jupiterimages/iStockphoto
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Introduction
Une légère sécheresse oculaire
Une allergie
Sources et notes
Les yeux qui grattent est un symptôme qui survient assez souvent, surtout au printemps, au moment où les allergies dues aux pollens se révèlent. Différents traitements, différentes solutions sont possibles... Et en homéopathie, des traitements spécifiques peuvent être indiqués quand les yeux grattent.
Mais dans tous les cas, avant d'appliquer tout traitement contre les yeux qui grattent, il est recommandé de prendre l'avis d'un médecin. Un examen clinique des yeux est indispensable pour établir, dans un premier temps, un diagnostic précis.
Les yeux qui grattent (ou une irritation oculaire) sont plus ou moins associés à ces symptômes :
un oeil rouge,
une sensation de brûlure,
des picotements, des larmoiements, des tiraillements
une impression d'avoir une poussière/un grain de sable dans l'oeil,
une gêne oculaire, une fatigue oculaire,
des paupières gonflées et/ou collées,
une sécheresse oculaire.
En homéopathie, le traitement principal contre les yeux qui grattent est surtout composé de ces médicaments :
Apis Mellifica 15 CH : ce traitement est indiqué en cas de conjonctivite avec oedème palpébral, de douleurs piquantes voire brûlantes, améliorées par l'application de froid.
Posologie : 5 granules toutes les 15 minutes, à espacer selon l'amélioration des signes.
Euphrasia Officinalis 5 CH : proposé en cas de sensation de brûlures oculaires avec deslarmoiements abondants et irritants. Et quand ces symptômes sont aggravés par la chaleur ou la lumière.
Posologie : 5 granules toutes les heures, à espacer selon l'amélioration des signes.
A noter qu'en pharmacie, on peut trouver un traitement homéopathique ("spécialité") contre les yeux qui grattent aux origines diverses. Demandez l'avis à votre pharmacien :
Homeoptic collyre unidoses® : est « un médicament homéopathique traditionnellement utilisé chez l'adulte et l'enfant à partir d'un an, en cas d'irritation ou de gêne oculaire d'origines diverses (effort visuel soutenu, bain de mer ou de piscine, fatigue oculaire, atmosphère enfumée, etc.) ».
Posologie : 1 à 2 gouttes dans chaque oeil, 2 à 6 fois par jour. Cesser le traitement dès la disparition des symptômes.
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Introduction
Une légère sécheresse oculaire
Une allergie
Sources et notes
Encore une fois, avant d'envisager un traitement, un examen médical des yeux est obligatoire. Le mieux est certainement de s'adresser à un médecin ophtalmologiste pratiquant l'homéopathie.
Bryonia 5 CH : proposé en cas de sensation de cuisson, de sécheresse oculaire aggravée par les mouvements des yeux.
Posologie : 5 granules, 4 à 6 fois par jour.
En cas de conjonctivite aiguë
Ne sont pas envisagées les conjonctivites bactériennes ou parasitaires qui nécessitent l'avis et les soins d'un ophtalmalogiste.
En cas de conjonctivite aiguë (où souvent les yeux grattent) au stade pré-catarrhal, on peut recommander en homéopathie :
Aconitum Napellus 9 CH : médicament indiqué en homéopathie dans un contexte de conjonctivites apparaissant après une exposition au froid sec. Proposé en cas d'une sensation de douleur brûlante, de larmoiements avec une conjonctive rouge et brillante.
Posologie : 5 granules toutes les heures, à espacer selon amélioration des signes.
Belladonna 9 CH : médicament indiqué en cas de congestion brutale et intense, une sensation de sècheresse et de brûlure des conjonctives, pas de larmoiement, une photophobie (crainte de la lumière) importante.
Posologie : 5 granules toutes les heures, à espacer selon l'amélioration des symptômes.
Apis Mellifica 15 CH : en cas de conjonctivite avec un oedème des paupières, des douleurs piquantes voire brûlantes, améliorées par l'application de froid.
Posologie : 5 granules toutes les 15 minutes, à espacer selon l'amélioration des symptômes.
En cas de conjonctivite aiguë à un stade plus avancé (stade catarrhal)
En homéopathie, on peut proposer :
Euphrasia Officinalis 5 CH : lors de sensations de brûlures oculaires avec des larmoiements abondants et irritants. Et en cas d'aggravation par la chaleur et à la lumière.
Poso : 5 granules toutes les heures, à espacer selon amélioration des signes.
