Bientôt un vaccin contre la Covid-19 ? Qu'en pensez-vous ?

@Stefan 

En l'occurrence l'erreur n'a pas été faite par les industriels ! mais des humains qui travaillent 7 jours sur 7 .

oui les industriels en profitent ! mais on ne peut pas dire que notre gouvernement ait sorti son carnet de chèques ; la preuve les chercheurs français sont partis ailleurs ! 

au début les laboratoires de dépistage c'étaient des tentes ! aujourd'hui ils ont droit à du préfabriqué ! on avance .

 tous les généralistes soignent leurs patients bien avant de les envoyer à l'hôpital ! et ils essaient avec les médicaments que nous les insuffisants respiratoire connaissons .

de quels médicaments parlez vous ? l'azithromycine ? non ca ne soigne pas toujours  !  j'en ai pris et tous les insuffisants respiratoires qui font des infections à répétions en prennent mais ça ne nous empêchent pas de tomber malade ! c'est pour les gens comme nous "fragiles" qu'il faut trouver un vaccin ! chaque année je fais le vaccin de la grippe et ça ne m'empêchera pas forcément de ne pas l'attraper ! je fais aussi le pneumocoque mais avec le nombre de pneumonies virales et bactériennes qui trainent je ne suis pas à l'abri non plus ! mais ça entraine l'immunité à réagir .  pour ce virus là ce sera pareil ! 

on vit dans une société basée sur le profit ; ce virus a montré nos faiblesses mais je veux croire qu'il y a  suffisamment de gens "biens " qui agiront sans se contenter de râler ! et d'après toutes les initiatives que j'ai rencontrée en 1 an je veux croire que oui !

Moi non plus je ne détourne pas le regard ! j'ai 4 enfants et 6 petits enfants alors oui je suis dégoutée de les voir brimés dans leur vie de tous les jours ! pour moi ça ne change rien ; je suis confinée tout le temps ou presque . mais je crois que chacun peut agir à son niveau . on est pas obligé de se reposer continuellement  sur le gouvernement ! 

personne n'est obligé de le prendre ce vaccin,  mais on peut . on a le choix . je ne m'accorderais pas le droit de juger ceux qui le choisissent .

ce n'est pas parce que le gouvernement est paumé qu'il ne faut retenir que  ça . 

Bonsoir @Stefan‍  je vois que Maritima est à bout d'arguments, pourtant je trouve votre point de vue très intéressant et plus largement partagé qu'un avis juste perso. Vous posez les vraies questions, votre contribution au forum est importante, merci. Bonne soirée 

Je regarde sept à huit sur la 1 😏😕😢

J'ai voulu regarder mais je crois que le reportage est terminé.

Détrompez-vous  @bibimet75‍  je ne suis pas et n'étais pas à court d'arguments   mais .....j'étais attendue et suis ponctuelle avec qui l'est aussi .  Je reviendrai  discuter au fil des forums et lirai volontiers les messages argumentés  que vous y laisserez ..... ( ?)

Bonne soirée @maritima 

Bonne journée à tous.

Une information intéressante pour les débats actuels :

Le co-créateur du vaccin AstraZeneca défend la sécurité face aux problèmes de coagulation
Reuters

organisée par Dawn O'Shea
  UK Medical News
  26 avr 2021
 
 
L'un des scientifiques d'Oxford qui a co-développé le vaccin COVID-19 d'AstraZeneca a défendu son innocuité et a déclaré qu'il ne craignait pas que certains pays aient choisi de restreindre son utilisation en raison des inquiétudes concernant un lien avec l'effet secondaire rare de la thrombose et de la thrombocytopénie.

Adrian Hill, directeur du Jenner Institute de l'Université d'Oxford, a déclaré que des équipes du monde entier s'efforçaient de déterminer tout mécanisme potentiel de la cause des caillots sanguins, en utilisant des données du monde réel maintenant tant de vaccins ont été administrés.

Il a convenu avec les organismes de réglementation des médicaments en Grande-Bretagne et en Europe, ainsi qu'avec les experts de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), que le rapport bénéfice / risque du vaccin favorisait son utilisation.

"Si certains pays choisissent d'utiliser un vaccin, il y aura plus d'autres vaccins pour d'autres pays", a déclaré Hill à l' agence de presse Reuters . "Nous ne voyons pas cela comme un énorme problème."

Plus d'une douzaine de pays européens ont suspendu l'utilisation du vaccin AstraZeneca (Vaxzevria) à la suite de rapports de cas de caillots associés à de faibles taux de plaquettes chez un très petit nombre de personnes. De nombreux pays ont maintenant recommencé à utiliser le vaccin.

