Bientôt un vaccin contre la Covid-19 ? Qu'en pensez-vous ?

@Claudia.L Bonjour, je viens vous signaler une anomalie concernant le message d'introduction de Candice à ce forum, il a été modifié depuis une dizaine de jours. On peut le voir ci-dessus.

En effet ce message est intégralement celui de Chatdoc du 7/09/2022 à 22:39 - page 594.

Peut-être faudrait-il voir ce qui s'est passé pour retrouver le véritable message de Candice ? Elle m'a dit que c'est vous qui gérez ce forum.

Bonne soirée 🌺

Le Pr Flahaut a donné son avis sur les stratégies passées et futures sur la lutte contre le Covid : un point de vue qui nous pousse à la réflexion.

COVID-19 : entre le « vivre avec » et le « zéro covid », une troisième voie

Antoine Flahault, professeur de santé publique et directeur de l’Institut de santé globale (Université de Genève), dresse un bilan des stratégies adoptées face à la pandémie de Covid-19 et trace des perspectives d’avenir.

 Pendant les deux premières vagues épidémiques, les approches les plus performantes ont été sans conteste celles dites de « suppression », adoptées au Danemark, en Norvège, au Japon, en Corée du Sud, et celles dites « d’élimination » (Australie, Nouvelle Zélande, Chine, Taïwan, Singapour). 
Pour mémoire, les premières visent à contenir la circulation virale au niveau le plus bas possible, les secondes à l’amener à un niveau proche de zéro. Par la suite, les vaccins ont changé la donne : dans les pays développés, des campagnes dynamiques ont permis de desserrer fortement les contraintes imposées aux populations. 
Actuellement la question se pose de savoir s’il faut opter entre une stratégie « zéro covid », difficilement acceptable dans les pays démocratiques, ou une stratégie de « vivre avec » ayant pour but de maintenir le plus bas possible les hospitalisations et les décès.C’est cette dernière qui est mise en œuvre en France. Mais la conséquence en est que sur les huit premiers mois de 2022, chacune des trois vagues épidémiques s’est traduite par des décès supplémentaires.

Aménagements architecturaux et recommandations à la population
Pour Antoine Flahault, il existe une troisième voie, qui n’empiète pas sur les libertés publiques et est susceptible de diminuer le nombre de décès, d’hospitalisations et vraisemblablement de « covid longs », qui pour lui, menacent les progrès en espérance de vie de ces dernières décennies en favorisant plusieurs maladies chroniques (pathologies cardiaques, diabète, etc.).

Cette troisième voie part du constat que le SARS-CoV-2 se transmet essentiellement par voie aérienne (aérosols) dans des lieux fermés, ce que beaucoup d’hygiénistes hospitaliers auraient du mal à admettre.

En conséquence, Antoine Flahault préconise des stratégies « volontaristes » associant l’amélioration de la qualité de l’air intérieur, des recommandations de port du masque dans des situations repérées grâce à des indicateurs sanitaires partagés, la promotion des tests en cas de symptômes, l’isolement des cas positifs, le maintien d’une forte couverture vaccinale dans la population, y compris chez les enfants, et la mise à disposition des traitements efficaces pour les patients vulnérables.

Tout cela suppose des moyens, notamment pour adapter les locaux publics, ce qui n’encourage pas les décideurs politiques, « qui ne savent pas où pourraient les entraîner les travaux qu’il conviendrait de conduire pour améliorer la qualité de l’air intérieur. » Cela implique aussi de disposer de « bons instruments de mesure de la perception des risques par la population », autrement dit de faire appel aux sciences du comportement, de la communication et à la sociologie du risque, disciplines habituellement peu sollicitées

.Enfin, reste que « la seule quasi-certitude que nous avons, c’est que de nouvelles vagues devraient déferler en Europe, dont on ne sait ni la capacité de transmissibilité et d’échappement vaccinal des souches responsables, ni leur virulence. » L’optimisme n’est donc pas de mise et il convient de rester sur nos gardes plus que jamais.

