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Semaine contre les douleurs | Les médecines douces et thérapies alternatives contre la douleur

Publié le 19 oct. 2018 • Par Louise Bollecker

Semaine contre les douleurs | Les médecines douces et thérapies alternatives contre la douleur

Contre les douleurs chroniques, nos membres utilisent des médecines douces en complément de leurs traitements médicaux. Découvrez le résultat de notre sondage à ce propos et partagez vos méthodes et vos conseils !

 

Méditation contre la douleur

30% des répondants utilisent la méditation

La méditation en pleine conscience permet de mieux observer nos douleurs et ainsi les combattre plus efficacement. Reconnue comme un moyen efficace de lutter contre l’anxiété ou la dépression, la méditation permet également d’apprivoiser ses douleurs. Les psychologue clinicien et psychothérapeute Christian Hoenner et Phanie Ridel préconisent se concentrer sur une partie du corps qui n’a pas mal, afin de comprendre le fonctionnement de la zone, puis de la comparer avec une zone douloureuse. Ils suggèrent aussi de compter les phases de poussées de douleur, puis de compter à l’envers quand la douleur se calme. Cela ralentit la fréquence et l’intensité de la douleur, après des efforts répétés de concentration.

23% des répondants privilégient l’acupuncture

Selon la définition donnée par l’UNESCO, « l’acupuncture traditionnelle forme un art thérapeutique qui élabore son raisonnement diagnostique et thérapeutique sur une vision énergétique Taoïste de l’Homme et de l’Univers ». Sans entrer dans les détails du taoïsme, les patients peuvent profiter de cette pratique fondée sur la maîtrise des énergies. Les méthodes sont multiples : des aiguilles pour agir sur les méridiens et les organes correspondants, le moxa (stimulation par la chaleur), les ventouses, les massages et des conseils sur l’hygiène de vie et l’alimentation. Recommandé tout particulièrement contre les problèmes locomoteurs, les tendinites, l’arthrite, l’arthrose et les migraines.

20% des répondants préfèrent la sophrologie

Conçue pour harmoniser le corps et l’esprit, la sophrologie est une synthèse de techniques orientales (yoga dynamique, méditation bouddhiste et zen...) et de relaxation occidentale (training autogène de Schultz, méthode Vittoz, relaxation progressive de Jacobson...). Installée dans un état entre éveil et sommeil, la personne pourra ainsi mobiliser des ressources insoupçonnées. Des exercices respiratoires, mentaux et un effort de relaxation permettront de ressentir le corps de manière positive et à mieux gérer ses douleurs.

12% des répondants suivent des séances d’hypnose

L’hypnose thérapeutique consiste à atteindre un état de conscience modifié où l’on perçoit différemment les choses, de la même façon que lorsque l’on s’évade en regardant un film ou que l’on est « dans la lune ». La douleur peut ainsi diminuer lors d’une séance d’hypnose, en stimulant des ressources peu utilisées du cerveau et en activant ses pouvoirs d’auto-guérison. Les patients parviennent également à mettre à distance le motif de leur souffrance, notamment lorsqu’elle est psychologique, afin de la résoudre.

9% des répondants sont adeptes de l’art-thérapie

Si d’après l’auteur russe Fiodor Dostoïevski, « l’art sauvera le monde », il semble qu’il en soit de même pour certains de nos membres ! Pour 9% de nos répondants, l’art-thérapie est le moyen choisi pour lutter contre les douleurs chroniques. Le principe est simple : utiliser la créativité des patients à des fins thérapeutiques, sans jugement esthétique. Principalement utilisée en psychothérapie, pour des maladies mentales ou des troubles du comportement, l’art-thérapie permet aux patients de s’exprimer autrement que par des mots et de laisser leurs émotions remonter à la surface. Si la peinture et le coloriage sont les disciplines reines de cette pratique, le théâtre et la danse peuvent également fonctionner.

6% des répondants ont été essayé la zoothérapie

La médiation par l’animal est une autre thérapie alternative utilisée dans le secteur de la santé. Sans remplacer les traitements, elle se pratique en petits groupes de trois personnes maximum sous la responsabilité d’un professionnel, dans l’environnement immédiat des patients. Le principe est d’éveiller, par la présence d’animaux éduqués dans ce sens, des réactions qui permettent de maintenir ou améliorer le potentiel cognitif, physique, psychosocial ou affectif des patients. Cette pratique contribue à augmenter l’estime de soi, calmer les détresses psychologiques et émotionnelles, réduire le stress et surmonter des émotions négatives.

 

Et vous, quelle pratique recommandez-vous ?
Voulez-vous en essayer une en particulier ?

