Que penser du coronavirus ?

Une approche de Médecine de Population implique une vaccination de la population éligible. . pour de multiples raisons.

Le gouvernement français n’est vraiment pas le seul à avoir fortement conseillé la vaccination, et les pays « 0 Covid-19 «  très vaccinés montrent bien l’intérêt de celle-ci. . Mais il y aura toujours ceux qui ne veulent pas comprendre !!

Exact @Philou75FR ( 1324 pages !!! ) ....et si c'était comme le nombre Pi ? on en est à 62 800 milliards de décimales après la virgule ( vive l'ordi ! ) ET .... si vous vous y intéressez vous aurez encore bien des calculs à vous " farcir " 😂 avant de comprendre qu'il n'y a pas de fin !!!! ....... " Cours Forrest , cours ! " 🎞

@chatdoc Que les autorités du pays aient pris les mêmes décisions qu'un certain nombre d'autres pays n'affirme certainement pas la justesse de ces décisions, il y a justement des dizaines d'autre pays qui n'ont pas imposé ces injections et qui ont un bilan largement moins mauvais qu'ici, c'est un petit argument qui montre une démarche suiviste et non pas une responsabilité et scientifique et politique.

Et comme vous vivez dans l'un des pays au plus mauvais bilan, vous pourriez vous poser des questions et ne pas adopter immédiatement les décisions et arguments des décideurs responsables de ce bilan tout sauf avantageux.

@Alain08

Pour quel raison des pays comme le Brésil, l’Inde, la Chine, l’Afrique du Sud conseillent vivement la vaccination ?

Le problème majeur de certains pays à plus été la faisabilité de la vaccination et non le non recours à la vaccination !!

Plus de 12 milliards de vaccins ont été injectés, excusez du peu.

Vous parlez beaucoup et agissez peu, « il y a les diseux et les faiseux » dit-on dans certaines régions.

La vaccination contre le SRAS-CoV-2 présente des avantages substantiels chez les personnes souffrant d'insuffisance cardiaque, mais un grand nombre de ces patients à haut risque hésitent à se faire vacciner, selon une nouvelle étude.

Les patients non vaccinés étaient trois fois plus susceptibles de mourir d'une maladie liée au COVID que ceux qui avaient été entièrement vaccinés (rapport de risque [RR], ou stimulés par le vaccin.

Il n'y avait pas de différence significative de mortalité entre les patients partiellement vaccinés et les patients non vaccinés.

Les patients non vaccinés ou partiellement vaccinés étaient également significativement plus susceptibles d'être hospitalisés (rapport des taux d'incidence et de nécessiter une admission en soins intensifs même après ajustement des facteurs pertinents tels que l'âge, le sexe, la race/l'origine ethnique, l'obésité, le diabète et les maladies pulmonaires.

"Malgré des approches statistiques conservatrices, les rapports de risque étaient frappants", a déclaré  l'auteur principal, Anuradha Lala, MD.

Bien que l'étude n'ait pas eu la puissance nécessaire pour détecter les différences entre les patients qui ont été stimulés( id. ceux qui ont reçu une 3ème dose) et ceux qui ont été entièrement vaccinés, les vaccins COVID-19 semblent avoir été les plus bénéfiques pour les personnes stimulées, suivies par les personnes entièrement vaccinées, partiellement vaccinées et non vaccinées.

"Il s'agit de données d'observation, qui soulignent les profonds effets protecteurs de la vaccination contre le COVID-19 chez les patients souffrant d'insuffisance cardiaque", a-t-elle déclaré.

Commentant l'étude : il s'agissait d'une étude monocentrique portant sur des patients inscrits dans le système de dossiers Epic, et qu'elle avait été menée pendant une période active de la pandémie à New York.

"Je pense que cela devrait réconforter la population souffrant d'insuffisance cardiaque à se faire vacciner car il y a définitivement un impact sur la façon dont vous vous en sortirez sans surmortalité", a-t-elle déclaré.

