La dépendance aux médicaments

bonjour,

 je suis d'accord avec vous on appelle cela "dépendances médicamenteuses" et cela n'a rien à voir avec une dépendance au drogues.

donc on devrait pouvoir avoir cette rubrique.

cordialement, James42.

Bonjour Francine,

Les médecins seraient complices de "la dépendance à la drogue" en nous prescrivant des antalgiques. 

Un antalgique n'est pas une drogue et il est impossible physiologiquement d'absorber la boîte entière dans la journée. On serait tous entre 4 planches.

Les antalgiques sont prescrits par les médecins, les hôpitaux....Ils ne pourraient se rendre complices de  la prise de "drogue" dans le sens de "stupéfiant".

Un antalgique combat la douleur.

Merci Julien de considérer la différence.

Serena

Bonjour, diabétique de type2 découvert en 1982, je suis malheureusement obligé de prendre mes comprimés tous les jours, c'est de la dépendance. De plus j'ai subi  une intervention (prothèse du genou) en novembre 2013 suivi d'une infection post-opératoire, je suis sous antalgique depuis  et je souffre encore  si bien que je ne peux pas me passer de ces antidouleurs! y a t-il une alternative?

Bonjour Jean-Claude,

Non, on parle de dépendance quand on se trouve obligé de prendre un produit qui n'est d'aucune utilité pour notre corps comme l'alcool, le tabac, les médicaments dont on n'a plus besoin.

Quand on a besoin de se soigner, la question devient secondaire. Chaque chose en son temps.

Francine

Moi, je me suis habitué aux somnifères et je ne peux dormir sans.

Suis je une droguée des somnifères car accoutumance de plus de 3 ans (zolpidem après stilnox)et je ne peux m'en passer

Quand j'étais plus jeune (de 25 à 45 ans) j'avais des migraines affreuses ! Je devais travailler avec des élèves en formation, et pour tenir le coup je prenais beaucoup d'antalgiques, d'aspirine, d'optalidon etc... A un moment donné, malgré de grosses prises, ces médicaments ne me faisaient même plus d'effet. J'ai dû faire un genre de "désintoxication" de ces produits en milieu hospitalier. (qq jours). Après sont arrivés les anti-migraineux genre triptans et j'ai eu beaucoup moins de migraines. Heureusement ! Le mieux aurait été de me coucher dans le noir sans bouger, mais cela n'était pas possible avec le travail...

Merci à Julien de bien vouloir distinguer la dépendance aux drogues (dont la prise est dès le départ illégale, non?) à celle qui nous est imposée par notre état de santé (médicamenteuse): pour moi aussi cela ferait une différence ( notamment dans la façon que j'ai d'assumer tout ce que je DOIS prendre  et qui m'est médicalement prescrit). PRENEZ TOUS SOIN DE VOUS!

alors moi je viens témoignée car étant bipolaire j ai essayé toute une panoplie de médicaments jusqu au  jour ou il a fallut les baisser

ça été trés dure mais j y suis arrivée uassi maintenant je ne prends plus que le stricte nécessaire mais comme il est dure de souffrir d un mal étre non exprimable comme la dépression et autres ..

pourtant je souffre maintenant aussi de douleurs physiques mais j arrive a etre disons plus cool face  atout ces médicaments

comme toi violetterose.

j'étais dépendante de mon médicament pour m'endormir j'ai réussis à diminuer de plus en plus.

maintenant 1/4 me suffit et parfois j'arrive à m'en passer plusieurs jours de suite.

mais j'en prends quand meme.

amicalement.

bien sur que nous devrions avoir la possibilité d avoir "dépendance au médicaments" comme pathologie 

je suis pour également et perso moi aussi ne pourrais pas mettre :dépendance aux drogues

il y a la ,une différence surtout ds notre profil

dans la vie ,que l on disent que nos médicaments sont (nos drogues)  ok mais de la a le mettre ds notre profil !!!!