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Introduction
Une légère sécheresse oculaire
Une allergie
Sources et notes
Les démangeaisons oculaires reflètent très souvent l'existence d'une allergie. En cas d'exposition aux allergènes responsables (comme des pollens), les démangeaisons d'apparition brutale sont souvent associées à un larmoiement et à un gonflement des paupières et de la conjonctive.
Dans ce cas, l'avis d'un médecin est encore une fois recommandé. Attention surtout de ne pas laisser s'installer une conjonctivite qui peut se développer de façon majeure.
Le médicament homéopathique indiqué en cas d'allergie est :
Poumon histamine 9 CH : 5 granules matin et soir, pendant toute la période d'exposition aux allergènes.
Selon les symptômes oculaires, on peut utiliser les médicaments de conjonctivites indiqués en homéopathie :
Apis Mellifica 15 CH : en cas de conjonctivite avec un oedème des paupières, de douleurs piquantes voire brûlantes, améliorées par l'application de froid.
Posologie : 5 granules toutes les 15 minutes, à espacer selon amélioration des signes.
Belladonna 9 CH : ce médicament d'homéopathie est proposé en cas de congestion brutale plus intense, de sensation de sècheresse et de brûlures des conjonctives, pas de larmoiement, une photophobie (crainte de la lumière) importante.
Posologie : 5 granules toutes les heures, à espacer selon l'amélioration des symptômes.
Euphrasia Officinalis 5 CH : lors de sensations de brûlures oculaires avec un larmoiement abondant et irritant. Et s'il existe une aggravation des symptômes à la chaleur et à la lumière.
Posologie : 5 granules toutes les heures, à espacer selon l'amélioration des symptômes.
A ces médicaments homéopathiques, on peut encore associer :
Pollens 15 CH : 5 granules matin et soir, pendant toute la période de contact avec les pollens allergisants et responsables des signes oculaires.
A noter qu'en pharmacie, on peut aussi trouver un médicament ("spécialité") vendu sans ordonnance : Rhinallergy® « Médicament homéopathique traditionnellement utilisé dans le traitement symptomatique des rhinites allergiques transitoires (rhume des foins) et des conjonctivites allergiquestransitoires ».
Posologie : Sucer lentement 1 comprimé toutes les 1 à 2 heures, sans dépasser 6 comprimés par jour.
Cesser le traitement dès la disparition des troubles. Durée maximale du traitement : une semaine.
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Asthénie / Dépression et fatigue
Écrit par les experts Ooreka
Fatigue et dépression : des liens étroits.
Les symptômes d'une dépression sont nombreux et permettent de détecter le mal-être d'une personne :
l'anhédonie,
la fatigue,
la prostration.
Asthénie et fatigue : pas toujours liées à une dépression
Environ 10 millions de personnes en France se plaignent de fatigue.
Les raisons à la fatigue sont nombreuses :
changement de saison,
rythme de vie effréné,
manque de sommeil,
carences en vitamines,
régime alimentaire déséquilibré,
infections bactériennes,
maladies virales, etc.
Mais la fatigue, comme l'insomnie, est l'un des principaux symptômes de la dépression : la fatigue, si elle devient chronique, peut conduire à la dépression.
Dépression et fatigue : plus de force morale ni physique
La fatigue d'une personne déprimée ou asthénie peut aller jusqu'à la privation de force morale et physique.
L'asthénie : une fatigue excessive
Cela constitue un véritable symptôme de la dépression appelé l'asthénie.
De la même manière que la tristesse devient pathologique, la fatigue du déprimé est excessive et handicapante.
Cette fatigue du dépressif est en décalage avec son niveau d'activité.
Une fatigue à ne pas confondre avec la paresse
La dépression reste stigmatisée comme la conséquence, voire le masque d'une faiblesse morale (manque de volonté) et comme de la paresse.
Pourtant, la fatigue du déprimé ne se résout pas par la volonté.
Les patients déprimés souffrent de cet état de perte d 'énergie vitale qui envahit toute leur vie, professionnelle comme personnelle.
De la fatigue physique à la fatigue d'être soi
Des sociologues de la dépression parlent de « fatigue d'être soi » pour caractériser la dépression.
Elle serait l'apanage de nos sociétés modernes, obnubilées par la performance sportive, professionnelle, voire personnelle, avec l'injonction d'être heureux.
Dépression et perte de sa propre énergie vitale : souffrance morale
Il y a dans la fatigue du dépressif un réel surmenage ou Burn-out en réaction à des pressions énormes, répétitives, sans cesse accrues au travail par exemple.
Mais quand cette fatigue devient perte de l'énergie vitale, elle s'accompagne du malheur intime du dépressif, d'une douleur morale.
