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Alerte médicaments

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dinouille

21/06/2017 à 18:00

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dinouille

21/06/2017 à 18:02

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LEVURE DE RIZ ROUGE : LE REMÈDE ANTI CHOLESTÉROL DANGEREUX QU’IL FAUT ÉVITER
 
La levure de riz rouge est utilisée pour faire chuter le taux de cholestérol. Mais attention, ce produit, moins anodin qu'il n'y paraît, peut présenter des risques pour la santé. Explications.
 
 
Faut-il interdire les compléments alimentaires à base de levure de riz rouge ? Ces produits, inspirés des remèdes traditionnels chinois, sont souvent utilisés pour abaisser les taux de cholestérol. En effet, la levure de riz rouge contient de la monacoline, une molécule dont la structure est proche de celle des statines, les médicaments anti-cholestérol. Mais ces compléments ne seraient pas sans risque pour la santé, selon la revue Prescrire, qui rappelle que "leur composition en monacolines […] est variable et [qu’]il n’existe pas de méthode de dosage standardisée." Conséquence : l’usager risque de développer des effets secondaires graves, "semblables à ceux observés avec les statines, notamment : troubles musculaires et atteintes hépatiques", met en garde la revue. Elle alerte par ailleurs sur la possibilité d’une interaction entre ces compléments et le jus de pamplemousse, "qui pourrait augmenter les effets indésirables des produits à base de levure de riz rouge".
 
 
Préférer un médicament dont la composition est garantie
 
C’est à cause de ces risques d’effets indésirables et du manque d’encadrement que la revue Prescrire se positionne contre les compléments à base de levure de riz rouge. En France, l’Agence nationale de sécurité de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a reconnu en 2014 que la "consommation de 'levure de riz rouge' présente un risque sanitaire pour certains consommateurs", et s’est prononcée "pour la clarification du statut de ces produits dans l'Union européenne", rappelle la revue Prescrire . La commercialisation de ces compléments est d’ores et déjà jugée "illicite" en Suisse depuis 2014 et son interdiction a été recommandée par le Conseil supérieur de la santé belge en 2016. En cas d’hypercholestérolémie, la revue recommande donc de choisir un médicament dont l’efficacité clinique a été démontrée et qui dispose d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) délivrée par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). L’AMM garantit en effet "la qualité pharmaceutique, y compris la composition" d’un produit, souligne la revue.
 
 
En savoir plus sur http://www.medisite.fr/a-la-une-levure-de-riz-rouge-le-remede-anti-cholesterol-dangereux-quil-faut-eviter.1216940.2035.html#6km0uTM5S7crMoW4.99

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dinouille


Alerte médicaments https://www.carenity.com/forum/autres-sujets/bon-a-savoir-pour-tous/alerte-medicaments-38974 2017-06-21 18:02:33
avatar exit

Utilisateur désinscrit

21/06/2017 à 19:05

hello, quand on est sous médicaments il est important d'eviter le jus de pamplemousse car il est déconseillé dans beaucoup de traitements. enfin, avec les antidépresseurs, éviter formellement le millepertuis...


Alerte médicaments https://www.carenity.com/forum/autres-sujets/bon-a-savoir-pour-tous/alerte-medicaments-38974 2017-06-21 19:05:05

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dinouille

21/06/2017 à 20:05

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LA LISTE DES 91 MÉDICAMENTS DANGEREUX À ÉVITER SELON LA REVUE PRESCRIRE
 
La revue médicale indépendante Prescrire dresse la liste des 91 médicaments à "écarter pour mieux soigner". Ces traitements seraient en effet plus dangereux qu’utiles, d’après une analyse de la balance bénéfices-risques menée entre 2010 et 2016. Découvrez quels sont ces médicaments.
 
