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Que penser du coronavirus ?
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chatdoc
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chatdoc
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Un article intéressant sur un sujet très souvent abordé lors du Covid-19, et qui est fondamental en Santé publique :
https://theconversation.com/pourquoi-la-vaccination-rencontre-t-elle-tant-de-scepticisme-247475

Pourquoi la vaccination rencontre-t-elle tant de scepticisme ?
Malgré leur efficacité, les vaccins continuent à alimenter la défiance d’une partie des populations. Pourquoi et comment assurer le succès des campagnes de vaccination ?
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Chatdoc
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maritima
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Article documenté qui aborde clairement le pourquoi du scepticisme vaccinal . Le lire n'est pas une perte de temps .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Zen86200
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Ça sort impeut partout le plus sérieux qui en parle =>
https://m.youtube.com/watch?v=nrV26GWFJak
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MJZen86
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@Zen86200
C’est un grand spécialiste de la vaccinologie qui parle d’un sujet qu’il domine !!
Trump’ John Kennedy Jr. sont , avec lui, un bel exemple que le politique a des effets remarquables sur l’ego de certains . . mais, le plus désespérant c’est que certains électeurs les croient sur ce sujet !!
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Une information (sérieuse !) avec des implications très pratiques :
La réponse immunitaire est plus rapide quand le rappel est réalisé dans le même bras que la primovaccination, selon une étude australienne montrant le rôle des macrophages ganglionnaires.
Si les différences s’amenuisent avec le temps, c’est un atout en cas d’épidémie.
Bras droit ou gauche ? Pour le rappel, des chercheurs de Sydney montrent qu’il est préférable de choisir le même bras que la primovaccination. Le taux d’anticorps protecteurs est obtenu plus rapidement, en raison d’une stimulation plus forte des cellules B mémoire par les macrophages résidents du ganglion drainé.
Les résultats obtenus chez l’animal et l’être humain ont été publiés dans la revue Cell.
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Zen86200
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Bonjour @chatdoc du coups, l'infection entrant par le nez... Ne serait il pas plus judicieux de chercher à équilibrer la réponse immunitaire en vaccinant obligatoirement le bras opposé à la dose précédente ?
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MJZen86
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@Zen86200
Et non, il faut revoir un peu l’Immunologie (!).
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Ananina
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Ananina
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Merci @chatdoc pour cette info très instructive.
Je viens de trouver l’article sur la revue Cell. En effet, des résultats intéressants ont été montrés par cette équipe de chercheurs Australiens
• stimulation plus importante des lymphocytes mémoire à longue durée de vie, dans le ganglion drainé
• expansion clonale des lymphocytes B spécifiques du Sars-CoV-2 plus rapide
• réponses supérieures d'anticorps neutralisants
lorsque les rappels de vaccin ont été injectés dans le même bras que la dose initiale.
Perso, j’ai fait tous mes vaccins anti-covid et rappels dans l’épaule droite.
Et tous mes vaccins anti-grippe et rappels dans l’épaule gauche. Mais avec une semaine d’intervalle.
L’idée me semble qu’il est préférable de ne pas faire les deux types de vaccins du même côté ? ? ni en même temps ? ? afin de ne pas surcharger les mêmes ganglions lymphatiques avec deux sortes de macrophages et de clones lymphocytaires.
Bien cordialement.
Bonne suite à tou(te)s.
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L’effet Nocebo . . . et l’influence des rumeurs !!
Les attentes négatives peuvent aggraver la douleur perçue plus fortement et plus longtemps que les attentes positives.
L'effet nocebo devrait ainsi être pris en compte lors de la prise en charge des patients, selon les chercheurs.
Il pourrait être évité grâce à "des stratégies simples et efficaces pour améliorer la communication entre les patients et les praticiens".

Effet nocebo : comment la peur d'avoir mal peut aggraver la douleur
Une nouvelle étude révèle que l’effet nocebo est plus puissant que l’effet placebo sur la perception de la douleur..
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A toutes fins utiles et en complément et confirmation
Le terme de nocebo, étymologiquement « je nuirai », fut employé pour la première fois en 1961 par le médecin Walter Kennedy.
Un patient sur quatre en ferait l’objet. Il s’agit en quelque sorte d’un placebo qui a mal tourné ; il peut intoxiquer, provoquer des effets secondaires (vertiges, maux de tête, diarrhées, allergies, douleurs menstruelles…) et même une accoutumance : on peut devenir « accro » à un produit totalement neutre. L’anxiété lui serait propice : faire tester un produit neutre à des patients sans leur préciser de quoi il s’agit, ni quels effets il peut produire, déclencherait des symptômes ex nihilo dans plus de 80 % des cas.
