Si la seconde dose à 30 jours  n'est pas  ce qu'il y a de mieux  @bibimet75‍ .... elle  est  encore jouable avec  l'ARNm Pfizer ( la fabrication des  anticorps neutralisants ne descend pas en flèche ! ). 
Avec l'ARNm Moderna l'intervalle  entre les 2 doses est,  par contre, de 28 jours et non de 21 jours;

Peut-être... mais le laboratoire Pfizer-BioNTech est d'un autre avis concernant son vaccin ARNm.

Vaccin Pfizer/BioNTech : l'efficacité est-elle moindre si la 2e injection est retardée ?

Face à la volonté de certains pays de retarder la deuxième injection, le laboratoire BioNTech lance un avertissement clair : dans cette configuration, l'efficacité maximale de son vaccin contre la Covid-19 n'est pas démontrée

"L'efficacité et la sécurité du vaccin n'ont pas été évaluées pour d'autres calendriers de dosage" que les deux injections espacées de 21 jours appliquées lors de l'essai clinique, a expliqué l'entreprise allemande, dont le vaccin conjointement réalisé avec Pfizer a été le premier vaccin autorisé aux États-Unis et dans l'UE.

Sauf que les pays en question voulaient retarder la seconde injection de l'ARNm  à 6 semaines au lieu de 3 et la France avait été tentée de le faire d'ailleurs.
Et pour être plus précise encore , les essais  pour l'écart entre les 2 doses  ont été faits dans une étroite fenêtre  entre  19  et 23 jours car il fallait aller vite pour contrer le virus. D'où  le dégagement de toute responsabilité pour un  autre écart entre les 2 doses ( surtout un écart qui serait le double de celui prévu ! )
Cela dit  tout  immunologue vous dira que des anticorps  neutralisants ne s'anéantissent pas à seulement  8 jours de  décalage  @bibimet75‍ .

Une infirmière est venue chez moi pour me faire un prélèvement nasale, et elle m'a dit je suis négatif, donc tout va bien, pour le reste, je n'en sais rien,

Quand je rencontre des gens je met toujours le masque, ça coute rien, pour le vaccin contre le covid-19 je n'en sais rien non plus ?

@dan26576 je te donne raison partout ou nous allons il faut mettre le masque et tenir la distance, pour ma part je me ferai vacciner,c’est la seule solution de ne protéger contre se virus 🦠 

bon week-end à tous !!!!

@maritima   Sauf que... qui a dit que " la fabrication des  anticorps neutralisants ne descend pas en flèche" et "des anticorps  neutralisants ne s'anéantissent pas à seulement  8 jours de  décalage" ? ..... personne.... alors ce n'est pas exagéré de fonder des arguments à partir de là  ?

Hier j'ai fait remarquer que certaines personnes doivent attendre 30 jours pour leur 2ème injection. C'est tout. Pas de polémique en vue.

Voici ce que pensent les médecins, immunologues, virologues et autres (ce n'est pas mon avis à moi, ni celui des autres Carenitautes, mais le leur!) ... à prendre en compte:

Décaler la seconde dose de vaccin : est-ce bien raisonnable ? (on ne parle pas d'une semaine de retard ici)

La Haute autorité de santé a donné son feu vert pour espacer de six semaines la première et la deuxième injection des vaccins Pfizer et Moderna. Une décision vivement critiquée par de nombreux médecins.

Le protocole clinique prévoit trois (Pfizer) à quatre semaines (Moderna) entre la première et la deuxième dose des vaccins à ARN messager. La HAS estime qu’on peut espacer jusqu’à six semaines.

Pour l’agence, ce qui est gagné en volume de personnes vaccinées, permet de compenser les éventuels risques individuels, dans un contexte d’urgence sanitaire. Car, dans la course contre les variants et face aux difficultés de production des laboratoires pharmaceutiques, les doses manquent pour vacciner massivement au plus vite.