 
Voici la liste des médicaments à éviter selon la revue Prescrire :
 
 
Médicaments de cancérologie et d’hématologie
 
- Antitumoraux 
*le mifamurtide (Mepact®) 
*le nintédanib (Vargatef®) 
*l’olaparib(Lynparza®) 
*le panobinostat(Farydak®) 
*la trabectédine (Yondelis®) 
*le vandétanib (Caprelsa®) 
*la vinflunine (Javlor®)
 
- Complications des cancers ou de leurs traitements 
*le catumaxomab (Removab®) 
*le défibrotide (Defitelio®)
 
Médicaments de cardiologie
 
*l’aliskirène (Rasilez®), 
*le bézafibrate (Befizal®) 
*le ciprofibrate (Lipanor® ou autre) 
*le fénofibrate (Lipanthyl® ou autre) 
*la dronédarone (Multaq®) 
*l’ivabradine (Procoralan®) 
*le nicorandil (Adancor® ou autre) 
*l’olmésartan (Alteis®, Olmetec® et associations) 
*la ranolazine (Ranexa®) 
*la trimétazidine (Vastarel® ou autre) 
*le vernakalant (Brinavess®)
 
Médicaments de dermatologie et d’allergologie
 
*la méquitazine (Primalan®) 
*l’omalizumab (Xolair®) 
*la prométhazine injectable (Phénergan®) 
*le tacrolimus dermique (Protopic®)
 
Médicaments de diabétologie et de nutrition
 
- Diabète 
*Les gliptines : 
l'alogliptine (Vipidia®, Vipdomet®) 
la linagliptine (Trajenta®, Jentadueto®) 
la saxagliptine (Onglyza®, Komboglyze®) 
la sitagliptine (Januvia®, Xelevia®, Janumet®, Velmetia®) 
la vildagliptine (Galvus®, Eucreas®)
 
*la canagliflozine (Invokana®) 
*la dapagliflozine (Forxiga®) 
*la pioglitazone (Actos®)
 
- Perte de poids 
*l’orlistat (Xenical® ou autre) 
*l'association bupropione + naltrexone (Mysimba®)
 
Médicaments de rhumatologie et contre la douleur
 
- Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) 
*Les coxibs : 
*le célécoxib (Celebrex® ou autre) 
*l’étoricoxib (Arcoxia®) 
*le parécoxib (Dynastat®) 
*l’acéclofénac (Cartrex® ou autre) 
*le diclofénac (Voltarène® ou autre) 
*le kétoprofène en gel (Ketum gel® ou autre) 
*le piroxicam (Feldène® ou autre)
 
- Ostéoporose 
*le dénosumab (Prolia®) 
*le ranélate de strontium (Protelos®)
 
- Arthrose 
*la diacéréine (Art 50® ou autre) 
*la glucosamine (Voltaflex® ou autre)
 
- Divers 
*la capsaïcine en patchs (Qutenza®) 
*le méthocarbamol (Lumirelax®) 
*le thiocolchicoside (Miorel® ou autre) 
*la pégloticase (Krystexxa®) 
*la quinine (Hexaquine®, Okimus®) 
*l’association colchicine + poudre d’opium + tiémonium (Colchimax®) 
*l’association dexaméthasone + salicylamide + salicylate d’hydroxyéthyle (Percutalgine®) 
*l’association prednisolone + salicylate de dipropylène glycol (Cortisal®)
 
Médicaments de gastro-entérologie
 
*la dompéridone (Motilium®, Peridys®, Oroperidys® et génériques) 
*le dropéridol (Droleptan®) 
*le prucalopride (Resolor®)
 
Médicaments de gynécologie et d’endocrinologie
 
*la tibolone (Livial®)
 
Médicaments d’infectiologie
 
*la moxifloxacine (Izilox®) 
*la télithromycine (Ketek®)
 
Médicaments de neurologie
 
- Maladie d’Alzheimer 
*le donépézil (Aricept® ou autre) 
*la galantamine (Reminyl® ou autre) 
*la rivastigmine (Exelon® ou autre) 
*la mémantine (Ebixa® ou autre)
 
- Sclérose en plaques 
*l’alemtuzumab (Lemtrada®) 
*le natalizumab (Tysabri®) 
*le tériflunomide (Aubagio®)
 