Selon une recherche italienne, entendre un discours désobligeant ou menaçant augmente ainsi le taux de cholécystokinine, hormone impliquée dans la perception de la douleur. Et pour une étude cette fois florentine, un médicament pour la prostate provoque l’impuissance chez 31 % des hommes auxquels on a exposé les désagréments possibles sur leur libido, mais chez 9,6 % chez ceux qui ne sont pas avertis…
L’effet nocebo peut prendre des proportions tout à fait inattendues. En temps normal, les patients parkinsoniens voient leurs tremblements cesser instantanément après l’implantation d’électrodes dans une partie motrice de leur cerveau. Mais si on leur dit que l’installation est défaillante, ils peuvent retrouver certaines difficultés à bouger, simplement parce qu’ils croient leur mobilité compromise. "
Rencontre avec Patrick Lemoine, ( psychiatre ) auteur du livre " Le mystère du nocebo "
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Même si je valide la réalité des effets placebo et nocebo en fonction de l'état d'esprit de chacun ! Je pense surtout que ça devient l'excuse pour les études foireuse qui sont le désir des industriels et plus rarement le reflet de la réalité !
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Un petit rappel s’impose, avant de raconter des contrevérités (!) :
L'effet nocebo est un phénomène psychologique ou physiologique négatif qui survient lorsque les attentes négatives d'un patient concernant un traitement entraînent des effets secondaires indésirables, même si le traitement est inerte et n'a aucun effet pharmacologique documenté.
L'évaluation de l'effet nocebo peut être complexe et nécessite souvent une approche multidimensionnelle. Les études évaluent généralement l'effet nocebo en mesurant la fréquence et la sévérité des effets secondaires rapportés par les patients dans les groupes contrôles recevant des placebos, par rapport aux groupes recevant des traitements actifs. Par exemple, lors d'essais cliniques de vaccins contre la Covid-19, 35 % des personnes du groupe contrôle ayant reçu une injection placebo ont déclaré avoir ressenti des effets secondaires, contre 46 % des personnes ayant réellement reçu une dose de vaccin.
Les facteurs influençant l'effet nocebo incluent l'anxiété, la dépression, les attentes négatives, et les informations fournies par les professionnels de santé ou les médias.
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@Zen86200
Sauf que cela est comparé à un groupe de patients de nombre équivalent qui eux reçoivent le vaccin et non un injection avec su sérum physiologique , . .,vous ne connaissez vraiment pas ce sujet et peut-être aussi l’intérêt des statistiques de grands nombres !!
Comme toujours seul l’individu vous intéresse et non une population !!
J’arrête cette discussion avec ce message . .
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@Zen86200 ..... en prenant le temps de tout lire et sans a priori . Vous voulez bien le faire ?
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04809452v1
Effet placebo en médecine vétérinaire
"Dans le cadre de la médecine vétérinaire, l'effet placebo présente des particularités intéressantes. Les mécanismes neuronaux impliqués semblent être similaires aux récentesdécouvertes en médecine humaine, où est retrouvé l’implication de la dopamine et des opioïdes endogènes".