L'avis de la HAS crée la polémique dans la communauté des chercheurs et des soignants. Ils reprochent à l’agence d’avoir rendu un avis « politique » - au regard du manque de doses disponibles - au détriment des arguments scientifiques.

La mise en place de cette décision sur le terrain suscite également la colère.
Les médecins appellent à respecter le délai de 21 jours entre les injections pour Pfizer et 28 jours pour Moderna, qui est le seul protocole testé dans les essais cliniques pour mesurer l’efficacité de ces vaccins.

Pfizer a notamment mis en garde contre un changement de protocole dans l’administration de son vaccin à ARN messager. Les soignants appellent à respecter la science, en en citant, à l’appui de leur raisonnement, l’avis de la Food and Drug Administration (FDA) américaine.

Tout d’abord, faute d’avoir mené des essais avec un autre délai d’espacement, les scientifiques n’ont pas de données sur la modification du protocole. « Les données concernant la première dose sont souvent mal interprétées. Dans les essais de phase 3, 98 % des participants à l’essai Pfizer-BioNTech et 92 % des participants à l’essai Moderna ont reçu deux doses du vaccin à un intervalle de trois ou quatre semaines, respectivement. Les participants qui n’ont pas reçu deux doses de vaccin à trois ou quatre semaines d’intervalle n’ont généralement été suivis que pendant une courte période de temps, de sorte que nous ne pouvons rien conclure de définitif sur la profondeur ou la durée de la protection après une seule dose de vaccin », écrit l’agence américaine.

Attention à ne pas créer de nouveaux mutants

Une analyse partagée par l’Académie de médecine , qui appelait, le 11 janvier dernier, à « se conformer autant que possible au schéma vaccinal prescrit par le fabricant (21 jours pour Pfizer/BioNTech, 28 jours pour Moderna) ».

Elle envisageait cependant des aménagements en cas de situation de pénurie. Et recommandait « de ne différer l’injection de la seconde dose que si les circonstances l’exigent (manque de doses disponibles) et sans excéder un dépassement de 3 semaines » (ce qui est le délai retenu par la HAS), de « réserver cet élargissement aux personnes âgées de moins de 50 ans et ne présentant aucun facteur de risque de forme grave de Covid-19 », sans oublier de « prescrire un renforcement des mesures barrière pour que toute personne vaccinée évite d’être infectée avant l’administration de la seconde dose ».

Car la crainte de l’Académie concerne ce qui pourrait se passer avec les personnes ayant reçu une seule injection : les risques de faire émerger de nouveaux variants du Sars-Cov-2. « Dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération […] Au plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination », alerte-t-elle.

Les Dernières Nouvelles d'Alsace - 25 janvier 2021

Faites-vous votre avis !

Bonjour @bibimet75  à la télé ils disaient que même vacciné on peut transmettre  ce virus covid-19, quoi qu'il en soit il faut toujours garder le masque, une situation étrange ?

Tout simplement @bibimet75‍  parce qu'il faut déjà  une quinzaine  de jours avant que  le système immunitaire fabrique l'immunité partielle ( environ 30% ) suite à la première injection . Elle montera à 90% voire 95 ,15 jours après la deuxième dose..  Et quand vous dites " personne" c'est votre opinion  parce que vous n'avez pas sûrement pas eu l'occasion de discuter avec un immunologue. Et ......ce n'est pas polémiquer que de  transmettre ce qu'on a appris  et qui n'est pas forcément divulgué.

 Ajout :Il s'agit là de ma réponse à votre 10h46 .

Je ne continuerai pas sur ce sujet avec vous @maritima vous ne m'avez pas comprise, je ne voulais pas partir dans un débat pseudo-scientifique, ni polémique, je m'étais réjouie pour vous de votre 2ème dose à 21 jours quand bien d'autres ne l'ont qu'à 30 jours. 

J'ai transmis ensuite un article où je laisse découvrir les avis des médecins et labos sur le sujet.