- Migraine 
*la flunarizine (Sibelium®) 
*l’oxétorone (Nocertone®)
 
- Maladie de Parkinson 
*la tolcapone (Tasmar®)
 
Médicaments d’ophtalmologie
 
*la ciclosporine en collyre (Ikervis®) 
*l’idébénone (Raxone®)
 
Médicaments de pneumologie et de la sphère ORL
 
*l’éphédrine 
*la naphazoline 
*l’oxymétazoline 
*la phényléphrine 
*la pseudoéphédrine 
*le tuaminoheptane 
*l’ambroxol (Muxol® et autre) 
*la bromhexine (Bisolvon®) 
*la pholcodine 
*le tixocortol (Thiovalone®) 
*l’omalizumab (Xolair®) 
*le mépolizumab (Nucala®) 
*le mannito inhalé (Bronchitol®) 
*le nintédanib (Ofev®)
 
Médicaments de psychiatrie et contre les dépendances
 
- Antidépresseurs 
*l’agomélatine (Valdoxan®) 
*la duloxétine (Cymbalta®) 
*le citalopram (Seropram® ou autre) 
*l’escitalopram (Seroplex® ou autre) 
*le milnacipran (Ixel® ou autre) 
*la venlafaxine (Effexor LP® ou autre) 
*la tianeptine (Stablon®)
 
- Autres psychotropes 
*la dapoxétine (Priligy®) 
*l’étifoxine (Stresam®)
 
- Sevrage tabagique 
*la bupropione (Zyban®) 
*la varénicline (Champix®)
 
 
 
Source : Pour mieux soigner, des médicaments à écarter : bilan 2017 – Le revue Prescrire, février 2017, Tome 37 n°400.
 
 
En savoir plus sur http://www.medisite.fr/a-la-une-la-liste-des-91-medicaments-dangereux-a-eviter-selon-la-revue-prescrire.1270110.2035.html#GDxhxrkDBBByLFhS.99

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dinouille


Alerte médicaments https://www.carenity.com/forum/autres-sujets/bon-a-savoir-pour-tous/alerte-medicaments-38974 2017-06-21 20:05:52

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dinouille

22/06/2017 à 13:51

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VALPROATE : CE MÉDICAMENT SERA INTERDIT POUR CERTAINES PERSONNES À PARTIR DE JUILLET
 
Le valproate de sodium, médicament prescrit contre l'épilepsie, est contre-indiqué chez les femmes enceintes. De nouvelles mesures vont être mises en place pour restreindre l'indication du Valproate et de ses dérivés. 
 
 
 
La surveillance va être encore plus renforcée envers certains médicaments. En effet, trois médicaments utilisés dans le traitement des troubles bipolaires et l'épilepsie font l’objet d’un fort contrôle car ils sont dangereux pour les femmes enceintes : la Dépakote, la Dépamine et le Valproate de sodium .
 
 
Grossesse : malformations congénitales et troubles du comportement
 
Le valproate est un générique de Dépakine qui est prescrit contre l’épilepsie. Selon l’ANSM, "les enfants exposés pendant la grossesse aux médicaments à base de valproate ou ses dérivés présentent un risque élevé de malformations congénitales ainsi qu’un risque accru de troubles graves du développement" . 
En effet, selon l’ANSM et l’HAS, le valproate est "le plus tératogène des anticonvulsants et des thymorégulateurs . Il entraîne également un risque accru de troubles du développement psychomoteur chez les enfants exposés in utero" .
 
Des nouvelles alternatives à partir de juillet
 
En 2015, l’ANSM et l’HAS avaient déjà publié une fiche mémo qui conseillait sur les "alternatives à l’acide valproïque chez les filles, adolescentes, femmes en âge de procréer et femmes enceintes ayant un trouble bipolaire ou une épilepsie " . Les informations prenaient en compte les patientes déjà traitées par acide valproïque ayant un trouble bipolaire ou une épilepsie ainsi que les filles, adolescentes et femmes en âge de procréer et femmes ayant un trouble bipolaire ou une épilepsie .
 
