Que penser du coronavirus ?

Une information vient d’être mise en avant de l’AIMSIB , deux informations pour commencer :

• il ne s’agit pas d’un article scientifique mais d’une publication interne à une association !! Donc pas de comité de lecture et bien évidemment pas d’acceptation de publication par des pairs réputés pour leurs connaissances sur le sujet !!

• cette association mérite d’être un petit peu connue (cf ci-dessous) !!

AIMSIB (Association internationale pour une médecine scientifique et indépendante), selon sa propre description, il s'agit d'une association qui vise à fédérer des personnes issues de la société civile, des patients et des professionnels de la santé déçus de la médecine. Comptent ou comptaient parmi ses membres notamment, Michel De Lorgeril, Vincent Reliquet, Marion Kaplan, Déborah Donnier, Anne Gourvès, Theresa Deisher, "Emma Khan" et Michel Georget. Parmi les sites "amis" répertoriés par l'AIMSIB, on trouve notamment le site personnel de Michel de Lorgeril, le site de Nicole Delépine, le site Prévention Santé de Déborah Donnier, le site de Marc Girard, le site de l'IPSN. La partie "livres" du site de l'AIMSIB fait notamment la promotion des livres écrits ou préfacés par Michel de Lorgeril et par Nicole Delépine.

Les personnalités promues sur le site laissent peu de place au doute que l'AIMSIB est une association antivaccin. L'association fait également la promotion de pseudo-médecines telles que l'homéopathie. Notamment, un article rédigé par Edouard Broussalian pour l'AIMSIB est l'occasion d'en faire la publicité et d'essayer de discréditer la médecine scientifique. Elle tente de dénoncer les liens d'intérêts des chercheurs de la science qualifiée de "officielle", alors même que certains de ses membres ne déclarent pas les leurs. Les commentaires de certains articles de son site, modérés notamment par Vincent Reliquet, sont censurés quand ils sont gênants.

Entre autres absurdités, elle essaie de faire croire que la rougeole est une maladie bénigne, que le vaccin ROR a une balance bénéfices-risques défavorable, que la variole n'a pas été éradiquée par la vaccination, que des maladies auto-immunes et l'autisme sont induits par l'ADN fœtal du vaccin ROR.

• ce n’est absolument pas un article répondant aux critères admis par la communauté médicale internationale

@Philou75FR c’est conforme à votre notion de preuves, et cela confirme les hypothèses concernant vos sources, et, bien évidemment, pourquoi vous ne les fournissiez pas !!!

Éteignez votre TV

Une étude très intéressante ,:

Les chercheurs ont découvert comment nous prenons froidUne équipe américaine montre comment les températures hivernales bloquent la libération dans notre nez, en cas d’inhalation d’un virus, d’une nuée de petites sphères dotées d’un pouvoir anti-infectieux.

« Tu vas attraper froid ! » Les médecins ont souvent pris de haut cette expression populaire. Peut-on réellement développer une maladie respiratoire ou ORL à cause du froid ? Non, jugeaient-ils. Les températures hivernales ne peuvent être directement responsables de nos rhumes, grippes, angines, otites et autres affections, qui sont, comme chacun sait, bien plus fréquentes à la mauvaise saison.

Une étude américaine publiée le 5 décembre leur donne tort : cette croyance populaire avait du vrai ! Quand nos muqueuses nasales respirent un air glacé, montrent les auteurs, ce froid neutralise une des premières lignes de défense de notre organisme face à une attaque virale. Affaiblies, elles laissent le champ libre au virus, qui envahit nos voies respiratoires.

Jusqu’ici, deux explications prévalaient pour rendre compte de la fréquence plus élevée des maladies respiratoires en hiver. La première est comportementale. Durant la saison froide, nous vivons davantage en milieu clos. Ces séjours prolongés dans des lieux fermés, avec la promiscuité qu’ils supposent, favorisent les infections : nous respirons alors un air contaminé. Second mécanisme, les virus responsables des maladies respiratoires résisteraient mieux aux frimas, d’où leurs offensives répétées à la saison froide.

« Fonctions très variées »Le mécanisme biologique découvert aujourd’hui n’invalide pas ces deux explications : il en est complémentaire. Il faut d’abord savoir qu’en cas d’invasion microbienne dans notre nez, un régiment insolite intervient en urgence : il recrute de microscopiques soldats tout ronds.« Toutes les cellules humaines sécrètent de minuscules billes, guère plus grosses que des virus », explique Clotilde Théry, directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm, institut Curie, Paris). Cernées d’une double couche de lipides, ces billes nanoscopiques (leur diamètre est compris entre 50 et 200 milliardièmes de mètres) peuvent renfermer différentes molécules d’intérêt.

