Remèdes naturels pour mieux vivre au quotidien

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CRYOTHÉRAPIE CORPS ENTIER                                                                                                   

Combattre la douleur par le froid
Cryofitness Bastille propose un nouveau traitement révolutionnaire et encore très peu répandu en France : la cryothérapie corps entier. A l’origine utilisée par les sportifs de haut niveau pour accroître leurs performances, cette technique de soin par le froid s’étend maintenant à plusieurs domaines, tels que la dermatologie, la remise en forme, le bien-être et l’amélioration du quotidien, en atténuant notamment les douleurs liées à certaines pathologies.

Le principe de la cryothérapie corps entier
Ce traitement thérapeutique par le froid, dont la durée est comprise entre 1 et 3 minutes, consiste à soumettre l’intégralité du corps du patient à une température très basse, pouvant aller jusqu’à -140°. Cette exposition extrême provoque une vasoconstriction (réduction du diamètre des vaisseaux sanguins) et stimule les récepteurs thermiques. La diminution de la température des tissus est ainsi suivie d’une analgésie (insensibilité à la douleur) car elle empêche la transmission du signal de douleur entre les neurones et le cerveau. Ce mécanisme favorise également l’assouplissement des muscles, ainsi que la cicatrisation et la disparition des hématomes grâce à la multiplication d’hormones anti-inflammatoires.

Les différents domaines d’application de la cryothérapie corps entier
Nouvellement utilisée comme source de bien être, la cryothérapie corps entier aide à se détendre et mieux dormir, et aussi à combattre le stress quotidien. Dans le cadre d’un amincissement, elle permet de contrôler son poids et de raffermir sa peau rapidement.

La cryothérapie corps entier a d’abord été étudiée, puis utilisée, par les professionnels du sport en France mais aussi à l’étranger. Elle est très bénéfique pour les sportifs de haut niveau soumis à des entraînements particulièrement intenses et devant participer à des compétitions de façon régulière. Ce traitement, qui induit une tolérance accrue à la douleur musculaire et permet de récupérer plus facilement après l’effort, apporte par conséquent une nette amélioration des performances.

L’utilisation de la cryothérapie corps entier a ensuite été étendue au domaine de la médecine afin de soulager les patients atteints de pathologies musculaires et rhumatologiques chroniques, tels que la fibromyalgie ou les problèmes liés à l’ostéoporose. Dans un contexte post-opératoire, ce soin thérapeutique par le froid peut aussi favoriser la cicatrisation et compléter la rééducation de membres douloureux. La cryothérapie corps entier est aussi prescrite pour lutter contre la tension musculaire et les affections touchant l’appareil locomoteur, même quand elles sont dues à l’altération du système nerveux (sclérose en plaques par exemple).

La cryothérapie corps entier est aussi utilisée en dermatologie. Le choc thermique engendré par ce traitement par le froid provoque le gel de l’eau intracellulaire, puis la destruction de la membrane cellulaire. Les maladies de la peau pouvant toucher toutes les zones du corps, comme le psoriasis, l’eczéma et le lichen plan, peuvent ainsi être traitées par ce biais.

A qui s’adresse la cryothérapie corps entier ?
Si vous avez besoin d’un bon « coup de fouet » pour retrouver du tonus et de l’énergie, vous détendre, retrouver votre bien-être et votre vitalité, vous pouvez opter pour la cryothérapie corps entier, qui a un impact bénéfique sur la fatigue chronique et la dépression.

Ce traitement par le froid est aussi destiné aux sportifs, professionnels ou amateurs, qui souhaitent améliorer leurs performances, récupérer plus rapidement après un entraînement et diminuer de manière significative les douleurs musculaires et articulaires liées à l’effort. Par notre intermédiaire, les entraîneurs et dirigeants de club peuvent sensibiliser leurs athlètes à cette thérapie par le froid et leur permettre d’être plus efficaces sur le terrain.