En mars 2017, l’Agence Nationale avait pris des mesures supplémentaires pour réduire les risques malformatifs et les problèmes de développement engendrés par la prise de valproate ou un de ses dérivés durant la grossesse. Ainsi, un pictogramme avait été apposé afin de prévenir tout éventuel risque .
 
Selon les informations révélées par Pourquoi Docteur, l’ANSM a demandé à l’Agence Européenne du Médicament une procédure pour restreindre l’indication de la Dépakote et de la Dépamide . Cette contre-indication va survenir au moins de juillet . Cependant, il ne sera pas possible de contre-indiquer la Dépakine dans les cas d'épilepsie car il n’existe pas d’alternatives thérapeutiques pour certaines formes d’épilepsie . Il sera donné en dernière intention, la surveillance sera donc renforcée .
 
"Le traitement par le valproate doit être initié et surveillé par un médecin spécialiste de l'épilepsie ou du trouble bipolaire" , déclarait l'ANSM en 2014. Toutes les patientes doivent être parfaitement informées avant l’utilisation de tout traitement.
 
Le trouble bipolaire : dépression et exaltation
 
La grande caractéristique des troubles bipolaires est l'alternance entre des phases dépressives et des phases maniaques . Il y a en effet succesion de moments de dépression et des périodes de grande exaltation , durant lesquelles le malade se croit souvent "tout-puissant" et où il met en place des projets (souvent irréalistes) qui peuvent le plonger dans des grandes difficultés , notamment financières.
 
L'HAS indique que, selon l'OMS, les troubles bipolaires ont été classés parmi les dix pathologies les plus invalidantes et qu'ils restent associés à un taux important de suicide (11-19% en 2014)
 
 
En savoir plus sur http://www.medisite.fr/a-la-une-valproate-ce-medicament-sera-interdit-pour-certaines-personnes-a-partir-de-juillet.2655356.2035.html?xtor=EPR-56-%5BMedisite-Info-Sante%5D-20170622-%5BtestA%5D&gcltc=3&gcltl=4&gcnid=2586220&art=1#fUeJQJDRszvpJpLy.99

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dinouille


Alerte médicaments https://www.carenity.com/forum/autres-sujets/bon-a-savoir-pour-tous/alerte-medicaments-38974 2017-06-22 13:51:50

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dinouille

23/06/2017 à 08:12

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Brûlures d’estomac : évitez à tout prix ce médicament
 
 
Chers amis de la santé globale, 
 
Ce médicament est certainement le prochain scandale sanitaire. 
 
Depuis 2009, il est en vente libre. Des centaines de milliers de Français en prennent quotidiennement. Les médecins le prescrivent à tour de bras. 
 
Vous avez probablement déjà eu affaire à lui si vous souffrez de brûlures d’estomac ou de régurgitations acides (reflux), ou si vous prenez régulièrement des médicaments anti-inflammatoires. 
 
Mais nous sommes tous concernés par cette affaire. 
 
Car c’est un véritable cas d’école des dérives de la médecine moderne, sous l’influence des puissantes industries pharmaceutiques. C’est l’exemple type des produits chimiques nocifs prescrits sans modération alors qu’il existe des approches naturelles plus efficaces. 
 
Un médicament qui cause Alzheimer, crises cardiaques, insuffisances rénales graves
 
Ce médicament, c’est le groupe des « inhibiteurs de la pompe à protons » (IPP). 
 
Le nom est un peu barbare, mais leur fonctionnement est très simple : ces médicaments réduisent drastiquement l’acidité de l’estomac, en interférant avec la protéine responsable de cette acidité (la « pompe à protons »). 
 
La marque la plus connue est Inexium. Mais il en existe d’autres : Nexium (esoméprazole), Lanzor, Ogast, Ogastoro (lanzoprazole) ainsi que Mopral et Zoltum (omeprazole). 
 