« En clair, ce moyen de défense immunitaire inné est moins efficace quand il fait froid », résume Olivier Schwartz, responsable de l’unité virus et immunité à l’Institut Pasteur, à Paris, qui juge ce travail « sérieux, fournissant des preuves solides de l’impact des températures hivernales sur les infections virales 

Port du masque et vaccination: où en est-on ?

Le ministre de la Santé, François Braun, a dit dimanche 5 décembre qu'il ne souhaitait pas pour l'instant rendre obligatoire le port du masque dans les transports en commun, malgré les alertes des scientifiques face à la concomitance des épidémies de Covid-19, de la grippe et de la bronchiolite.

"Je fais appel à la responsabilité. Je ne suis pas favorable de manière générale à la coercition (...). Je fais confiance aux Français", a-t-il dit. La France se trouve depuis quelques jours dans une situation "compliquée", dit-il, en raison de la propagation du virus de la bronchiolite, qui sature en ce moment les services pédiatriques, la montée en puissance du virus de la grippe, bien présent déjà dans l'ouest de la France, et l'accélération de la propagation du coronavirus.

Les services d'hospitalisation pour les adultes ne sont toutefois pas encore saturés pour nécessiter le retour de l'obligation du port du masque, dit le ministre de la Santé, qui dit surveiller de près l'évolution des trois épidémies.

François Braun conseille donc pour l'instant "très fortement le port du masque" et appelle les Français à renforcer les gestes barrière et la vaccination.

Pour l'instant, seuls 7,2% des 60-79 ans et 9,4% des 80 ans et plus avaient reçu un rappel adapté au variant Omicron (10,0% et 11,3% respectivement chez les éligibles), selon des données de Santé publique France publiée vendredi.

- PARIS-Reuters -

Mon avis: plutôt que de penser à imposer des demi-mesures générales, il vaudrait mieux pousser les personnes dites fragiles à se faire vacciner et se protéger comme leur état de santé le nécessite.

Quant à s'inquiéter de la saturation des hôpitaux par rapport aux épidémies, c'est un peu hypocrite et c'est masquer le problème permanent non résolu des besoins criants en personnel.

Covid :

la Chine annonce un allègement général de ses restrictions sanitaires contre le virus

le pays est au bord de la révolte

feraient mieux de se vacciner

Hier un lien a été mis en avant pour démérité le doute (!) sur les vaccins ARNm . .

La contamination par les vaccins à ARNm est-elle biologiquement plausible à partir d’un sujet vacciné ?

Son auteure a un CV qui n’est pas vraiment rassurant pour valider la qualité de ses dires (elle utilise aussi des pseudos) :

Hélène Banoun, est décrite comme "spécialiste en immuno-infectiologie", comme "chercheure française exceptionnelle dont les diplômes, la carrière et les publications ont forcé le respect des membres de notre modeste Association", comme "formidable virologue", par l'association antivaccin AIMSIB, dont elle est membre sous le pseudonyme de "Emma Khan".

. Elle est décrite comme "chercheuse indépendante" par le site FranceSoir. En réalité, elle a obtenu un diplôme de Docteur en Pharmacie en 1984, elle a 7 publications à son actif pendant son internat en Pharmacie à l'INSERM de 1982 à 1986 et elle a été pharmacienne biologiste de 1986 jusqu'à sa retraite. Elle n'est donc ni spécialiste, ni chercheuse, n'est affiliée à aucun laboratoire. Elle est une spécialiste auto-proclamée qui vante ses soi-disant compétences pour s'ériger (et être érigée par la communauté antivaccin) en argument d'autorité. Elle fait partie de la tribune RéinfoCovid à laquelle participent également notamment les Drs Olivier Soulier, Pascal Sacré, Louis Fouché, Nicole Delépine et Alexandra Henrion-Caude. Elle est signataire d'un "message d'alerte international aux gouvernements et citoyens du monde", dans lequel il est expliqué que les mesures de protections de la santé publique (confinement, port du masque, distanciation, système de traçage, etc.) sont injustifiées, que le virus serait moins dangereux, moins mortel et moins contagieux que prétendu, qu'il n'a pas menacé de saturer le système hospitalier, que des professionnels de la santé qui veulent dire la vérité sont censurés, que la peur du virus est plus dangereuse que le virus lui-même, etc. En mai 2020, elle prédisait qu'aucun vaccin contre le Covid19 ne serait efficace. En novembre 2020, elle prétend que la vaccination ne sera pas nécessaire car, selon elle, l'épidémie s'essouffle en France parce que le virus serait moins virulent et moins contagieux. Pendant l'épidémie de rougeole qui a sévit à Samoa en décembre 2019, elle en a profité pour remettre en cause l'utilité et l'inocuité du vaccin contre la rougeole, en faisant preuve d'une mauvaise foi flagrante ici et ici. Sur Facebook, sous le pseudonyme de Minotte Degun, elle contribue à relayer beaucoup de désinformation et notamment de vieux mythes antivaccins largement debunkés.