Les personnes souffrant d’une pathologie de la peau et les médecins en charge de patients souffrant d’un problème dermatologique chronique peuvent nous contacter pour avoir de plus amples renseignements sur cette pratique thérapeutique basée sur l’action du froid sur l’épiderme.

Les contre-indications de la cryothérapie :

VOIR LA LISTE COMPLÈTE

La cryothérapie corps entier est recommandée pour :

- Contrôler son poids
- Perdre des calories
- Se détendre
- Diminuer le stress
- Les troubles du sommeil
- Raffermir la peau

La cryothérapie est aussi indiquée en cas :

- D’arthrose
- De rhumatismes inflammatoires
- De fatigue chronique
- D’état dépressif
- De migraines
- De syndrome fibromyalgique (douleurs musculaires chroniques)
- De sclérose en plaques
- De contusion et tension musculaire
- De maladies de peau (psoriasis, lichen plan, eczéma sévère)
- D’ostéoporose
- D'accélération de la cicatrisation

Grâce à la cryothérapie, les sportifs peuvent :

- Bien se préparer à la compétition
- Mieux récupérer après l’effort
- Améliorer leurs performances
- Mieux endurer la répétition des efforts
- Mieux tolérer les douleurs des muscles et des articulations, les tendinites et problèmes vasculaires
- Mieux supporter les entraînements fréquents et intensifs
- Améliorer les bénéfices de la rééducation

LES CONTRES INDICATIONS                                                                                                                        

- Tension artérielle élevée, non soignée, de valeurs supérieures à160/100 mmHg
- Grossesse connue
- Intolérance au froid
- Infarctus, insuffisance coronarienne, dispositif sous-cutané, Pace-Maker
- Cancer
- Maladies rénales et de la vessie
- Claustrophobie
- Artériopathie, micro-angiopathie
- Polyneuropathies et troubles de la sensibilité
- Troubles du rythme, insuffisance cardiaque
- Blessures à vif
- Angine de poitrine
- Thrombose veineuse profonde / phlébite
- Affection respiratoire (asthme, broncho-pneumopathie)
- Trouble de la circulation sanguine, insuffisance circulatoire (syndrome de Raynaud)
- Prise de certains médicaments
- Affection intercurrente non stabilisée
- Hypertension
- Infarctus du myocarde de moins de 6 mois AVC embolie pulmonaire
- Colique néphrétique, colique hépatique
- Hyper uricémie (crise de goutte)
- Infection aiguë

Liste non exhaustive – en parler préalablement avec un médecin

Quelles démarches pour obtenir l’aide au répit des proches aidants ?
Le 16/06/2016 - Vos droits
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Vos droits
Quelles démarches pour obtenir l’aide au répit des proches aidants ?
La loi d’Adaptation de la Société au Vieillissement, entrée en vigueur le 1er janvier 2016, améliore en priorité la situation des personnes âgées dépendantes qui résident à domicile ; et celle de leurs aidants.
Les proches aidants pourront à présent bénéficier d’une aide au répit d’un montant annuel de 500 euros.

Cette aide se traduira par des heures d’aides à domicile supplémentaires, par un accueil de jour ou par un hébergement temporaire en établissement.

Cette nouvelle mesure financera également un dispositif d’urgence en cas d’hospitalisation soudaine du proche aidant.

Comment bénéficier de l’aide au répit des proches aidants ?
La loi d’Adaptation de la Société au Vieillissement a facilité les conditions permettant aux proches aidants de bénéficier d’undroit au répit et de contrer ainsi les risques liés à l’épuisement.

L’aide au répit
Les proches aidants pouvant bénéficier de l’aide au répit d’une valeur pouvant atteindre les 500 euros, sont à présent définis comme :
 

le conjoint de l’aidé,
le concubin de l’aidé,
un parent,
une personne résidant avec l’aidé ou entretenant d’étroits liens d’amitié.
Cette aide destinée aux bénéficiaires de l’APA, évalués GIR1 à GIR4, sera estimée par l’équipe médico-sociale au moment de la première évaluation ou lors de la révision de l’APA.