D'accord avec vous @MORITZ

Ici trop de matraquage comme le 14/09 à 12h38 et tous les messages similaires, surtout que c'est un " un coup d’épée dans l’eau" qui fait "chou blanc" au niveau de la population, comme l'indique l'article:

https://www.ladepeche.fr/2022/09/08/vaccins-contre-le-covid-19-malgre-les-nouvelles-recommandations-de-la-has-la-campagne-de-rappel-reste-peu-suivie-10528606.php

Vaccins contre le Covid-19 : malgré les nouvelles recommandations de la HAS, la campagne de rappel reste peu suivie

Voilà bientôt deux mois que la Haute Autorité de Santé a modifié ses recommandations en matière de politique vaccinale, notamment en ce qui concerne la seconde campagne de rappel vaccinal. Celle-ci reste peu suivie...

Un vaccin (ou plutôt un anticorps) pour protéger les nourrissons contre la bronchiolite !!

Cette voie thérapeutique est aussi explorée pour la prévention de la Covid.

Une nouvelle avancée médicale grâce à l’immunologie, avec la participation de Sanofi :

 »Les laboratoires étaient lancés dans une course de vitesse, une trentaine de projets similaires étant en cours dans le monde entier. Le vaccin injectable de Sanofi et AstraZeneca arrive donc en tête. Un enjeu énorme car chaque année, 500 000 bébés sont infectés en France par le virus respiratoire syncytial (VRS) responsable de la bronchiolite. L’épidémie l’an dernier a été sans précédent, et les hôpitaux débordés. Au niveau mondial, on déplore 60 000 décès de nourrissons par an.  « 

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/bronchiolite-le-premier-vaccin-au-monde-injectable-chez-tous-les-bebes-de-moins-dun-an-autorise_5364172.html

une étude intéressante publiée dans le Lancet sur la gestion de la pandémie . . Un résumé plus précis sur le forum : que penser du coronavirus ?

https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-le-lancet-dresse-un-requisitoire-severe-contre-la-gestion-de-la-pandemie-20220915

Covid: le Lancet dresse un réquisitoire sévère contre la gestion de la pandémie

ANALYSE - Le bilan des différents experts n’est pas flatteur, même s’il y a eu également de belles choses au cours de ces trois années.

La suite

La gestion de la pandémie, « un échec massif mondial », selon des experts. (II) :

Le rapport indique que, trop souvent, les gouvernements ont adopté des mesures moins strictes ou ont relâché les restrictions simplement parce qu’ils ont imité d’autres pays pour éviter la grogne populaire.
Parfois aussi, ils ont imposé des mesures sans tenir compte des effets sur d'autres pays ou régions ou provenant de ces derniers.Les gouvernements auraient dû fournir davantage de soutien pour que le public puisse adhérer aux mesures sanitaires, ce qui inclut :

le déploiement de tests de haute qualité, facilement accessibles et abordables;

des sites où s'isoler pour ceux qui ne peuvent pas le faire à la maison;

un soutien financier pour les personnes en isolement;

l'imposition de normes de qualité de l’air au-delà des normes de base encourageant l’utilisation de meilleurs systèmes de filtration et de ventilation;

une vaccination gratuite et facilement accessible.

C’est pourquoi le rapport suggère, pour prévenir le risque de survenue d’un nouveau variant, que les pays adoptent une “stratégie vaccinale-plus” qui comprend :

• la vaccination de masse;
• une meilleure disponibilité de tests et de traitements abordables;
• un meilleur accompagnement des personnes atteintes de la « COVID longue « 
• l'encouragement du port du masque;
• un soutien pour les personnes qui doivent s’isoler;
• un appui aux pays moins nantis pour l’achat de vaccins et de traitements.

Ces stratégies doivent être mises en place de façon soutenue, pas seulement lorsque les signes pointent vers une nouvelle vague.

Une commission à étudier comment promouvoir l’acceptation de la vaccination à partir des faits observés aux Etats-Unis . . 

