Que penser du coronavirus ?

Méningite :

vomissements, taches rouges ou violacées… des cas graves après l'apparition d'un nouveau variant

Le nombre de cas de méningite explose dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Un nouveau variant du méningocoque B a été détecté, il pourrait cibler davantage les jeunes de 16 à 21 ans. Un cas mortel et plusieurs graves ont été recensés ces derniers mois.

Covid-19 :

Les vaccins à ARN messager sont « sans danger » pendant la grossesse, selon une étude canadienne

ENQUETE Une étude canadienne a suivi 200.000 femmes enceintes vaccinées

Hong Kong :

Emigration record liée aux mesures sanitaires contre le Covid-19

FUITE Plus de 110.000 résidents ont quitté la ville, qui maintient des mesures sanitaires draconiennes

Variole du singe :

Des associations pressent le gouvernement d'accélérer la vaccination

VACCIN Les associations jugent que l’on est « loin du compte » sur le vaccin

Variole du singe :

L'OMS rebaptise les variants de la maladie

EPIDEMIE Pour en finir avec la stigmatisation des régions africaines, l’Organisation a remplacé les noms des variants par des chiffres romains

Variole du singe :

Non, le vaccin n’est pas expérimental

FAKE OFF Depuis le 25 juillet 2022, le vaccin Imvanex a obtenu une autorisation de mise sur le marché européenne

Lorsque, pour nous, ce sont mesures de distanciation, port de masque obligatoire et aussi baisse du chauffage l'hiver qui arrive et ralentissement sur la route, pour ne pas polluer, que voit-on ?

Le chef d'état du Canada, M.Trudeau, atterri au Costa Rica avec sa famille et... pas un masque et avion privé.

Orwell avait écrit "Everyone is equal. Some are more equal.", vraiment les dirigeants sont plus égaux que nous.https://twitter.com/i/status/1555512110423150592

COSTA RICA COVID-19 : CONDITIONS D’ENTRÉE SUR LE TERRITOIRE COSTARICIEN :

L’entrée sur le territoire costaricien ne nécessite pas l’accomplissement de formalités particulières avant d’entreprendre le voyage (dispense de présentation de la preuve du résultat négatif d’un test covid et de la preuve de la vaccination).

Le port du masque n’est pas obligatoire au Costa Rica, sauf indication contraire (affichage dans certains lieux).

Étude : Les patients atteints de COVID de longue durée présentent des différences du système immunitaire.

Grâce à l'établissement du profil immunitaire, une étude de petite envergure mais très complète révèle que les personnes atteintes d'un COVID long présentent des réponses anticorps accrues à d'autres virus non COVID, comme le virus d'Epstein-Barr (VEB), ainsi que des niveaux de cortisol nettement inférieurs à ceux des personnes sans COVID long.

L'étude - qui est encore une pré impression - a porté sur 215 personnes de l'hôpital Mount Sinai de New York et de l'hôpital Yale New Haven du Connecticut.Les 215 participants à l'étude ont été répartis en quatre groupes :* personnes en bonne santé n'ayant jamais été infectées par le COVID-19* personnes en bonne santé, non vaccinées, qui ont eu le COVID-19* des personnes en bonne santé, vaccinées, qui ont eu le COVID sans symptômes persistants* des personnes qui ont eu des symptômes persistants après une infection aiguë par le COVID.

Selon Akiko Iwasaki, PhD, professeur et ses co-auteurs, un développement inattendu dans la recherche du groupe a révélé que des sous-ensembles de patients atteints de COVID depuis longtemps présentaient une réactivité des anticorps contre des virus non COVID, en particulier le virus Epstein-Barr (EBV), un membre de la famille des virus de l'herpès.

La présence de l'EBV a déjà été signalée lors d'une infection sévère à COVID-19 chez des patients hospitalisés. Mais les réponses immunitaires élevées à l'EBV trouvées chez les patients de cette étude indiquent qu'une réactivation récente de ce virus particulier pourrait être une caractéristique commune du COVID long.

