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Les souffrances psychiques au travail plus couramment détectées
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Anne06
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Anne06
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A .m

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Bonjour Anne 06, peu importe les fautes, tout le monde en fait, le principal est de se comprendre.
Je suis tout à fais d'accord avec vous, la maladie initiale accompagnée de moqueries et plus particulièrement venant de ses collègues sont difficiles à vivre et à supporter chaque jour. Alors que vous auriez eu besoin d'un soutien, cela n'a fait qu'empirer vos douleurs. Les moqueries ont dû vous sembler bien plus douloureuses.
Mais vous n'avez pas pu vous plaindre auprès de votre employeur, n'aurait t-il pas pu vous comprendre. Peut-être que cela vous aurait mis alors très mal à l'aise par rapport à vos collègues, bien que celles-ci ne vous ont pas épargnée et je suppose qu'il aurait été impossible de travailler de nouveau à leur côté.
Le seul moyen pour vous était de vous mettre en arrêt maladie je suppose. Avez-vous alors réalisé que vous faisiez une dépression ou un burn out suite à cela.
Mais il est bien dommage que cette malade s'est ajoutée à la précédente par rapport à vos collègues et que personne ne vous aie soutenu au sein de votre entreprise. Il est déjà difficile quand il s'agit de son employeur alors là, il y a de quoi se sentir encore plus mal et démunie. Je pense que cela doit être difficile de se reconstruire car on sait que l'on côtoie au quotidien ses collègues.
Comment le vivez-vous aujourd'hui. Pensez vous qu'il est plus difficile de souffrir à cause de ses collègues que son employeur. Car je vous donne ce que moi je suppose être votre ressenti, ce qui peut-être différent du votre.
Anne06
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d 'une part sept après que cette histoire se soient terminé ; il me reste encore des restes .
telles que des oublie de mémorisation .des gros doutes quand à mes capacités .
Et bien sur je ne parvient plus a avoir confiance dans les personnes .
C' était l employeur mais aussi certaine des collègues
je n ' aime pas en parler mais j ' aimerais que cette histoire ,permette de faire prendre conscience aux gens , qui n on pas le droit de détruire les gens .
Souvent par ignorance mais surtout par bêtises et cruauté d ' esprit .
Ce n ' est par se que l 'on est malade que l 'on plus Femmes ou hommes avec nos valeurs.
se sont surtout des fautes écritures sur le claviers ou des problèmes de mémorisations et oui encore .
les lois sont ni respectait ni mise en routes car j 'ai était débouté malgré évidence .
Cela explique l' augmentations des cas .enfin je le pense .
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A .m
Anne06
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pardon que l"on est plus
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Bonjour à tous, pour en revenir à ce que beaucoup de nous ont vécu (moi y compris) sur les lieux de travail, si on traitait le pb à la base : réapprendre le respect, nous on avait l'instruction civique, ca nous rappellait chaque jour les codes du savoir vivre.
D'autre part, les chinois cassent bien les assiettes à la pause ????
En encore, pourquoi pas des salles où on peut se reposer et lacher prise avec des casques et fauteuils (en étude)
Même si cela semble utopique, c est pourtant ce qu'il faudrait : respecter un rythme bienfaisant pour le corps et le mental, car on sait bien que l'individu relaxé en fera beaucoup plus après. Il y a un seuil où stressé, on pédale dans la "choucroute" (lol) et on n'est pas productif.
La présence de relaxologue ou bien l'incitation à ces formations sur le lieu de travail pour un certain nombre de salarié.
Moi, j'y crois ferme.
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VERVEINE
Anne06
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Anne06
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le hic c " est que la France est malades de ses préjugées
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A .m

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Le manque de respect devient le quotidien de chacun dans beaucoup de domaine malheureusement.
Moi-même, je n'ai jamais profité de ma 1/2 heure de pause, toujours appelée pour reprendre mon service par manque de personnel, à me demander où sont mes collègues et comment certaines sont introuvables quand ce n'est pas leur pause. Trouvez l'erreur ! Seulement on appelle toujours les mêmes à la rescousses. n'est ce pas un manque de respect. Tout comme un bonjour sans réponse et tant de choses même petites soient elles. Et si à un moment, on leur ouvre les yeux, on prend des réflexions, et surtout de ses collègues en nous disant que tu ne sais pas faire, tu ne sais pas trouver un prétexte pour te cacher; tu traînes mamie, et j'en passe. Si bien que votre prénom devient mamie (étant la plus âgée de l'équipe et la plus "stricte" dans le travail envers moi-même et les soins que j'apporte aux autre. Mais je rêve. Où est la conscience professionnelle et le respect d'autrui, surtout envers ses collègues. Et quand vous avez souffrez physiquement ou psychologiquement, on vous dit que vous ne valez plus rien et que de moqueries.