@Philou75FR la qualité de vos sources est très impressionnante, et ne faites pas croire que c’est le hasard qu’il a joué un rôle dans cette mise en avant !!

@chatdoc Le gouvernement aussi en a dit des bêtises, avec une chose et son contraire, au cours de ces 3 dernières années, ainsi que des médecins de tous bords.

Votre document n'est donc pas une preuve de quoi que ce soit...

Je me demande souvent aussi si vous ne pouvez pas écrire autre chose que des copié-collés, avec l'obsession des preuves (!) au détriment d'une vraie discussion et de partage d'avis... dommage.

Rappel sur les soignants non vaccinés, 1ere Partie :

les soignants non vaccinés : ce sujet est assez horripilant pour les soignant vaccinés. Alors, ces millions d’infirmiers injustement suspendus par des tyrans sans coeur, qu’attendons-nous pour les réintégrer, alors que l’hôpital manque cruellement de personnel?

Tout d’abord, il y en a combien de millions suspendus qui peuvent sauver l’hôpital? D’après la Fédération Hospitalière de France [1] : 500 infirmiers courageux.

Mais il y a combien d’infirmiers dans les établissements français? 

D’après la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques [2] : 358 000 infirmiers. : donc les infirmiers suspendus représentent 0.14% des infirmiers qui travaillent dans les établissements français. Est-ce avec ça qu’on va sauver l’hôpital?

Mais attendez, cela permettrait-il au moins de remplir les postes vacants? Il y en a combien des postes vacants d’ailleurs?

D’après la Fédération Hospitalière de France [3], en avril 2022 : 5.7% des postes infirmiers étaient vacants. (5.7% c’est Plus de 40 fois plus en fait).

Mais bon, peut-être que les infirmiers suspendus pourraient compenser l’absentéisme?

 * D’après la Fédération Hospitalière de France [3], en 2021 : 9.9% des infirmiers étaient absents (9.9% c’est encore plus que 5.7% par rapport à 0.14%!!! ).

Et, si tous ces absents, ils étaient en fait en arrêt pour ne pas se faire injecter une thérapie génique expérimentale même pas testée, ET pour ne pas se faire suspendre?! 

D’après la Fédération Hospitalière de France [3], en 2020 : 10.0% des infirmiers étaient absents.  10.0% c’est un peu plus que 9.9%, et pourtant en 2020, il y en avait de bonnes raisons d’être en arrêt quand on était infirmier à l’hôpital, entre le surmenage, les contaminations COVID, les cas contacts et quelques infirmiers qui ont fait semblant de faire des formes graves.

Mais PEUT-ÊTRE que ces infirmiers suspendus, qui sont mieux informés que la quasi totalité des dizaines de millions de médecins et de scientifiques de la planète, et que la quasi totalité des dizaines de millions de leurs collègues infirmiers (et surtout que vous, si vous êtes vacciné), peut-être donc qu’ils sont tellement forts qu’ils peuvent assurer le boulot de plusieurs de leurs collègues, après tout?

C’est une bonne question. Si vous deviez monter dans un avion, et que pour le piloter vous aviez le choix entre : 700 pilotes diplômés et validés par l’aviation civile pour piloter cet énorme Airbus A380?

1 (un, donc) pilote interdit de vol et mis à pied par sa hiérarchie parce qu’il affirme que la gravité n’existe pas, vous choisiriez qui pour piloter l’avion?