En France, ces médicaments « pèsent » au moins 1,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, dont 900 millions sont remboursés par la sécurité sociale. Cela représente environ 60 millions de boîtes de médicaments vendues chaque année ! 
 
Comme beaucoup de médicaments, ils peuvent être utiles dans des cas précis, sur courte période – quelques semaines maximum. 
 
Mais quand ils sont pris pendant des mois, voire des années, on se retrouve avec une catastrophe sanitaire. 
 
Car voici les principaux effets nocifs répertoriés : 
 
Les IPP augmentent d’au moins 44 % le risque d’Alzheimer et de démence [1] 
 
On le sait grâce à l’étude de chercheurs allemands qui ont suivi 73 000 personnes de plus de 75 ans pendant 7 ans. Ils ont constaté que ceux qui avaient pris des IPP pendant plus de 4 mois avaient un risque de démence augmenté de 44 à 66 % !  
 
Ces résultats effarants ont été publiés dans le prestigieux Journal of the American Medical Association (JAMA) en février 2016. 
 
Les IPP augmentent le risque d’infarctus de 20 % [2] 
 
Les chercheurs de l’Université de Stanford ont épluché les dossiers cliniques de 2,9 millions de patients, et les résultats font froid dans le dos : à tout âge, les IPP augmentent de 16 à 21 % le risque de crise cardiaque. 
 
La même étude a montré qu’ils augmentent aussi de 122 % le risque de mourir d’une maladie cardiovasculaire. 
 
Les IPP augmentent le risque de maladie grave des reins de 20 à 50% 
 
Cette fois, ce sont plus de 10 000 personnes qui ont été suivies pendant 15 ans. Elles n’avaient au départ aucun problème particulier aux reins. Mais à l’arrivée, celles qui prenaient des IPP avaient été davantage touchées par une maladie grave des reins. 
 
Ces résultats, publiés dans le JAMA en 2016 [3], ont été confirmés par une autre étude récente [4] qui a suivi 240 00 personnes pendant 17 ans. Et cette étude a en plus trouvé que celles qui prenaient des IPP avaient un risque de mourir prématurément augmenté de 76 % ! 
 
Cela fait beaucoup, non ? 
 
Surtout que ces résultats s’ajoutent aux effets que l’on connaissait déjà : un risque accru de fracture de la hanche [5], de pneumonie ou encore d’infection par la bactérie Clostridium difficile. 
 
L’absurdité de la situation
 
Bien sûr, tout médicament a potentiellement des effets secondaires. C’est toujours un risque qu’il faut peser soigneusement par rapport aux bienfaits attendus. 
 
Mais la situation actuelle est absurde à tous points de vue. 
 
Car non seulement les effets secondaires graves de ces médicaments étaient largement prévisibles, mais : 
 
Ces médicaments ne guérissent jamais le patient : ils soulagent le symptôme – la douleur – sans jamais s’attaquer à la racine du problème ; 
 
C’est même pire que ça : dans la majorité des cas, ils aggraventmême le problème initial, ce qui piège le patient dans un cercle vicieux où il ne peut plus se passer de ses médicaments, qui pourtant lui font du tort ; 
 
Ceci, alors que pour lutter contre les brûlures d’estomac, il existe quantité de remèdes naturels, efficaces et sans le moindre effet secondaire. 
 
Cela vous paraît fou ? C’est normal, personne n’explique jamais clairement aux patients ce que je vais vous révéler : 
 
Les brûlures d’estomac ne sont pas dues à un excès d’acidité
 
A première vue, le raisonnement des labos se tient : l’acidité cause les brûlures d’estomac, donc il suffit de supprimer cette acidité pour résoudre le problème. 
 
Et sur ce point, les IPP sont efficaces : ils réduisent la sécrétion d’acidité dans l’estomac de 90 à 95 %. 
 
Ils sont si puissants qu’ils ont largement éclipsé les médicaments plus anciens, comme les anti-H2, ou les simples pansements gastriques occasionnels type Gaviscon. 
 
Mais il y a un problème. 
 
