Vaccin contre la Covid-19 : une 3ème dose, pour ou contre ?

@nicolas2 "j'attends sereinement la 4ème dose" affirmez vous, mais prenez déjà rendez-vous pour la cinquième, justement Mme K.Harris et Mr B.Gates n'ont pas été protégé.e.s par leur quatrième, n'héistez pas, une cinquième et une sixième surement.

N'abandonnez pas, perséverez !

@Alain08

encore une interprétation fallacieuse, la vaccination se révèle très efficace pour éviter les formes graves lors d’infection par les variants Omicrons . .

Avec le variant Omicron, les données suggèrent qu’on est mieux protégé après une vaccination qu’après une infection. Très souvent, on est mieux protégé avec une infection mais là avec ce variant la vaccination serait plus efficace.

@Alain08 pour ton info

chaque année je me fais vacciner contre la grippe, pas toi ?

Cf. 15h54 "Avec le variant Omicron, les données suggèrent qu’on est mieux protégé après une vaccination qu’après une infection. Très souvent, on est mieux protégé avec une infection mais là avec ce variant la vaccination serait plus efficace " .............. ce genre de supposition est heureusement au conditionnel, sinon ça ressemblerait à une blague 😁

Bonne nuit

Et bonjour à tous et à toutes !

[ Erreur de frappe]

@nicolas2 Vous me répondez "chaque année je me fais vacciner contre la grippe, pas toi ?" alors que je vous interpelle sur l'utilité d'une quatr!ème injection, d'une cinquième, d'une sixième...

N'avez vous pas compris de K.Harris et B.Gates, pourtant quatre fois injecté.e.s ne sont pas protégé.e.s ? Pourquoi attendez-vous ces nouvelles doses alors que vous voyez que même des personnes au mieux informées et vivant dans les meilleurs conditions d'hygiène, sans aucun doute, ne sont pas protégées par ces doses ?

Il y a quelque chose de non logique dans votre attente. Un manque de curiosité, une absence d'autodéfense.

@chatdoc Comment pouvez vous répondre ailleurs, comme si vous n'aviez pas compris le problème que j'expose : "la vaccination se révèle très efficace pour éviter les formes graves lors d’infection par les variants Omicrons" m'avez vous répondu... de fait dix pays déplorent à eux seuls les 2/3 des victimes ce qui signifie que 190 pays n'en ont connu qu'UN TIERS, vous ne voyez pas la disproportion, n'avez vous pas un seul mot à ce sujet ?

Les autruches ne mettent pas leur tête dans le sable pour ne pas voir un danger, c'est une légende, mais vous y faites vraiment penser.

Lisez bien l’article du Telegraph auquel vous vous référez, avant d’interpréter des statistiques il faut en connaître la fiabilité, pour la Xeme fois : déclaration des décès, nombre de tests Covid effectués, et cause du décès précise lors de l’enregistrement. Ces points ont été déjà évoqués pour le « paradoxe Africain «  et l’Inde, en particulier l’Uter Pradesh.

Ci- dessous, une traduction d’une grande partie de l’article auquel vous vous référez et mis sur un autre forum par vous :

Selon de nouveaux chiffres de l'Organisation mondiale de la santé, le taux de mortalité de la Suède pendant la pandémie de Covid est parmi les plus bas d'Europe, malgré le refus du pays d'imposer des mesures de confinement strictes.

L'agence sanitaire des Nations unies a publié des estimations de la surmortalité - c'est-à-dire des personnes décédées directement et indirectement à cause du Covid - qui montrent que la pandémie a fait un " bilan stupéfiant " dans le monde entier, avec 14,9 millions de décès, soit trois fois plus que le nombre de décès officiellement déclaré.

Selon les nouvelles données, la Grande-Bretagne avait un taux de surmortalité inférieur à celui de l'Espagne, de l'Allemagne et de l'Italie.

Selon les experts, cette différence montre que des mesures de confinement strictes ne suffisent pas à déterminer le succès de la lutte contre le Covid-19.

L'analyse de l'OMS comprend les décès directement liés au Covid, mais aussi les décès indirects, notamment les personnes qui n'ont pas pu accéder aux soins pour d'autres pathologies alors que les services étaient débordés ou suspendus.

Elle tient également compte des décès évités pendant la pandémie, par exemple en raison de la diminution du risque d'accidents de la circulation pendant les périodes de fermeture.

La Suède, qui a été critiquée au début de la pandémie pour avoir résisté à un confinement obligatoire, a enregistré moins de décès par habitant que la plupart des pays européens.

En 2020 et 2021, le pays a enregistré un taux de mortalité excédentaire moyen de 56 pour 100 000 habitants, contre 109 au Royaume-Uni, 111 en Espagne, 116 en Allemagne et 133 en Italie.

Le faible taux d'obésité a joué un rôle

Bien que la Suède ait obtenu de moins bons résultats que ses voisins nordiques, des taux d'obésité plus faibles - un facteur de risque clé pour les maladies graves à coronavirus - et un système de santé mieux doté ont contribué à limiter les décès dans le pays.

"La leçon à tirer de la Suède est qu'il faut investir dans la santé de la population et réduire les inégalités", a déclaré au Telegraph le professeur Devi Sridhar, président du département de santé publique mondiale de l'université d'Édimbourg.

Elle a déclaré que, bien que la réponse initiale du Royaume-Uni ait été faible, le pays "s'est nettement mieux comporté après le déploiement du vaccin que d'autres endroits", ce qui a contribué à un taux de mortalité excédentaire plus faible dans l'ensemble.

Le Dr Michael Head, chercheur principal en santé mondiale à l'université de Southampton, a ajouté : "Il y a eu trop de décès évitables ici au Royaume-Uni pendant la pandémie. Cependant, le déploiement précoce des vaccins, y compris les doses de rappel, aura également permis d'éviter de nombreux décès.

"D'ici à la fin de la pandémie, il est probable que le Royaume-Uni se situera en milieu de tableau sur les différents indicateurs qui mesurent les performances en cas de pandémie, comme la surmortalité", a-t-il déclaré au Telegraph.

Pendant ce temps, certains pays - dont l'Australie, la Nouvelle-Zélande et le Japon - ont en fait signalé des taux de surmortalité négatifs, ce qui suggère qu'il y a eu moins de décès que prévu en 2020 et 2021.

La disparité mondiale entre les chiffres officiels et les décès excédentaires n'est pas une surprise. Même avant la pandémie, environ six décès sur dix dans le monde n'étaient pas signalés.

Selon l'OMS, les pays à revenu intermédiaire - où les tests Covid et les enregistrements des décès sont inégaux - représentent 81 % des décès en excès au cours des deux premières années de la pandémie, contre seulement 15 % dans les pays à revenu élevé.

Le Dr William Msemburi, fonctionnaire de l'OMS, a ajouté que la grande majorité des décès - environ 68 % - étaient concentrés dans seulement 10 pays, dont les États-Unis, la Russie et l'Inde.  

@Alain08