Ses conclusions :

Les vaccins COVID-19 constituent l'intervention la plus plausible pour contrôler durablement la pandémie. Cependant, les enquêtes suggèrent qu'un nombre important de personnes pourraient ne pas chercher à se faire vacciner. De plus, en raison de l'hésitation et du refus de se faire vacciner liés à la politique, les États-Unis risquent fort d'avoir des régions avec une couverture vaccinale considérablement faible, comme les États du sud et des montagnes, où une transmission soutenue du COVID-19 est en cours, et qui pourraient également favoriser l'émergence continue de variants préoccupants. Les programmes de désinformation anti-vaccinale alimentent le refus de se faire vacciner. Par conséquent, une campagne nationale de communication et d'intervention comportementale est essentielle pour assurer une couverture vaccinale suffisamment élevée pour contrôler efficacement la pandémie de COVID-19 et permettre ainsi un retour à une activité sociale et économique normale aux Etats-Unis. Des efforts gouvernementaux inter-agences doivent être simultanément mis en œuvre pour examiner les options permettant de désamorcer davantage la désinformation anti-vaccins.

https://www.thelancet.com/article/S0140-6736(21)02507-1/fulltext

The Lancet COVID-19 Commission

Promoting COVID-19 vaccine acceptance: recommendations from the Lancet Commission on Vaccine Refusal, Acceptance, and Demand in the USA

Since the first case of COVID-19 was identified in the USA in January, 2020, over46 million people in the country have tested positive for SARS-CoV-2 infection. SeveralCOVID-19 vaccines have received emergency use authorisations from the US Food andDrug Administration, with the Pfizer–BioNTech vaccine receiving full approval on Aug23, 2021. When paired with masking, physical distancing, and ventilation, COVID-19vaccines are the best intervention to sustainably control the pandemic. However, surveyshave consistently found that a sizeable minority of US residents do not plan to geta COVID-19 vaccine.

Vaccin Valneva

"Cela confirme clairement que Valneva ne produira pas et ne vendra pas de grandes quantités de son vaccin contre le COVID. C'est déjà bien connu, mais l'annonce de la résiliation de l'accord le rend doublement clair".

Heureusement pour Valneva, d'autres projets devraient aboutir bientôt !

@bibimet75

https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/valneva-met-fin-a-sa-collaboration-avec-idt-biologika-sur-le-covid-19-le-titre-chute-2034847.php

La vaccination en Afrique suscite des échanges, quelques éléments pour la discussion :

les données viennent de l’UNICEF, de l’OMS et du CDC Africa. A noter que le second parle de 42 pays quand le troisième en cite 54. L’OMS considère par exemple que le Maroc, la Lybie et l’Egypte font partie du moyen-orient.

Historique  :Fin 2020 - Début 2021 :

Quand les vaccins ont été disponibles, ils étaient en stock limité et ce fut la foire d’empoigne pour les commander. 

Logiquement(?), les pays les plus riches ont mis la main sur les stocks en premier (et le Royaume-Uni a eu la primeur puisqu’il avait eu l’intelligence de cofinancer le développement de l’un des tous premiers vaccins).

Les pays en voie de développement n’ont pu qu’attendre que les plus riches soient servis et daignent leur laisser des doses pour moins cher, ou leur offrent des doses. 

➜ C’est l’objectif de COVAX, qui centralise les dons et les distribue ensuite. Le VATT, quant à lui, est un trust africain qui centralise et garantit l’achat de doses pour le continent. Chaque état peut enfin bien entendu négocier des achats directement ou se faire offrir des doses sans passer par un intermédiaire (accords dit bilatéraux).

Mi-2021, on pensait que cela se passerait ainsi. 

Les livraisons de COVAX augmentaient chaque mois. Et fin 2021, le système fonctionnait tranquillement.

Depuis, les choses se sont gâtées . . 

🩺 Sont arrivées, dans le désordre :

❶ Les données sur la durée de l’immunité , du fait de la survenue très rapide des variants.❷ Et surtout Omicron, qui rendait la 3e dose quasi indispensable❸ Les PIMS des enfants , et donc leurs vaccinations 

🩺 L’OMS a senti le vent tourner sur les dons et a recommandé de fournir des vaccins aux pays en voie de développement, plutôt que de vacciner les enfants ou de faire une 4e dose aux personnes à risques 

Notons qu’à l’époque nous n’avions pas de données sur le bénéfice d’une 4e dose vs Omicron (aujourd’hui on les a, et le bénéfice est très clair avec un risque de mourir divisé par 4 après 50 ans).