 

 

Sondage réalisé sur le site Carenity du 15 au 18 octobre 2018. 246 membres ont participé.

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Carenity

avatar Louise Bollecker

Auteur : Louise Bollecker, Community Manager France & Content Manager

Community Manager de Carenity en France, Louise est également rédactrice en chef du Magazine Santé pour proposer des articles, vidéos et témoignages centrés sur le... >> En savoir plus

195 commentaires


bsaid50
le 28/10/2018

Bonjour,

Lors des années 80 et surtout après un accident au barres parallèle , fracture de la jambe droite (péroné) , j ai commencé sentir des douleurs au niveau de la face antérieure de l'os iliaque prés de l'adducteur coté droit ; à ce moment là je pratiquais le hockey sur gazon au sein de l'équipe de la ville ( ASS ) sur le stade je trouve une difficulté lors des démarrages ou les arrêts . Puis des douleurs lombaires en 2 éme année de formation comme élève prof d' EPS MA CONDITION PHYSIQUE m'a toujours était très utiles cétait grace au dieu mon ange gardien j ai meme pu battre un record en haltérophilie ; j' ai réussi à combattre sévèrement ma douleur j’acceptais pas que qq chose ou qq un faisait face à ma pratique du sport mémé ma sévère douleur ;je surmentais mon handicape pour être le meilleur ou au moins le non handicapé puis un autre accident c'est arrivé  lors d'une plongé sous marine en apnée en 1984 .....................Dés ce moment et chaque que je trouve du temps je visitais un toubibs ou une clinique pour savoir ce sévère adversaire qui veut m’aplatir au sol . Je ne cache pas qu il a faillie me surprendre sur le plan psychologique en 85/86 à CAUSE des médecins et moi mémé eux procédaient lentement moi je voulais  aller si vite tous leurs protocole n'avise à rien d'anormale............POUR MOI  LA DOULEUR change de tactique et de places et même d'agressivité .Pour moi je jouais toujours le héro je le néglige parfois je m'engageait jusqu'au bout dans tous ce que je pouvais faire ; ma profession d'éducateur physique ; d’entraîneur la vie associative etc;.........EN 1993 avant la naissance de mon fils cadet l’aînée c’était une fille en 88 .OUI en 93 le sang envoyé en France les analyses ont permis de diagnostiquer  une protéine positif LHB 27 .MAIS pas diagnostique à propos de la maladie , Enfin j ai déclaré la paix avec ma douleur ! ma maladie ! de rompre avec les anti-inflammatoires que je n'utilisais  pas en réalité assez , sauf lors des crises et tétanisations dures jusqu' à nos jours . Certes  en 2012/2013 et sous la persistance de ma sœur j'ai tenté d'explorer l'apithèrapie y compris l'apiponcture  ; sachant bien que notre religion l’islam nous oriente vers les bienfaits de l'abeille ou si vous voulez dire de la ruche que j'ai ajouté au ( sport ) ;à la phytothérapie et diététique  QUE J'ai rassemblé en abrégé SPOTHERAPIE............JE ne vous cache pas JE ME SENT  BEAUCOUP MIEUX avec ;surtout les composants naturelles du venin : cortisol , Myéline et autres , ainsi que les plantes médicinales. Parallèlement  je tente de savoir et découvrir la source de  cet excès d’immunité et de répondre au problème ...                                                                                      BEAUCOUP D'AMIES DE COLLÈGUES ET D’ ÉLÈVES PROFITENT DE LA MÉTHODE                                                           MERCIE A VOUS DE M'AVOIR DONNE L'ESPACE DE ME RAPPELER MA SOUFFRANCE ET DE LA PARTAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS

                                      AMICALEMENT


bsaid50
le 28/10/2018

Salut tout le monde

J 'ai essaye de m’approprier de ce pseudo par qui je m'articule sur 4 pôles que j'ai adapté pour résoudre les problèmes de santé et maintenir le corps et l' esprit au niveau optimal pour pouvoir subvenir au besoins quotidiens soit moi soit autrui .Ces pôles sont : le sport ,l' api thérapie ,la phytothérapie et la diététique et autres que je vois  nécessaires pour le bien être de l’être vivant .                                                       

  C'est à dire le sport (gym) et des différentes thérapies

Amicalement   


bsaid50
le 28/10/2018

@Fafa06 

JE vous souhaite bon courage et je vous conseillerez de bien pomper votre coeur ;ventiler vos poumons par une marche légère et progressive stimuleriez votre corps par des cures thérapeutiques pour contrer les effets indésirables des médicaments envisagés 

protégeriez-vous votre système digestif pour éviter d'autres maladies .