Le « profilage » effectué dans l'étude a révélé que la réactivation de l'EBV n'est pas simplement fortuite après une infection par le COVID-19. En fait, les chercheurs écrivent que ces types d'agents pathogènes viraux non COVID "peuvent alternativement médier, aggraver ou exploiter les changements persistants" chez les personnes atteintes d'un COVID long.

On ne sait pas, cependant, si la réactivation de l'EBV peut prédisposer les personnes atteintes d'un COVID long au développement ou à l'aggravation de maladies auto-immunes.En outre, l'un des résultats les plus frappants est que les participants ayant un  COVID long présentaient une baisse significative des niveaux de cortisol, la principale hormone de stress de l'organisme."Des rapports antérieurs ont associé de faibles niveaux de cortisol pendant la phase initiale du COVID-19 chez les patients qui développent des symptômes respiratoires du COVID long », écrivent Iwasaki et ses collègues dans l'étude.

"Ainsi, notre constatation actuelle d'une diminution persistante de la production de cortisol chez les participants présentant un COVID-19 long plus d'un an après l'infection aiguë justifie une enquête plus approfondie."Les auteurs notent plusieurs limites importantes à cette étude, principalement son petit groupe de participants de 215 personnes. Bien que les individus qui ont participé à l'étude aient fait l'objet d'un profil immunitaire détaillé, le nombre limité de participants ne permet pas d'appliquer l'étude à l'ensemble de la population.

https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.08.09.22278592v1.full.pdf

@SepSepien et l’EBV ressurgit, corrélation ou causalité . .

Covid-19 : comment la perte de l'odorat prédit un déclin cérébral.

Ceux qui rapportent une anosmie sont plus susceptibles de souffrir de divers troubles cognitifs. ( Proceedings, AAIC, 2022, San Diego).

La perte de l'odorat à cause du Covid-19 pourrait laisser présager l'apparition d'un déclin cérébral.

Une nouvelle étude s'intéresse aux conséquences du Covid-19 sur la santé. Et la liste des séquelles s'allonge.

Des experts mettent en garde les patients atteints par le Covid-19 et souffrant d'une perte de l'odorat. En effet, la présence de ce symptôme augmenterait le risque de "déclin cérébral à long terme".

Selon des scientifiques argentins, ceux qui rapportent une anosmie sont plus susceptibles de souffrir de divers troubles cognitifs. Pour parvenir à cette conclusion, ils ont examiné les données de 766 participants âgés de 55 à 95 ans et touchés par le virus. Chaque patient a évalué son degré de perte d'odorat grâce à un test où il devait identifier trois odeurs distinctes. En parallèle, les chercheurs ont aussi analysé la mémoire, l'attention, le langage et la fonction exécutive

Perte d'odorat et réponse inflammatoire

Résultat ?

Les deux tiers avaient des troubles de la mémoire fonctionnelle, des troubles graves chez la moitié d'entre eux. Dans le détail, 11,7% souffraient de problèmes de mémoire, 8,3% d'une déficience de l'attention et des fonctions exécutives et 11,6% avaient des problèmes combinés. Tous les patients qui présentaient des troubles cognitifs graves avaient également une perte d'odorat. Pour l'équipe de recherche, c'est d'ailleurs la gravité de l'anosmie qui prédisait les troubles cognitifs.

"Nos données suggèrent fortement que les adultes de plus de 60 ans sont plus vulnérables aux troubles cognitifs post-Covid s'ils avaient un dysfonctionnement de l'odorat, quelle que soit la gravité du Covid", a rapporté le Dr Gonzalez-Alemán. 

Le Dr Claire Sexton, directrice principale des programmes scientifiques et de la sensibilisation à l'Association Alzheimer, précise que "la perte de l'odorat est le signal d'une réponse inflammatoire dans le cerveau". Avant de compléter : "Nous savons que l'inflammation fait partie du processus neurodégénératif dans des maladies comme la maladie d'Alzheimer.". 
À l'avenir, d'autres recherches doivent permettre de confirmer cette corrélation.

Et, les derniers variants BA.4 et 5 entraîne assez fréquemment une anosmie . . 

https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2627657-anosmie-perte-odorat-covid-omicron-ba5-duree/#:~:text=L'anosmie%2C%20ou%20la%20perte,Omicron%20(BA4%2C%20BA5).