Le congé de proche aidant
Pour bénéficier de ce congé d’une durée de 3 mois par an, les salariés-aidants devront justifier d’au moins deux ans d’ancienneté dans leur entreprise.
Avec un accord de son employeur, le salarié pourra notamment prendre ce congé, sous forme d’activité à temps partiel.
Le congé pourra par ailleurs être fractionné sous condition que le salarié prévienne son employeur au mois 48h avant chaque période de congé.
Zoom sur les différents dispositifs de répit, accessibles grâce à cette nouvelle aide
Les aidants familiaux investissent beaucoup de leur temps et de leurs forces dans la prise en charge de leurs proches âgés dépendants. C’est pour les soulager quelque peu dans leur quotidien, que la loi d’Adaptation de la Société au Vieillissement a introduit une aide qui permettra aux aidants familiaux d’obtenir jusqu’à 500 euros par an.

Les dispositifs de répit destinés aux proches aidants sont les suivants :
 

l’hébergement temporaire qui propose l’accueil et l’accompagnement de votre proche sur une période pouvant varier de plusieurs jours à plusieurs mois, dans une structure telle qu’un Ehpad, une unité Alzheimer ou encore une structure privée. Cette solution pourra être adaptée dans le cas ou l’aidant a besoin de repos, dans un cas d’hospitalisation d’urgence de l’aidant ou lorsque l’aidant fait adapter le logement du proche âgé. Pour vous faire aider dans vos recherches d’hébergements temporaires, n’hésitez pas à faire appel à nos conseillers Cap Retraite au 0 800 891 491 https://www.capretraite.fr/.
Ces derniers mettront toute leur expertise à votre service, dans le but de trouver l’établissement le plus approprié à la situation de votre proche âgé et à ses exigences,
l’accueil de jour qui permet à l’aidant de prendre des moments de répit. L’aidé est accueilli une à plusieurs fois par semaine, en journée ou pour la nuit, dans des structures adaptées aux personnes âgées dépendantes,
le renforcement de l’aide à domicile à travers une augmentation du nombre d’heures d’aide à domicile, afin de soulager le travail de l’aidant,
le financement d’un dispositif d’urgence qui permettra de prendre en charge l’aidé resté à domicile, dans le cas ou le proche aidant subit une hospitalisation soudaine.

 
 
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Financer l’hébergement d’une personne âgée
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Financer l’hébergement d’une personne âgée
27 SEP 16
 
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Financer l’hébergement d’une personne âgée
Comment financer l’hébergement d’une personne âgée ? La perte d’autonomie se traduit par des dépenses parfois très élevées pour les seniors et les proches. Pourtant ils existent plusieurs aides qui peuvent être mobilisées. APA, l’aide au logement, les réductions fiscales … Voici un panorama des aides selon les modes d’hébergement.

1 – Votre parent vit chez lui:
Pour financer le maintien à domicile de votre proche vous pouvez solliciter 4 organismes : le CCAS, la caisse de retraite, l’APA à domicile ou bien l’ANAH.

L’aide sociale du département peut financer l’hébergement au domicile

Cette aide permet de financer en partie une aide ménagère à domicile qui vous soulagera : ménage, entretien du linge, courses, repas, etc.

Conditions : avoir au moins 65 ans (60 ans en cas d’inaptitude au travail) et des ressources inférieures à 800,80 € net par mois pour une personne seule.

Montant : il est déterminé en fonction des ressources et des besoins.  Au maximum 30 heures par mois sont allouées pour une personne.

Démarche : auprès du centre communal d’action sociale (CCAS) de votre mairie.