Les résultats, publiés le 9 juin dans le Journal of Cardiac Failure, ont été tirés de 7094 patients avec un diagnostic d'insuffisance cardiaque (IC) qui ont eu des visites avec le Mount Sinai Health System entre le 1er janvier 2021 et le 24 janvier 2022. Ils étaient âgés en moyenne de 73 ans, et 48 % étaient des femmes.

D'après l'examen des dossiers, 31 % des patients étaient complètement vaccinés avec deux doses et 14,8 % avaient reçu un rappel, conformément aux directives des Centers for Disease Control and Prevention de l'époque.

Par ailleurs, 9,1 % des patients n'avaient reçu qu'une seule dose de vaccin, tandis que 45 % n'étaient toujours pas vaccinés en janvier 2022.

Sur les 904 patients qui sont décédés au cours d'un suivi moyen de 9 mois, 73,4 % n'étaient pas vaccinés ou ne l'étaient que partiellement.

Conclusion d'un article scientifique ;

Est-ce que les résultats permettent de répondre aux questions de recherche ou confirmer ses hypothèses?

Comment les résultats se comparent-ils avec ceux de la littérature?

Si certains résultats vont à l’encontre des hypothèses initiales de recherche, comment peut-on expliquer ces résultats?

À la lumière des résultats, quelles sont les forces, faiblesses et limitations de la recherche ou la méthode proposée?

Quelles sont les principales implications des résultats?

@Alain08 :

exposer les limites est une qualité d'un article scientifique, mais pour comprendre il faut lire le travail en entier, avec une attention toute particulière pour les méthodes statistiques !!

Pour une fois, d'accord avec toi @nicolas2 😉

@Philou75FR Pas à risque et moins de 60 ans... j'en conclus la même chose que toi, malgré les kilomètres de matraquage. Bonne soirée 🌺

Un exemple, l’apnée du sommeil, un certain nombre, non négligeable, des personnes qui en souffrent ont moins de 60 ans et certains ne se savent même pas atteint !

Il s’agit de Santé publique et donc des répercussions sur la population en général. On retrouve un peu le problème de la Liberté ´ déjà évoqué sur ce forum. Si l’immense majorité des épidémiologistes, des infectiologues, des réanimateurs et de nombreux autres spécialistes est en faveur de la vaccination des plus de 18 ans, ce n’est pas sans raisons valables. Et, ce choix est celui de tous les pays avec un système de santé qualitatif.

Trouver des critères pour échapper soi-même à la vaccination est, en fait’ ne pas reconnaître une « trouille «  des vaccins ARNm,. Mais, heureusement, le nombre d’injections effectuées a permis de limiter fortement les effets délétères de la pandémie.

Et, comme de très nombreux articles scientifiques confirment l’intérêt de la vaccination, ses opposants parlent de matraquage car les arguments s’accumulent !

@chatdoc Vous êtes toujours aussi désagréable : "Vous parlez beaucoup et agissez peu, ", vos petites attaques n'ont pas de valeur, elles ne vous grandissent pas.

Votre assurance à prétendre que les "vaccinations" protègent les populations des pays qui les ont pratiquées, ou imposées faut-il le rappeller, ne tient pas, les chiffres le disent, même si les responsables de la politique sanitaire font tout pour le cacher, sur les 10 pays dans lesquels l'épidémie de COVID19 repart le plus fort, SEPT ont un taux de vaccination supérieur à 80% et font parti des pays les plus vaccinés au monde. Si ces vaccins avaient une quelconque efficacité, les pays les pllus vaccinés devraient être les impactés, leur population devraient être protégée, les chiffres ne le montrent absolument pas. Une représentation graphique éloquente : https://pbs.twimg.com/media/FVDolMmWIAAcLYM?format=jpg&name=small

Si l'affirmation "tous vaccinés, tous protégés" était une réalité, les courbes montreraient une augmentation des décès dans les pays les plus "vaccinés" moins forte que dans les autres pays. Et ce n'est visiblement pas le cas.