Pendant mon arrêt de travail, cela fait deux ans, j'ai eu deux collègues qui prenaient de mes nouvelles les premiers mois et je les appelais régulièrement, surtout une particulièrement car nous étions amie, au fil du temps vous ne valez plus rien. Ma directrice m'a appelé 4 fois, juste pour me dire de prendre le temps de me soigner, de toutes façons il n'y a pas de poste aménagé, on vous fait comprendre que vous seriez "un boulet" . On verra plus tard, on retarde l'échéance...j'ai une boule dans la gorge.
Alors, les collègues, comment leur faire confiance, puisqu'ils vous abandonnent et ne vous soutiennent pas. C'est ainsi.
En effet, s'il y avait une relaxologue pour nous apporter de la détente pour récupérer notre fatigue et travailler en fonction de notre profession, ce serait génial, ne serait'ce 1/4 d'heure et/ou une séance de spy régulière pour extérioriser notre trop plein, dans l'anonymat, ce serait plus plus efficace.
Ce n'est pas demain la veille. C'est un coût, il vaut mieux mettre l'argent ailleurs et plus utile. Et le travail, le rendement pendant ce temps là? Sur mon lieu de travail tout cela existe pour les patients et non pour le personnel, et malgré l'éventualité et l'organisation d'un planning pour le personnel, on vous répond d'un non catégorique.
Après certaines personnes en ont besoin, d'autres non, soit elles veulent en profiter, soit elles vous regardent du doigt. Chacun pour soi et toujours devoir se justifier. Encore un manque de respect.
erwannono
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erwannono
Dernière activité le 06/05/2025 à 21:42
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Bonsoir @Anne06 ne te tracasses pas pour les fautes, on ne fait pas un concours !!!! Tu es sans doute perfectionniste et tu exiges peut être un peu trop de toi, n'est ce pas ? Si tu as vécu du harcèlement au travail, peut être n'as tu pas sû ou pû imposer ta façon de voir ou de faire ? Mais peut être je me trompe, tu n'hésites pas à me le dire ? Courage à te lire, bises amicales
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erwannono
Anne06
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je pense que c ' est du aux fait que j ai mon franc parler et que je suis un électron libre les personnes avec une fort caractère , ne sont pas accepté .
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A .m
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Julien
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Julien
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D'après ce travail de l'Institut national de veille sanitaire (INVS) publié mardi dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), le taux de prévalence (à savoir la proportion d'une population atteinte par les troubles en question) est passé chez les hommes salariés de 1,1% en 2007 à 1,4% en 2012.
Pour les femmes salariées, ce taux a progressé également sur la période, passant de 2,3% en 2007 à 3,1% en 2012, soit à un niveau "deux fois plus élevé que chez les hommes", observe l'étude qui n'apporte pas d'explication sur cette différence hommes/femmes.
Tous salariés confondus, la progression du nombre de cas de "souffrance psychique au travail", telle que comptabilisée par les médecins du travail, peut s'expliquer par la "plus grande couverture médiatique des pathologies liées au travail", estiment les épidémiologistes de l'INVS auteurs de l'étude.
Cette hausse peut aussi s'expliquer par une "libération de la parole auprès des médecins du travail" et par une plus grande sensibilisation de ces derniers sur ces troubles, selon ces chercheurs.
Mais ils estiment aussi que le phénomène "peut être mis en parallèle avec la détérioration des conditions de travail constatée ces dernières années", notamment celles liées à l'organisation du travail et au durcissement des relations à la fois entre collègues et avec la hiérarchie.
Les "épisodes dépressifs légers" et les "troubles anxieux et dépressifs mixtes" - à savoir un mélange de plusieurs symptômes anxieux et dépressifs - sont statistiquement les troubles psychiques liés au travail les plus souvent rapportés chez les salariés.
Le nombre de personnes souffrant de burn-out, à savoir d'épuisement physique et psychologique à cause du travail, a progressé régulièrement tout au long de la période étudiée mais ce trouble reste nettement moins courant que les dépressions légères et les troubles anxieux.
L'ensemble de ces symptômes touchent statistiquement plus fréquemment les salariés plus âgés: la probabilité d'en souffrir est "sept fois plus élevée pour les hommes de 45 à 54 ans par rapport au moins de 25 ans", note l'étude.
"Cette probabilité augmente également avec la catégorie sociale", à savoir la souffrance psychique est plus courante parmi les cadres que chez les ouvriers, relèvent encore les chercheurs de l'INVS.
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