Après avoir examiné les rapports de sécurité, le régulateur de l'Agence européenne des médicaments (EMA) a déclaré que s'il existait un lien possible avec le trouble de la coagulation, un lien de causalité direct n'avait pas été établi et les avantages du vaccin dans la prévention de la maladie grave à COVID-19 étaient substantiels.

Lorsqu'on lui a demandé s'il était surpris par les rapports de cas de caillots sanguins survenus en Grande-Bretagne, en Norvège, en Allemagne et dans d'autres pays qui ont déployé Vaxzevria, Hill a déclaré que des effets secondaires extrêmement rares n'auraient pas émergé même dans des essais à grande échelle impliquant des dizaines de milliers de personnes. des participants.

"Personne ne peut détecter quelque chose qui se produit chez un sur 300 000 et peut-être entraîner la mort chez environ un sur un million - si vous faites des études de l'ordre de 10 000 à 20 000 vaccins", a-t-il déclaré.

"Ces effets secondaires très, très rares sont très difficiles à détecter avec n'importe quel vaccin. Ce qui est bien, c'est que nous pouvons maintenant les récupérer parce que l'infrastructure de liaison de données au Royaume-Uni et dans de nombreux autres pays est capable de le faire remarquablement rapidement."

Le vaccin d'AstraZeneca utilise un virus du rhume non réplicatif connu sous le nom d'adénovirus pour délivrer des protéines de pointe dans les cellules et produire une réponse immunitaire.

Hill a déclaré que le mécanisme potentiel derrière tout lien possible entre le vaccin et les rares cas de caillots sanguins était "une question de recherche intense par de nombreux groupes à travers le monde", y compris des équipes à l'Institut Jenner et à AstraZeneca.

"Il faudra peut-être beaucoup de temps pour comprendre", a-t-il dit. «Je pense que nous pourrons le faire assez rapidement et, espérons-le, proposer un régime ou une approche de vaccination qui évite complètement ce problème. Mais nous devons ... en savoir plus avant cela.

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Les références
Kelland K., co-créateur d'AstraZeneca COVID Shot, défend la sécurité face aux problèmes de caillots. Reuters. 23 avril 2021. https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/co-creator-astrazeneca-covid-shot-defends-safety-amid-clot-concerns-2021-04-23/

La vaccination est une bonne chose. Salut!

Et la déclaration d'Adrian Hill est pleine de sens, et de bon sens . Les essais cliniques sont essentiels mais il serait imprudent d'imaginer qu'ils  soient exhaustifs en  matière d'incidents ou d'accidents de parcours  lors des applications à très grande échelle  ( pandémie par ex .)

                Adrian V.S. Hill          Career and research

During his time at the Wellcome Trust Centre for Human Genetics his research group studied genetic susceptibility to infections such as malaria, tuberculosis, and HIV. He is now[when?] developing vaccines which produce cellular (T-cell) immunity using Adenovirus and Modified vaccinia Ankara (MVA) viral vector vaccines in a prime-boost regime.[10] His group has developed vaccines against malaria which were tested in clinical trials.[11] In 2014 he led a clinical trial of an Ebola vaccine (cAd3-ZEBOV) in response to the West African Ebola virus epidemic.[10][12][13] In 2014 Adrian was appointed a director of Vaccitech, an Oxford University spin-off.[14] There he oversaw the development of a COVID-19 vaccine.[15]

Bonjour @maritima , à tous,

Traduction de ton paragraphe intéressant :

"Pendant son séjour au Wellcome Trust Centre for Human Genetics, son groupe de recherche a étudié la susceptibilité génétique à des infections telles que le paludisme, la tuberculose et le VIH. Il développe actuellement [quand ?] des vaccins qui produisent une immunité cellulaire (cellules T) à l'aide d'adénovirus et de vecteurs viraux Modified vaccinia Ankara (MVA) dans un régime prime-boost [10]. Son groupe a développé des vaccins contre le paludisme qui ont été testés dans des essais cliniques. En 2014, il a dirigé un essai clinique d'un vaccin contre le virus Ebola (cAd3-ZEBOV) en réponse à l'épidémie de ce virus en Afrique de l'Ouest[10][12][13] En 2014, Adrian a été nommé directeur de Vaccitech, une spin-off de l'Université d'Oxford[14], où il a supervisé le développement d'un vaccin COVID-19[15].

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)"
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