L’action sociale des caisses de retraite
Les caisses de retraite peuvent intervenir sous conditions. Il faut les solliciter pour une étude détaillée.  Par exemple, pour les retraités du régime général, un plan d’actions personnalisé (PAP) détaillant les prestations nécessaires (aide-ménagère, portage de repas, aménagement du logement, etc.) est élaboré après évaluation de la situation. Ensuite, la caisse de retraite va  financer une partie des frais d’hébergement à domicile.

Conditions :

avoir au moins 55 ans ;
être retraité du régime général à titre principal ;
rencontrer des difficultés au quotidien, mais ne pas percevoir l’APA (voir ci-dessous) ni aucune autre prestation dépendance.
Montant : il est calculé dans la limite d’un plafond de dépenses (3 000 € par an). Une participation financière est demandée à la personne âgée, selon ses revenus.

L’APA à domicile
L’APA ou allocation personnalisée d’autonomie est versée à partir d’un plan d’aides établi par une équipe médico-sociale du conseil départemental. Cette équipe est chargée d’évaluer la perte d’autonomie et les besoins de la personne. Elle va créer le plan d’aide : rémunération d’une aide à domicile, portage de repas, fourniture de matériel d’hygiène etc.

À noter : l’APA à domicile a été réformée au 1er mars 2016 et allège le reste à charge pour les bénéficiaires. Les dossiers antérieurs vont être réexaminés d’ici le 1er janvier 2017.

Conditions :

être âgé d’au moins 60 ans ;
avoir besoin d’une assistance pour les actes essentiels de la vie (se lever, se laver, s’habiller) ou d’une surveillance régulière ;
être classé dans un état de dépendance, situé entre 1 et 4 sur la grille nationale de dépendance Aggir (le niveau 1, ou GIR 1, est le plus élevé).
Montant : en fonction des revenus, même si le droit à l’APA n’est pas soumis à condition de ressources. Depuis avril 2016, les plafonds des plans d’aide sont fixés à :

663,61 € par mois en GIR 4,
994,87 € en GIR 3,
1 376,91 € en GIR 2,
1 714,80 € en GIR 1.
La personne acquitte une participation financière, sauf en cas de ressources inférieures à 800,80 € par mois.

Démarche : Qu’est que l’Allocation Personnalisée d’Autonomie ?

L’aide de l’Agence nationale de l’habitat (Anah)
Elle peut financer en partie des travaux d’adaptation du logement, comme l’installation d’un monte-escalier électrique.

Conditions :

être propriétaire occupant d’un logement depuis au moins quinze ans ;
disposer de ressources très modestes (revenu fiscal de référence, ou RFR, compris entre 14 308 € et 46 630 € selon la zone géographique et la composition du ménage) ou modestes (RFR compris entre 18 342 € et 56 765 €).
Montant : 50 % ou 35 % du montant des travaux hors taxes en cas de ressources très modestes ou modestes, soit respectivement 10 000 € ou 7 000 € au maximum.

Démarche : composez le 0 820 15 15 15 (0,05 €/min + prix de l’appel d’un poste fixe).

À noter : un crédit d’impôt est accordé sous conditions pour l’installation d’équipements pour personnes âgées ou handicapées. Son montant est de  25 % des dépenses  (équipements et main-d’œuvre T.T.C.) . La limite de dépenses est de 5 000 € pour une personne seule (10 000 € pour un couple), majorés de 400 € par personne à charge.

2 – Votre Parent vit chez vous
S’il a besoin d’une assistance pour les actes essentiels de la vie courante, votre parent peut demander l’APA à domicile. D’autres aides peuvent également vous être accordées : le droit au répit et une réduction d’Impôt.

APA à domicile pour financer l’hébergement de la personne âgée chez ses enfants:

Voir plus haut.

Un droit au répit pour les aidants familiaux
Il permet de financer un accueil de jour, un hébergement temporaire, un relais à domicile, etc., afin que vous puissiez vous reposer ou vous absenter.