Symptômes de l'asthénie : dépression et fatigue
L'asthénie se caractérise par différents symptômes :
être fatigué dès le réveil,
dormir de plus en plus mal,
être fatigué et ne plus avoir envie de rien (anhédonie),
ne plus parvenir à organiser son temps,
être sans cesse débordé,
avoir sans cesse des douleurs physiques inexpliquées par des infections, maladies virales, chutes, etc.,
avoir besoin d'alcool pour se sentir mieux,
avoir le sentiment de tout faire de travers,
ne plus parvenir à prendre de décision,
avoir des problèmes de digestion.
Test dépression
Faire la différence entre la fatigue et l'asthénie
Avant de diagnostiquer l'asthénie, il faut voir si la fatigue n'est pas due à des causes « objectives » comme la maladie, des troubles hépatiques, etc.
SI ces raisons ont été écartées et que le repos, les vacances, le sommeil n'améliorent pas l'état et que l'abattement généralisé est aussi moral, il s'agit alors d'une fatigue symptomatique de la dépression.
Dépression et fatigue : différents traitements
Quelle que soit la nature des symptômes qui prédominent dans la dépression (fatigue, tristesse, etc.), il est important de consulter un médecin.
Si la cause de la fatigue est la dépression, avec son cortège de troubles du sommeil, il peut être opportun de prendre :
des somnifères,
des compléments alimentaires d'oméga 3, etc.
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Cure de sommeil
Écrit par les experts Ooreka
La cure de sommeil : un complément possible à la psychothérapie.
Voici les thérapies les plus fréquentes pour aider une personne à guérir d'une dépression :
cure de sommeil,
psychothérapie dépression : thérapie cognitive et comportementale,
thérapie familiale systémique,
pleine conscience ou mindfulness,
gestalt-thérapie,
psychanalyse,
sismothérapie,
hypnose.
Cure de sommeil : une méthode des années 1930
La cure de sommeil est à l'origine une technique mise au point par Klaesi.
Elle consistait au départ à endormir le patient pendant 4 à 5 jours sans réveil.
Il s'agissait alors de placer le patient dans un état de narcose profonde et prolongée.
Une cure de sommeil pour soutenir la psychothérapie
Les premières cures de sommeil n'étaient pas forcément suivies ou accompagnées d'une psychothérapie.
On les considère aujourd'hui comme des supports à la psychothérapie.
En psychiatrie, plusieurs autres moyens neurobiologiques viennent en appui de psychothérapies envisagées de manière psychodynamique :
la sismothérapie,
l'usage de cures de médicaments.
La cure de sommeil n'a pas de vertu psychothérapique en elle-même, mais elle s'avère efficace si elle s'accompagne d'une démarche globale avec le patient.
Principes de la cure de sommeil : un processus global
La cure de sommeil est utilisée dans les états d'angoisse, les psychoses aiguës comme la schizophrénie et la dépression maniaco-dépressive.
La cure de sommeil se place au cœur d'un processus psychothérapique global :
le patient dort sous la protection du psychothérapeute,
dans un environnement confortable et déconnecté de sa vie habituelle.
C'est par cette impression de se retirer du monde que la thérapie parvient à briser des comportements rigides psychotiques ou angoissés.
L'usage de la cure de sommeil est un moyen de provoquer une vie onirique accrue au sein de laquelle les associations, symboles, liens, vont être exploitables en psychothérapie.
On provoque le rêve et le fantasme pour réparer le psychisme.
La cure de sommeil : plusieurs étapes
Les cures de sommeil actuelles s'étendent sur 10 à 20 jours à raison de 15 à 20 heures de sommeil par jour, obtenues par l'usage d'hypnotiques et de tranquillisants.
Une cure en 3 phases
La cure de sommeil se divise en 3 phases :
une phase de préparation,
une phase de sommeil proprement dit d'une durée moyenne de vingt jours,
et une phase de sevrage de quatre à sept jours.
Les phases de sommeil sont entrecoupées par :
des interventions psychothérapiques,
prises de médicaments,
et éventuellement, travail de groupe avec d'autres patients en cure.
La cure de sommeil entraîne une régression
La cure de sommeil induit une régression qui touche à la fois le moi et l'affectivité des patients.
Les patients retournent à des positions orales (fœtales) : des éléments de coordination, des capacités de contrôles sont abandonnés.
La cure est utilisée pour résoudre un état de crise, en préambule d'une psychothérapie, ou pour débloquer une psychothérapie existante.