• Conclusions :

Les infirmiers suspendus le sont parce qu’en dépit de longues et laborieuses informations fournies par leur hiérarchie, par les autorités sanitaires, par les autorités tout court, par les médecins de leurs services, par leurs collègues : ils ont choisi d’ignorer les montagnes de données scientifiques sérieuses et de se fier à 2 ou 3 papiers écrits et publiés (ou pas!) dans des revues de seconde zone par des savants souvent auto-proclames qui depuis ont engrangé des millions d’euros sur leur dos.

Ce qui est malheureusement l’indication, au choix, d’une crédulité coupable ou d’une incompétence inacceptable (ou d’un savant mélange des deux).

Ils le sont également parce qu’en dépit de leur code de déontologie [4], ils ont choisi d’ignorer les données validées par la science, et de rejeter un vaccin extrêmement efficace contre une maladie grave, au détriment potentiel de leurs patients.

➜ Ce qui constitue un comportement contraire à l’éthique d’un soignant.

Ils le sont enfin parce que l’obligation vaccinale pour les soignants n’a rien de nouveau, ils par exemple depuis des décennies tenus d’être vaccinés (et à jour) pour le tétanos, la diphtérie et la polio (et la tuberculose, de mémoire). Et depuis le milieu des années 90, pour l’hépatite B.

➜ C’est la loi, elle n’a rien d’exceptionnel et encore moins de nouveau. En première année, un médecin a le choix : se vacciner ou choisir un autre métier.

Ces infirmiers suspendus sont ULTRA minoritaires, et représentent une goutte d’eau dans l’océan des soignants.

Les réintégrer ne se ressentirait même pas sur le terrain.

Il n’y a pas plus d’absentéisme qu’avant l’obligation vaccinale COVID, de plus : il n’est pas exactement certain qu’ils soient les bienvenus dans les services [5].

• références bibliographiques à la fin de la 2eme partie

@bibimet75 alors vos arguments !!

Covid :

"Une situation qui fait craindre le pire", le retour du masque obligatoire réclamé par des associations

Des associations de malades lancent un appel dans les colonnes du Parisien à l'adresse du gouvernement pour qu'il réimpose le masque obligatoire pour lutter contre le Covid, dont la 9e vague se renforce à l'approche des fêtes."Force est de constater que le port du masque reste minoritaire". Douze associations de malades signent ce mercredi 7 décembre un appel dans le journal Le Parisien, pour demander au gouvernement de rendre à nouveau obligatoire le port du masque face à une situation "dramatique". 

Au-delà de la neuvième vague de Covid, les associations dressent le portrait d'une "situation inédite", alors que s'ajoutent l'épidémie de bronchiolite et celle de grippe actuellement, faisant peser un poids considérable sur les hôpitaux, déjà en difficulté. Pour ces associations, les moyens pour lutter contre la situation sont limités. 

Avis défavorable de la HAS sur le vaccin anti-COVID de Valneva. .

La Haute Autorité de santé (HAS) a rendu jeudi un avis défavorable sur l'utilisation du vaccin VLA2001 de Valneva pour la primovaccination contre le COVID-19."Il n'y a pas de données d'efficacité clinique ou de données immunologiques avec les variants actuels.

Donc, il n'a pas été retenu pour l'instant", a expliqué Elisabeth Bouvet, présidente de la Commission technique des vaccinations (CTV) de la HAS, lors d'une conférence de presse.

"Il n'a pas paru judicieux de lui donner une place en France, on considère qu'on a suffisamment de vaccins disponibles pour les personnes qui ne souhaitent pas de vaccination ARNm", a-t-elle ajouté.

La HAS a parallèlement rendu un avis favorable sur l'utilisation en rappel chez les adultes des vaccins VidPrevtyn Beta de Sanofi/GSK et Nuvavoxid de Novavax.

@bibimet75 et dire qu’il y a 1 an, vous avez conseillé d’attendre ce vaccin !!

https://www.boursorama.com/bourse/actualites/avis-defavorable-de-la-has-sur-le-vaccin-anti-covid-de-valneva-e7eaf8127699e887758a8e8715c8d109

Avis défavorable de la HAS sur le vaccin anti-COVID de Valneva

PARIS (Reuters) - La Haute Autorité de santé (HAS) a rendu jeudi un avis défavorable sur l'utilisation du vaccin VLA2001 de Valneva pour la primovaccination contre le COVID-19. "Il n'y a pas de données d'efficacité clinique ou de données immunologiques avec les variants actuels