L’alimentation et les régimes pour guérir ?
Publié le 9 janv. 2019 • Mis à jour le 4 déc. 2020 • Par Louise Bollecker
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587 commentaires
@gégé57 bonjour,
Je crois que nous avons fait le tour de la question.
Le sujet de cette discussion n'est pas de critiquer les médicaments, mais de donner des clés pour mieux s'alimenter au quotidien.
Merci de respecter ce thème et merci pour votre compréhension,
Louise
Bonjour à tous,
cet article sur la mort de Steeve Jobs m'avait interpelée :
https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/quand-steve-jobs-refusait-la-technologie-pour-se-soigner_1938554.html
"Les résultats, publiés dans le Journal of the National Cancer Institute, montrent que les patients qui recourent exclusivement aux thérapeutiques alternatives ont jusqu'à cinq fois plus de risques de mourir dans les cinq ans après le diagnostic que les patients qui se soumettent aux traitements classiques."
Selon moi la médecine alternative et l'alimentation sont des bonus, des aides à la fois psychologiques et physiques mais ne peuvent pas remplacer les médicaments et les opérations. Je parle surtout du cancer car une de mes amies a fait le choix de se soigner par les plantes et est malheureusement décédée.
Par contre, c'est fascinant de découvrir tous les mieux-être qu'on peut avoir quand on sait mieux s'alimenter et qu'on limite les aliments industriels.
Votre article@gégé57 est un article traduit de l'American diabetes association( Diabetes Care) et date de 2014 quant aux résultats communiqués : cette étude sur des cohortes a donc été faite antérieurement. Pourquoi ne le précisez-vous pas? En matière scientifique les dates sont importantes !
Oui.....la recherche avance quand on veut bien en regarder objectivement les avancées.
Je viens seulement de lire votre message de 9h38 @Louise-B : j'en partage le contenu et seul le souci d'exactitude m'a fait poster à 9h54. Bonne journée!
@maritima et concernant le rapport de la CPAM, avez vous un avis négatif &galement ?
RAPPORT DE LA CPAM :
Caractéristiques et trajet de soins des insuffisants cardiaques du Régime général. Points de repère n° 38, août 2012
En 2008, on dénombre, au sein de la population couverte par le Régime général, environ 370 000 personnes exonérées du ticket modérateur au titre de leur insuffisance cardiaque ou hospitalisées dans l'année avec ce diagnostic, soit 0,7 % de la population couverte par le Régime général et 11% des plus de 85 ans.
Âgées de 77 ans en moyenne, elles sont souvent concernées par plusieurs affections de longue durée (ALD). Leur taux de décès en 2008 s'élève à 16,6 %. Leur suivi médical est régulièrement réalisé par les médecins généralistes, mais peu par les cardiologues : près de 40 % n'ont pas vu de cardiologue dans l'année.
Moins de 20 % des patients sont traités par une trithérapie associant un inhibiteur de l'enzyme de conversion, un bêtabloquant et un diurétique, alors que ce traitement est recommandé dans les cas d'insuffisance cardiaque systolique, qui représentent environ 60 % du total des insuffisances cardiaques. À l'inverse un quart des patients consomme des anti-inflammatoires non stéroïdiens, déconseillés dans le traitement de cette pathologie.
La loi de santé publique de 2004 avait inscrit dans ses objectifs la diminution du taux des décompensations cardiaques. Ces dernières constituent une complication grave de l'insuffisance cardiaque, marquant une détérioration de l'état de santé et entraînant de nombreuses hospitalisations. La fréquence des hospitalisations pour ce motif n'a pas diminué à structure démographique constante.
Les hospitalisations représentent, tous types de séjours confondus et hors honoraires du secteur privé, plus d'un milliard d'euros versé par le Régime général en 2007, soit 63 % des dépenses de santé remboursées pour les patients en ALD pour insuffisance cardiaque.
j'en ai beaucoup d'autres du même style dans mon dossier
bonne journée et bonne santé !