Avec vous amicalement


Rubicas
le 28/10/2018

Bonjour; 

Ayant une fibromyalgie avec des douleurs chroniques et des douleurs aiguës; de la fatigue et de l'épuisement; des crises de diarrhées ++++++, au point que souvent je n'ose même pas faire mes courses de peur que ça me prenne sur le trajet (je suis à pied); et que tout cela bouffe et parasite mon quotidien, évidemment ça se répercute sur mon psychisme et sur mon morale. 

Au niveau des douleurs, comme beaucoup: je vais à intervalles réguliers  chez le kiné [à chaque intervalle, il commence par des massages très doux et applications d'argile verte avec camphre et autres ingrédients, ce qui me soulage quand même un bon moment, puis il me fait faire des exercices de mobilité tout en douceur. J'avoue que cela me permet de retrouver un peu plus d'ampleur dans les mouvements pendant quelques temps. Bien sûr, j'ai des antalgiques, et l'utilisation de mélange d'huiles essentielles en roller (pharmacie), m'aide bien à soulager surtout les douleurs des cervicales en remontant jusqu'à la base de l'os du crâne [ce sont des douleurs très fortes; il y a bien la possibilité d'une intervention chirurgicale, mais j'ai un risque sur deux de me retrouver paralyser; alors je ne prends pas cette option]. Je prends aussi de l'homéopathie qui fonctionne bien sur mon organisme, et sans calmer complètement les crises de douleurs, cela me permet d'attendre la prochaine prise d'antalgique; il y a même des fois où je peux attendre la prise d'antalgique suivante; même si ce n'est pas souvent, je suis contente car pour moi c'est comme une petite victoire. 

Et autrement, j'essaye d'avoir plusieurs centres d'intérêt: quand je suis au plus mal, je reste allongée, et à ce moment, j'essaye de trouver des à la télé des émissions sur les animaux (je suis une passionnée d'animaux), ou des émissions qui parle de l'Egypte à l'époque des pharaons, ou des émissions sur les phénomènes climatiques; j'ai une chance, c'est que je m'intéresse à beaucoup de choses. 

quand je vais moyen - moyen, je suis souvent sur l'ordinateur, autre sources d'intérêts et je vais sur Facebook, et de temps en temps je partage des publications d'animaux en difficulté ou en détresse. 

Et quand je ne vais pas trop mal, je fais des coloriages de mandalas; je tricote un peu; j'essaye de me promener un peu, même si je ne vais vraiment pas loin à pied; je m'applique à inviter quelques amis ou copains - copines, et je leur propose selon le moment un thé, une tisane (bien sûr avec des petits trucs à grignoter); hier soir, j'ai même garder mon amie à manger (à la bonne franquette). C'est sûr, il n'y avait pas les grands plats dans les petits, et je n'ai pas cuisiner, car en ce moment je suis dans un état de grand épuisement, mais nous avons manger une soupe en brique, de la tourte au saumon (réchauffée au micro-onde) et un yaourt aux fruits, mais pour toutes les deux, ce fut un véritable moment de partage et de plaisir. Après elle est restée un peu pour discuter, et nous étions tellement pris par nos discussions que nous n'avons pas vu l'heure passée; elle est partie à 1H du matin. 

Je crois que c'est en partie là que se trouve la clef ou les clefs pour pouvoir "mieux vivre " et traverser les différentes maladies que nous pouvons être amené(e)s à être confronter, c'est de continuer à avoir différents centres d'intérêts, et selon notre forme, tout comme moi, essayer d'adapter ces intérêts - obis - petits loisirs, à l'état dans lequel on se trouve. Et surtout, tout faire pour ne pas s'isoler et se replier sur soi; selon l'état, effectivement proposer un thé ou une tisane, organiser un petit goûter pour deux ou trois personnes, et inviter ses amis (les vrais ne sont pas nombreux) à manger comme je le dis et l'explique plus haut à la "bonne franquette". 

Bien sûr, comme de nombreuses personnes, j'ai des moments où je souffre beaucoup, où je suis plus dans des périodes de déprimes, où je sors peu. Mais je m'attache à garder tout cela en vue comme des objectifs à atteindre, en y allant petit à petit et doucement. Pour moi, depuis que je m'attache à cela, je vois et vis cette maladie de façon différente, même si les répercussions sur mon quotidien sont lourdes. j'espère que mon témoignage pourra aider quelques personnes à se sentir un peu mieux en reprenant quelques idées de ce je fais. 

Et bon et gros courage à tout le monde. 


Fafa06
le 28/10/2018

@bsaid50 Merci je vais essayer 

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