Effet placebo en médecine vétérinaire : application à la médecine du comportement
L'objet de cette thèse est d'explorer l'effet placebo en médecine vétérinaire, en particulier dans le domaine de la médecine du comportement. Le placebo, défini comme un traitement sans activité pharmacologique intrinsèque, a un rôle reconnu en médecine humaine, mais son mécanisme reste mal compris. En médecine vétérinaire, des produits non médicamenteux sont fréquemment utilisés, ce qui pose des questions éthiques sur leur efficacité. La première partie de la thèse traite des connaissances actuelles de l'effet placebo en médecine humaine. Historiquement, l'effet placebo a été reconnu dès le 19ème siècle. Les mécanismes proposés sont notamment l'apprentissage pavlovien, le modèle des attentes et l'effet opioïde. La seconde partie transpose ces connaissances à la médecine vétérinaire, où le propriétaire joue un rôle essentiel comme juge de l'évolution de l'animal et comme intermédiaire de l'effet placebo. L'effet placebo chez les animaux peut être comparé à celui observé chez les enfants sous la surveillance de leurs parents (caregiver effect). Des études montrent que les propriétaires influencent fortement le comportement de leurs animaux. Par ailleurs, certaines études tendent à montrer qu'un effet placebo serait possible directement sur les animaux, bien que les capacités cognitives des différentes espèces posent question. La troisième partie s'intéresse aux applications actuelles de l'effet placebo en médecine du comportement vétérinaire. Une analyse d'articles des traitements utilisés en médecine du comportement est réalisée, montrant que dans 45% des cas, une amélioration est observée dans le groupe placebo. Une analyse critique du niveau de preuve des études montre que 70% des études sur ces produits alternatifs ont un faible niveau de preuve, souvent influencées par des conflits d'intérêt et des biais d'observation par les propriétaires. La thèse conclut que l'effet placebo est omniprésent en médecine du comportement, mais son usage doit être éthique, transparent et complémentaire aux traitements actifs. Il est crucial d'informer les propriétaires tout en reconnaissant les bénéfices potentiels de l'effet placebo pour améliorer la relation thérapeutique et le bien-être animal.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@chatdoc il aurait fallu que leur études soit complète et sur plusieurs mois... Là ça parle que de réaction après vaccination avec le vaccin ou un placebo... Mais pas d'information pertinentes sur combien d'infection de chaque côté dans les 3 mois... Combien ont eu des problème autres ? Ils n'ont étudier que le fait de recevoir une picure avec ou sans principes actifs... Et la différence de 10% laisse entendre que le vaccin réel fait quelques choses de plus que le placebo ! Et une partie des similitudes est probable lié à comment et ou la personne à été piquée...
C'est foireux des le début 🫣
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@Zen86200
Vous devriez vous relire avant de publier un tel message, et vous renseignez sur les essais cliniques ce qui vous éviterait d’écrire des stupidités !!
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Covid-19 : quel impact sur les patients atteintes de BPCO et de cancer du poumon ?
Que pouvons-nous retirer de l’expérience de la pandémie de Covid-19 pour les patients atteints de pathologies respiratoires ? Un travail de l’IRDES sur les patients atteints de BPCO et de cancer pulmonaire durant cette période fait état de taux de mortalité élevés pour les patients atteints de BPCO et d’une réduction significative des progrès enregistrés durant la décennie précédente sur la prise en charge du cancer du poumon.
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COVID : "Je comprends que des gens aient été CHOQUÉS par moi !” Michel Onfray avec André Bercoff
MICHEL ONFRAY LÈVE LE TABOU
Il répondra aux accusations sur sa vision de la gestion du Covid, du pape François, du conclave, des pannes ciblées en Espagne et au Portugal et de la cyberguerre à venir…
https://youtu.be/kDMw3-8uO_s?feature=shared
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Pour ceux qui que ça intéresseraient
Existe-t-il un lien entre troubles vocaux, anxiété et Covid-19 ? Deux étudiantes de Brest l’étudient
Deux étudiantes en quatrième année d’orthophonie, à Brest (Finistère), cherchent à établir un lien entre anxiété, troubles vocaux et Covid-19 pour leur mémoire. Elles sont à la recherche d’individus pour cette étude.
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Une étude sur les premiers adultes avec paralysie du larynx
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Dans mon cas personnel ça n'a jamais duré plus de 10 min sauf le premier soir d'excrétion de virus quand j'ai eu la maladie en janvier 2022... C'est qu'au matin que la voix et revenu en faible et n'est devenu normal que plusieurs jours après le rétablissement, pour le moment elle est normal, ça réagi avec d'autres maladies respiratoires, aujourd'hui sur Thouars en fin d'après midi pas croisé l'odeur du COVID, mais des difficile respiratoire avec une caissière qui sortait d'une grippe tardive, plusieurs malade soigné pour grippe dans son entourage depuis milieu de semaine dernière... Pas d'odeur pour moi que la gorge enroué et picotements légers
Et c'est d'avoir les symptômes que ça m'a forcé à discuter (la caissière n'avait pas de maladies apparente) j'ai parlé d'allergie et c'est elle qui m'a dit avoir eu des symptômes grippaux dans la discussion....
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https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37354724/
Un quart des patients atteints de COVID-19, en particulier les femmes, ont souffert d'une altération de la voix pendant l'infection, et environ 70 % de ces patients dysphoniques ont continué à souffrir de séquelles vocales durables, qui devraient être remarquées par les médecins du monde entier.

A quarter of the COVID-19 patients, especially female, suffered from voice impairment during infection, and approximately 70 % of these dysphonic patients kept experiencing long-lasting voice sequelae, which should be noticed by global physicians.
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Hervé49
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Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?