Comment vos proches vous soutiennent-ils au quotidien ?

Hello @Candice.S Vu que je suis aidante le quotidien est plus dur pour moi

Moi mon frère qui léve et qui couche ma mère , sinon le reste la toilette, aide à domicile et infirmière pour les soins.Moi je dois me débrouiller tout seul

Bonjour,ah! Voilà une belle question :" Comment mes proches m'aident au quotidien ?"

1- Avant d'avoir rencontré ma compagne

J'étais ouvriers d'usine, surdoué comme on disait a l'époque mais de faible santé, quand j'avais une ouverture, il m'arrivait d'améliorer en ajoutant quelques pièces usinées en plus certaines machines non numériques qui dans leurs état brutes pouvaient parfois blesser dangereusement les utilisateurs don je faisais parti, mais quand c'était fait, il ne fallait surtout pas que la direction le sache car j'aurais été ogmenté et ça pour mon chef qui vivait a cent mètres de chez moi c'était inconcevable ( enfin depuis quand un ouvrier gagnerait plus que son chef?)

Toutefois , j'étais autorisé à être chef de la sécurité, la il n'y avait pas besoins de me payer en plus, j'étais doux pour les soins, et si j'organisais des réunions avec mes dix subalternes trop souvent , c'était un plaisir de m'engueuler ainsi que de geler mon salaire.

Après trois ans de location en ville j'ai décidé de faire construire un pavillon dans un petit village Charentais en face de chez mes parents, qui vivait dans une grande maison mitoyenne en pierre, dont le voisin plus jeune attendait qu'ils crèvent pour acheter le reste de la maison.

Pour moi, ce fut un autre qui envya l'organisme responsable de la répartition des terres, car .il souhaitait empêcher la construction de ma maison pour agrandir son champ, pas de chance, ça n'a pas marché mais ça à retardé d'environ six mois l'obtention du permis de construire.

La maison faite, de rage, il faisait ses feux de broussailles, déposait son fumier et son insilage a côté de chez moi, deux vieux voisins venaient souvent a côté de chez moi pour faire brûler des choses dans un four a pain qui n'avait pas fonctionné depuis la dernière guerre a côté de ma maison,une fumée noire sortait de la dedans et ils se trompaient pas ces vieilles canailles pour la direction du vent, j'étais en colère pour mon crépi blanc, mais que pouvais-je faire?

J'ai contré cela en plantant des sapins tout autour, mais ça n'a pas plu a un autre paysan a côté qui profitait en mai en droguant son blé de faire déborder chez moi, à la maison, avec ses aération, l'odeur était invivable, certains de mes arbres se sont retrouvés rouges, mais tout comme moi, ils ont tenu,avec le temps tout cela s'est calmé.

puis en 2010, environ six mois après la mort de ma mère, je suis tombé très malade, j'étais aidant a titre gratuit pour mon père a qui je cachais ma souffrance, mais j'avais plus en plus de mal à entretenir mon terrain, en 2016 quand mon père est mort mon terrain était plein de ronces, je n'arrivais plus à l'intretenir, seul en plus de ma maladie, je sombrais dans la dépression, de la famille , j'en avais, mais pas un neveu risquait de venir, plus tôt, je mourai, plus tôt, ma maisons était vendue comme celle de mes parents au voisin d'en face qui rêvait d'en faire une dépendance et plus tôt, ces charognards se partageaient l'héritage

-Puis ma femme m'a trouvé, ma vie ayant changé, j'ai pu faire ranger ma maison qui nous sert de maison de campagne, plus personne de ma famille ne prend contact, car ils savent que j'ai fait ce qu'il faut, si je venais a mourir pour que tous mes biens reviennent à celle que j'aime, voilà tout le bien que mes proches ont fait autour de moi

Bonsoir@Candice.S dans mon cas c’est moi qui soutiens un proche qui a des soucis de santé récurrents.

Il me semble important d’être d’abord à l'écoute, sans chercher immédiatement une solution au problème du moment. La personne malade a besoin que sa souffrance soit entendue et... reconnue. Et d’être considérée comme un être digne, une personne avant tout.

Savoir se mobiliser pour un conseil, un coup de mains, un déplacement, il faut arriver à être disponible. L’autre a besoin de savoir qu’il peut compter sur nous.... mais aussi que nous avons nos limites !

Le toucher est essentiel quand nous voulons manifester notre soutien, notre amour. Prendre la main de celui qui souffre semble peu de chose, et pourtant c’est un geste qui lui va droit au cœur, et... c’est parfois l’ultime manière de communiquer.

atteinte d'une maladie chronique, je me soigne seule et je m'accompagne seule, et pourtant j'ai été aidante de mon compagnon (alzhemer), je me débrouille, déjà je suis dans une maison autonomie

☕😊

Au quotidien ils ne me soutiennent en rien. En fait personne ne nous soutient à part les personnes dans le même état que nous ou souffrant de pathologies identiques

Mes enfants ne reconnaissent pas et ne reconnaîtront jamais ma maladie et mon handicap preuves a l'appui, et pourtant diagnostiquée depuis 20 ans. Il y a peu j'ai voulu sortir ma carte de personne à mobilité réduite et mon fils a très mal réagi. il a fallu que je lui dise "non mais ça suffit je suis vraiment handicapée mais sans fauteuil"

Mon compagnon, même s'il compatit et est présent quand il faut, je ne dois pas trop en parler sinon il me fait comprendre que ça suffit. Ne pas se plaindre non plus, ça le "fatigue" et tout faire (courses, ménage, loisirs...) comme une personne en bonne santé.

J'ai très peu d'amies mais elles sont dans l'écoute et la bienveillance

Pour finir je subis un harcèlement moral d'une collègue et de ma cadre. Il me reste 10 mois à travailler mais je craque et je vais finir par aller voir mon médecin !

Même si avec le temps j'ai compris qu'il ne fallait compter que sur moi et me "prioriser", je souffre énormément de leur attitude.

bonjour,

J'ai de la chance d'avoir un compagnon qui m'apaise naturellement depuis le début de notre relation, j'apprend de son optimisme et ça va mieux, mais avant j'avais déjà fait un bon parcours pour aller mieux, je ne me laisse pas aller, je fais tout pour aller mieux, ce qui m'inquiète c'est plus tard, quand je vais vieillir et qu'il sera de plus en plus obligé de s'occuper de moi, mon père a eu parkinson et Alzheimer, je fais les bases du régime Seignalet qui met sous silence ce genre de maladie, mais financièrement on achète pas les légumes bio pour l'instant, et je ne mange pas tout à la vapeur, mais si il faut je le ferais

Bonsoir, c'est une bonne et grande question. Pour ma part à l'annonce du diagnostique tout le monde m'a soutenu, dit que ça allait aller mais maintenant le quotidien reprend et voila chacun oublie. Ma maladie chronique n'ai pas apparente alors...je souffre souvent en silence et je fais au mieux pour être bien face à tous. Pas facile tous les jours, le moral en prend un coup, je me sens parfois bien seule même si quand j'en parle on me dit "ma pauvre".

Bonjour à tous !
Comment allez-vous aujourd'hui ? 😁

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Le soutien des proches est essentiel lorsqu'on vit avec une maladie chronique.

Comment vos proches vous soutiennent-ils au quotidien? Quels gestes, paroles, ou attitudes vous aident le plus? Et quels conseils donneriez-vous à quelqu'un qui veut mieux aider un proche malade ?

Bonne journée,
Claudia de l'équipe Carenity