🧠 La théorie :

🩺 C’est en effet un raisonnement qui semble frappé du bon sens. Cependant, pour être valide, il suppose plusieurs pré-requis :

1️⃣ L’argent prévu par les pays riches pour commander leurs doses doit être redirigé vers l’achat et le don de doses pour les pays pauvres. Cela implique :

➜ Une volonté politique➜ Une adhésion de la population

2️⃣ Les vaccins offerts doivent être acceptés :

➜ Par les dirigeants➜ Par la population

3️⃣ Une fois acceptés, les vaccins offerts doivent être :

➜ Réceptionnés, stockés, acheminés et administrés ➜ En respectant la chaine du froid et les protocoles idoines➜ Dans les délais imposés par les délais de péremption.

🧠 La pratique :

« Le bon sens n’est qu’un dépôt de préjugés accumulés avant l’âge de 18 ans ». A.  Einstein 

1️⃣ Les dons [1] 

✔︎ La « Team Europe » (c’est le vrai nom !!) est le premier donateur de COVAX. 

✔︎ La France est le 4e donateur mondial et n’est devancée que par les USA, la Chine et l’Allemagne. Elle a par exemple donné près de deux fois plus de doses que le Royaume-Uni (même taille, même PIB).

✔︎ Plus de la moitié des doses offertes et livrées par la France sont parties en Afrique.

Les vaccins offerts par la Chine sont très loin d’être aussi efficaces que les vaccins à ARNm par exemple, et les dons chinois rapportés à la population ou au PIB chinois sont en réalité extrêmement faibles. Des études récentes semblent indiquer que 3 doses  pour la primo-vaccination auraient été préférable.

➜ Leur seconde place est donc toute relative.

⚠️ Les vaccins Janssen (une seule dose et facile à conserver), Pfizer et AstraZeneca (facile à conserver lui aussi) représentent les trois quarts des vaccins utilisés en Afrique (dons + achats). Le quart restant est constitué des deux principaux vaccins chinois (et les vaccins russes comblent le % restant.

➜ On ne peut donc pas parler de « vaccins au rabais ».

2️⃣ La réception :

❶ La plupart des gouvernements ont accueilli très certainement avec plaisir les doses offertes.

➜ Mais certaines réactions ont été parfois surprenantes, comme quand l’Afrique du Sud, décimée par le variant sud-africain, a refusé pas moins d’un million de doses de vaccins AstraZeneca, persuadée qu’il ne serait pas efficace sur la base d’une seule étude portant sur 39 cas au sein d’une population dont l’âge médian était de 31 ans… Et sans aucune donnée sur les formes sévères et les décès [3,4].

➜ D’autres pays rejettent des doses de peur de ne pas avoir les capacités de les administrer avant leur date de péremption. Ils ne veulent pas d’une publicité comme celle dont le Nigeria a « bénéficié » quand il a perdu près d’un million de doses en novembre 2021 [5]. Ainsi près de 100 millions de doses proposées par COVAX ont été refusées par les pays les plus pauvres en décembre 2021, alors que 681 millions de doses étaient stockées dans 90 pays en voie de développement [6].

❷ En Afrique subsaharienne, près de 9 habitants sur 10 ont moins de 45 ans et plus de 4 sur 10 ont carrément moins de 15 ans [7] :

➜ Leur risque de faire une forme grave ou pire est donc extrêmement faible, et les formes paucisymptomatiques voire asymptomatiques sont ultra-majoritaires. Ce qui, couplé au coût du dépistage, explique que le nombre de cas réels soit de l’ordre de 97 fois plus nombreux que le nombre de cas détectés [8].

➜ Il semble donc assez logique que cette écrasante majorité d’enfants et de jeunes adultes n’ai pas du tout vu l’intérêt d’aller se faire vacciner contre une maladie qui à leurs yeux (et généralement à raison) ne représente aucun danger pour eux ou leurs grand-parents qui sont souvent morts depuis longtemps.

