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Douleurs chroniques : n'abusez pas des opioïdes !
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Tous les commentaires
Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Merci pour l'info, Francine...
Ces opioïdes ne sont-ils pas prescrits à tour de bras ?
scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Inscrit en 2014
C'est la solution de facilité !
On ne devrait les prescrire qu'à titre provisoire, en mettant en place d'autres prises en charge non médicamenteuses. Les médecins, comme tout le monde, agissent dans le court terme !
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
rickurz
Bon conseiller
rickurz
Inscrit en 2014
bonjour
facile à dire quand on a pas mal , on abuse pas on veut simplement moins souffrir....
les dolipranes et aspirines c'est bien pour les petites bricoles
Utilisateur désinscrit
Les personnes qui se constipent dès la première dose d'opioïdes sont bien obligées d'y renoncer. chez moi c'est instantané ! Il faut bien trouver autre chose...
Maria12
Bon conseiller
Maria12
Inscrit en 2013
Pour la constipation, il y a des solutions faciles et sans effets secondaires, voici le lien pour une discussion:
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Maria12.
NEFEROU
Bon conseiller
NEFEROU
Inscrit en 2014
j'ai déjà lu ce genre d'articles de mise en garde, malheureusement ces médicaments sont les seuls qui me soulagent encore assez pour profiter de ma petite famille.... j'essaie de pas en abuser mais ne pas en prendre du tout sur une journée c'est rare que j'en sois encore capable ...
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Carpe Diem
scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Inscrit en 2014
Il est évident qu'on peut faire des articles sur tous les médicaments, s'ils soignent d'un côté, ils font du mal de l'autre.
Dire que les opioïdes sont peu efficaces c'est aller un peu loin. Dire qu'il n'y a aucune preuve d'une efficacité dans le long terme, ne veut pas dire qu'on a la preuve du contraire.
Il n'y a aucun protocole de traitement des douleurs chroniques puisqu'on ne connaît pas vraiment leur origine. Les médecins sont obligés de tâtonner et ce qui fonctionne pour l'un est sans efficacité pour l'autre.
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
J'avais pris de la Lamaline. Plus j'en prenais plus j'avais besoin d'en prendre à des doses de plus en plus fortes.
J'ai été obligée d'arrêter car même les doses très fortes ne me faisaient plus rien pour la sciatique aigüe (hernie discale non opérable).
Utilisateur désinscrit
Je préfère surtout ne pas prendre de cette chimie et remercie mes intestins sensibles ne n'être pas entrée dans ce cycle infernal...
Je n'ai toujours pas pris le temps de regarder à fond le lien sur l'auto hypnose mais ça va venir... car je préfère nettement une telle solution pour apprendre à gérer la douleur...
Utilisateur désinscrit
bonjour
franchement je préférerais m'en passer mais j'ai pas d'autres solutions, alors je fais avec
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scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Inscrit en 2014
Douleurs chroniques : n'abusez pas des opioïdes !
Lombalgie, maux de tête... Dans son journal Neurology, L'Académie américaine de neurologie met en garde contre le recours trop fréquent aux opioïdes pour soulager les douleurs chroniques.
Médicaments dérivés de la morphine, les opioïdes* calment les douleurs. Mais selon le Dr Gary Franklin de l'Académie américaine de neurologie, il ne faut pas en abuser à cause du risque de dépendance et d'effets secondaires. Parmi les effets immédiats sont cités les nausées, vomissements, constipation, somnolence, malaises. Sur le long terme, ces médicaments peuvent être responsables d'infertilité, de chutes et de fractures chez les personnes âgées. "Les risques d’un recours chronique aux opioïdes dans certaines maladies chroniques, comme les maux de tête, la fibromyalgie ou la lombalgie chronique, excèdent les bénéfices" explique-t-il dans le journal Neurology. En 2010, 16 651 empoisonnements accidentels liés à leur prise ont été recensés aux Etats-Unis.
Des effets "modestes"
L'autre point soulevé par le Dr Franklin est l'efficacité seulement "modeste" des opioïdes sur la douleur. "Bien qu’il existe des preuves en faveur d’un apaisement de la douleur sur le court terme, il n’y a aucune preuve solide du maintien de ce soulagement sur de longues périodes" souligne-t-il. Sa recommandation : ne les réserver qu'aux maladies lourdes (polyarthrite rhumatoïde destructrice par exemple) et, même dans ce cas, ne pas les envisager comme la seule approche possible de la gestion de la douleur.
*Exemple de traitements opioïdes : Codéine®, Fentanyl®, Méthadone®, Morphine®, Tramadol®.
Source : Medisite