Consentement nécessaire des patients pour la réussite
Une cure de sommeil subie, sans intégrer le patient à son processus, sera sans effet et sans fondement thérapeutique.
De nombreux patients refusent au départ ce type de cure :
il faut obtenir leur consentement et leur investissement tout au long de la cure,
cela fait partie intégrante du traitement et de ses effets.
Le patient doit être conscient des motifs et des caractéristiques de la cure, pour qu'après la phase de résistante à la cure il se laisse aller à une régression pendant laquelle il confie son sommeil à son thérapeute et à l'équipe qui entoure la cure.
À noter : Comme tout traitement biologique, la cure de sommeil peut avoir un certain nombre d'effets secondaires comme des paroxysmes anxieux après la cure, plus ou moins dépressifs.
Dépression hôpital
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dinouille
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Psychothérapie dépression : modifier le comportement
Les thérapies dites cognitives-comportementales ou TCC sont issues d'une démarche scientifique apparue dans les années 1950 : le behaviorisme (comportementalisme). Ces thérapies, basées sur la psychologie de l'apprentissage, regroupent des approches complémentaires. Elles visent à modifier les comportements, les pensées et les émotions du patient déprimé, car la dépression entraîne :
une perte des envies (anhédonie),
une grande fatigue,
une inhibition de l'action,
voire certaines phobies sociales notamment.
Ces thérapies cognitives-comportementales sont souvent basées sur :
des jeux de rôle,
des exercices,
des mises en situation.
Elles ont pour objectif de ramener du plaisir dans la vie quotidienne et à modifier les émotions et réactions dans certaines situations pathogènes ou stressantes.
Investissement en temps pour psychothérapie dépression
Les thérapies cognitives-comportementales demandent un investissement important aux patients qui doivent réaliser des exercices dans leur vie quotidienne :
sport,
relaxation,
entrer en contact avec des personnes (en cas de phobies sociales),
se rendre à une exposition (agoraphobie), etc.
Ce type de thérapie, qui demande d'être actif, ne peut être efficace que chez des patients atteints de dépressions légères, de troubles anxieux ou de troubles obsessionnels compulsifs.
Elles sont inopérantes dans les cas de dépression psychotiques.
Psychothérapie dépression : courte et assez efficace
L'efficacité de la psychothérapie sur la dépression a été reconnue scientifiquement.
Cependant, on lui reproche de n'agir que sur les symptômes de la dépression et non sur ses causes profondes.
Mais on peut penser que ces thérapies sont efficaces dès lors qu'elles soulagent les patients qui viennent en consultation.
Un des avantages de ces thérapies est leur courte durée : une thérapie cognitive-comportementale dure en moyenne 4 mois.
Un taux rechute moins important après la psychothérapie
En 1998, une quarantaine de patients ont accepté de suivre des tests cherchant à mesurer l'efficacité des TCC (thérapies cognitives-comportementales) sur le taux de rechute à long terme. Les patients avaient déjà souffert d'épisodes dépressifs et avaient suivi des traitements antidépresseurs.
Les patients ont été répartis en deux groupes :
un groupe a été soigné par TCC ;
un autre a bénéficié d'un suivi médical.
80 % des patients sans psychothérapie ont rechuté au cours des 5 années qui ont suivi. Ces mêmes patients ont accepté d'être suivis sur plusieurs années :
les patients qui ont bénéficié d'une thérapie cognitive-comportementale (TCC) ont présenté un taux de rechute de 40 % ;
le groupe qui n'avait pas suivi ce type de thérapie a présenté un taux de rechute de 90 %.
D'une façon générale, les médicaments antidépresseurs n'offrent pas d'intérêt thérapeutique évident chez les enfants et les adolescents. Ainsi, chez eux, la prise en charge de la dépression doit être essentiellement psychothérapeutique. Le traitement antidépresseur peut être envisagé un à deux mois après si les symptômes persistent et toujours en association avec une psychothérapie.
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Tisane antiarthrose :préparation à faire par un herboriste, 40gr de prêle (plante entières) 30 gr de cassis (feuilles) 30 gr de frêne (feuilles) et 30grs d'orties (sommités fleuries) 1 c à s du mélange par tasse. Mettez de l'eau frémissante et laissez infuser pendant 15 minutes. Buvez 2 tasses/jours pendant 25 jours. Cette cure est à faire en automne et au printemps, voir plus souvent en fonction du degré d'arthrose. En traitement de fond, prenez cette tisane tous les jours pendant 3 semaines puis cessez 1 semaine puis recommencez, et ainsi de suite. CA VAUT LA PEINE D ESSAYER