Conditions :

le montant du plan d’aide APA doit être atteint ;
vous ne devez pas intervenir auprès de la personne âgée à titre professionnel.
Montant : jusqu’à 500,20 € par an. Une participation financière peut être demandée.

Démarche : auprès du conseil départemental qui a accordé l’APA à domicile.

Une déduction de vos revenus imposables
Cet avantage est autorisé, sans justification, pour une somme forfaitaire de 3 407 € pour l’accueil à votre domicile d’un parent âgé sans ressources ou dans le besoin.

Autre option : rattacher à votre foyer fiscal votre parent vivant à votre domicile, s’il est titulaire d’une carte d’invalidité à 80 %, et bénéficier d’une part supplémentaire de quotient familial (non cumulable avec la déduction précédente).

À noter : un abattement sur votre taxe d’habitation est possible.

3 – Votre Parent réside dans un établissement
« Parmi les trois tarifs appliqués (soins, hébergement et dépendance) dans un établissement pour personnes âgées, le coût de l’hébergement représente de loin le poste le plus lourd pour le résident et sa famille. Le reste à charge au titre de la dépendance est minime », explique Annabelle Malnou, directrice de la Fédération nationale des associations de directeurs d’établissements et services pour personnes âgées (Fnadepa).

L’aide sociale à l’hébergement (ASH): pour financer l’hébergement !

Comme son nom l’indique, cette aide est fait pour financer l’hébergement de la personne âgée en EHPAD. Elle va couvrir les frais d’hébergement dans un établissement pour personnes âgées dépendantes (ehpad), en résidence autonomie (nouveau nom des foyers logements) ou dans une unité de soins longue durée, habilités à l’aide sociale (sauf exceptions).

Conditions :

être âgé d’au moins 65 ans (60 ans en cas d’inaptitude au travail) ;
disposer de ressources inférieures au montant des frais d’hébergement.
Montant : il couvre tout ou partie des frais d’hébergement, après la participation des obligés alimentaires. 90 % au maximum de toutes les ressources (sauf exceptions) de la personne âgée sont reversées à l’établissement pour ses frais. Celle-ci doit conserver au moins 10 % de ses revenus, cette somme ne pouvant être inférieure à 96 € par mois. Les sommes versées au titre de l’aide sociale sont récupérables sous conditions au décès du bénéficiaire sur sa succession.

Démarche : auprès du CCAS. Il est conseillé d’effectuer la demande d’ASH en même temps que celle de l’admission en établissement.

L’APA en établissement
Cette aide sert à régler une partie du tarif dépendance appliqué par l’ehpad ou l’unité de soins longue durée. Elle vient en complément pour financer l’hébergement.

Conditions :

être âgé de 60 ans au moins ;
le degré de dépendance doit être de GIR 1 à GIR 4.
Montant : il dépend des ressources de la personne âgée, du tarif appliqué par l’établissement en fonction de son degré de dépendance. Une participation peut être demandée au résident, selon ses revenus.

Démarche : les établissements qui reçoivent une dotation globale du département pour l’APA s’en chargent. Sinon, c’est à vous de retirer un dossier de demande auprès du CCAS ou d’un CLIC.

À noter : les personnes âgées qui vivent dans une résidence-autonomie (ex-logement foyer) doivent demander l’APA à domicile.

L’aide au logement
Elle est versée sous conditions aux personnes âgées vivant en résidence autonomie, en ehpad ou même en unité de long séjour.

Montant : pour le connaître, utilisez le simulateur du site caf.fr, les critères retenus pour son calcul étant nombreux.

Démarche : auprès de la caisse d’allocations familiales (CAF) du lieu de résidence ou de la Mutualité sociale agricole (MSA), pour les retraités de ce régime.

Une réduction d’impôt
Elle est accordée sous conditions aux personnes résidant en maison de retraite, en résidence autonomie ou en maison d’accueil.

Condition : être hébergé dans un établissement facturant des frais liés à la dépendance.