3️⃣ La logistique :

❶ Les campagnes sanitaires, et en particulier les campagnes de vaccination, se heurtent aux limites des systèmes sanitaires (et aux contingences climatiques) locaux depuis plus d’un demi siècle.

➜ Imaginer que l’on pouvait envoyer quelques milliard de doses sur 1 ou 2 ans et que des états déjà totalement déficients d’un point de vue sanitaire auraient les moyens matériels et humains de les stocker, puis de les transporter et de les administrer dans des conditions acceptables était illusoire (6).

❷ Notons que contrairement à ce que l’on pouvait penser la péremption des doses n’a pas semblé être un problème majeur, si l’on en croit les chiffres de l’OMS [8] :

➜ Seuls 2.6% des doses livrées à la zone Afrique ont été perdues car périmées. Ce chiffre est probablement un peu surestimé, puisque la zone Afrique de l’OMS exclut par exemple l’Egypte et le Maroc, deux des pays les mieux vaccinés du continent, et aux infrastructures les plus solides.

➜ Certes, cela représente près de 18 millions de doses, mais c’est en fait beaucoup moins que le ratio de doses AstraZeneca mis à la poubelle par la France au printemps 2021…

➜ Les doses non utilisées seraient semble-t-il soit stockées sur des étagères, soit perdues sur le trajet.

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🩺 L’argument du « vaccinons l’Afrique avant de vacciner les jeunes sans comorbidités » est à mettre en perspective avec… L’âge de la population en Afrique subsaharienne [7] :

✔︎ 42% de la population a moins de 15 ans✔︎ 70% de la population a moins de 30 ans✔︎ 87% de la population a moins de 45 ans✔︎ 97% de la population a moins de 65 ans

➜ Donc vacciner les moins de 65 ans eut été un scandale en France, parce que… Il fallait d’abord vacciner les moins de 45 ans en Afrique .

🧠 Conclusions :

🩺 L’Afrique est-elle aussi bien vaccinée que l’Europe? 

✖︎ Bien sûr que non.

🩺 L’Afrique est-elle suffisamment vaccinée?

✖︎ sûrement pas

Est-ce un problème? 

✔︎ Oui, entre autres parce que cela fait d’elle une usine à variants (notamment du fait de la prévalence importante du HIV…)

Les pays développées privent-ils l’Afrique de vaccins? 

✖︎ Il semble que cela ne soit pas le facteur limitant.

Les pays développés peuvent-ils faire plus/mieux? 

✔︎ Oui, bien sûr. Mais comme en 2020 et 2021, la priorité est de :

⚠️ Fournir des équipements (frigos, camions, matériel jetable)⚠️ Former les soignants sur place⚠️ Financer des campagnes de communication efficaces +++⚠️ Lutter contre la désinformation sur place +++

@kanpanstu et @maritima suite à vos échanges

Les vaccins bivalents vont être disponibles :

 »Sur la base des données disponibles et dans un contexte épidémique marqué par la circulation majoritaire du sous-variant BA.5, la HAS a donc décidé d’actualiser la stratégie vaccinale en y intégrant ces trois vaccins bivalents, a-t-elle annoncé ce mardi soir dans un communiqué.

Pour justifier cette décision, elle rappelle qu’« à l’image des vaccins contre la grippe saisonnière, actualisés chaque année pour prendre en compte les virus qui sont les plus susceptibles de circuler pendant l’hiver, les vaccins à ARNm bivalents ne sont pas des nouveaux vaccins mais des vaccins adaptés aux souches circulantes ».

Cette décision s’appuie donc sur le « recul important acquis depuis le début de la crise sanitaire concernant les vaccins à ARNm, et l’expérience engrangée au sujet des vaccins adaptés aux souches circulantes ». »

https://destinationsante.com/covid-19-la-has-recommande-les-vaccins-bivalents.html

La 8e vague de Covid se précise et les contaminations quotidiennes poursuivent leur hausse.

Ce mardi 20 septembre, un cap a été franchi avec plus de 50 000 nouveaux cas en 24 h, une première depuis le 2 août.