Montant : 25 % des frais liés à la dépendance et de séjour, dans une limite annuelle fixée à 10 000 €, soit une réduction maximale de 2 500 €.

Démarche : mentionnez-le dans votre déclaration de revenus (case 7CD/7CE).

Avantage fiscal de l’aide à domicile
Si vous employez une aide à domicile, vous avez droit à une réduction ou un crédit d’impôt pour son embauche directe ou par un organisme agréé. Attention, cet avantage est non cumulable avec la déduction de revenus forfaitaire pour pension alimentaire. L’avantage fiscal est égal à 50 % des dépenses retenues, dans la limite de 12 000 € par an (+ 1 500 € par enfant à charge et par personne de plus de 65 ans, sans pouvoir excéder 15 000 €).

La limite de 12 000 € peut être portée à 15 000 € l’année de l’embauche en direct du salarié (+ majoration pour personnes à charge, sans excéder 18 000 €), ou à 20 000 € (sans majoration possible) si l’un des membres du foyer est titulaire de la carte d’invalidité ou perçoit une pension d’invalidité de 3e catégorie.

« Attention à l’obligation alimentaire »
Valéry Lontchi, avocat associé au sein du cabinet Legalix« L’obligation alimentaire entre ascendants et descendants comprend non seulement la nourriture et le logement, mais aussi tout ce qui est nécessaire à la vie, tel que l’habillement, les frais de maladie et, le cas échéant, les sommes destinées à financer des besoins exceptionnels. Les pensions allouées, en espèces ou en nature, sont déductibles du revenu imposable du débiteur ; toutefois, le montant de la pension doit correspondre aux besoins de celui qui la perçoit et à la fortune de celui qui la doit.

Lorsque les descendants ne remplissent pas spontanément leur obligation alimentaire, leurs ascendants peuvent les assigner, afin de les contraindre à leur verser une pension alimentaire en vertu d’une décision judiciaire.

Par ailleurs, lorsqu’un descendant issu d’une fratrie a versé seul l’intégralité d’une pension à un ascendant et que ce paiement excède sa part contributive, il peut se substituer au créancier (son parent dans le besoin) et demander aux autres obligés alimentaires, notamment ses frères et sœurs, leur participation. » source: dossierfamilial.com

Pour en savoir plus

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Aidant : pourquoi être « Personne de confiance » de son proche ?
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Différentes raisons peuvent conduire des Aidants à s’orienter vers un statut de salarié de leur proche en perte d’autonomie :

− le désir de maintenir le proche à domicile,
− le fait que les prestations liées à la perte d’autonomie ne financent pas la totalité des besoins de la personne
− la disponibilité : perte d’un emploi précédent , ou sans emploi
− la difficulté à concilier emploi auprès d’une entreprise et aide à une personne en perte d’autonomie
− la proximité affective, ou géographique
− la possibilité prévue, sous conditions, par l’Allocation Personnalisée d’Autonomie (APA) et la Prestation de Compensation du Handicap (PCH) de rémunérer un aidant familial…

Quelles qu’en soient les motivations, le choix d’être – ou non – salarié de son proche, mérite toujours d’être questionné.

Ce mini-guide vous propose quelques pistes de réflexion que vous pourrez compléter en fonction votre propre expérience.

Devenir Aidant salarié de son proche dépendant
Se poser les bonnes questions
 

@dinouille

Merci bcp. 

La mention :

Il permet de financer un relais à domicile afin que vous puissiez vous reposer ou vous absenter

me paraît appropriée aux gardes de nuit que j ai fait effectuer pr ma mère pendant ma cure thermale. 

Bisous 

@angelina oui,si j'ai bien compris l'aidant est toute la journée au service de la personne,il peut etre rémuneré par celle ci donc employer.ou simplement une petite remuneration .En fait si tu t'occupes de ta mère je pense que tu n'auras plus aides à domicil,qui seront remis en place que quand tu voudras prendre des conger ou partir en cure.Bisous