Les brûlures d’estomac ne sont presque jamais causées par un excès d’acidité de l’estomac. 
 
Car l’estomac est naturellement très acide - afin de bien digérer les aliments. Et comme la nature fait bien les choses, les parois de l’estomac sont protégées de cette acidité par une barrière efficace, la muqueuse gastrique. 
 
Les brûlures d’estomac ne se produisent donc que dans des situations bien particulières : 
Lorsque la muqueuse protectrice de votre estomac est endommagée : on parle de gastrite si elle est irritée, et d’ulcère en cas de lésion sérieuse ; 
 
Lorsque le liquide acide de l’estomac remonte et brûle les tissus de l’œsophage : c’est le reflux gastro-oesophagien qui touche près de 5 millions de Français ; 
 
Dans les deux cas, il faut bien comprendre que le problème ne vient pas d’un estomac « trop acide ». 
 
Si la paroi de votre estomac est intacte, vous n’aurez jamais de gastrite, même si vous mangez des aliments très acides. 
 
Les véritables coupables des gastrites sont ailleurs. Le consensus médical pointe la responsabilité des médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), type ibuprophène ou aspirine, l’excès d’alcool, ainsi qu’une bactérie,Helicobacter Pylori. 
 
Pour le reflux gastro-oesophagien, c’est encore plus évident : le problème n’est pas que l’estomac soit acide – le problème est qu’une partie de ce liquide acide remonte là où il n’est pas censé aller – dans l’œsophage. 
 
Bien sûr, ce qui vous brûle, c’est bien l’acide au contact d’une muqueuse irritée, ou au contact de l’œsophage. 
 
C’est pourquoi les IPP sont si efficaces pour soulager la douleur. C’est pourquoi, également, ils peuvent être utiles temporairement pour permettre aux tissus endommagés de guérir. 
 
Mais réduire l’acidité de votre estomac ne suffira jamais à résoudre durablement votre problème de fond, que ce soit l’inflammation de la muqueuse ou le reflux gastrique. 
 
Pire : c’est tout simplement dangereux. 
 
Réduire l’acidité : une manœuvre d’apprenti-sorcier !
 
Car si notre estomac est acide, ce n’est pas pour rien. C’est parce que cela a une fonction, une utilité. 
 
Donc si vous réduisez artificiellement cette acidité de façon prolongée, cela doit forcément poser des problèmes, non ? 
 
Cela devrait paraître évident… sauf aux apprentis-sorciers de la médecine moderne. 
 
Si l’estomac est acide, c’est d’abord parce que c’est indispensable à la digestion. 
 
L’acidité de l’estomac est nécessaire pour absorber correctement les vitamines et minéraux des aliments. Si vous la contrecarrez, vous risquez fortement d’être carencé en nutriments essentiels. 
 
Par exemple, l’absorption de vitamine B12 est insuffisante lorsque l’estomac manque d’acidité. Or une carence durable en vitamine B12 est très mauvaise pour le cerveau… et est associée à une hausse du risque de démence et d’Alzheimer. 
 
Faut-il vraiment s’étonner que l’étude du JAMA ait montré un lien entre IPP et démence ? 
 
En outre, les IPP réduisent l’absorption de la vitamine B9. Or on sait qu’un manque de vitamines B12 et B9 augmentent le taux d’homocystéine, un des principaux marqueurs… des maladies cardiaques ! 
 
Ne pouvait-on donc pas s’attendre à ce que les IPP les favorisent ? 
 
Pareil pour le risque de fracture, augmenté car les IPP nuisent à la bonne absorption du calcium, pareil pour la vitamine C, le fer, le zinc et le magnésium, des nutriments impliqués dans des centaines de processus métaboliques qui concourent à notre santé et notre longévité ! 
 
Et le pire, c’est que l’acidité de l’estomac ne sert pas « uniquement » à digérer. Elle est aussi notre principal rempart contre les mauvaises bactéries. 
 
Un estomac insuffisamment acide ne vous protège plus contre les bactéries
 
La plupart des bactéries ne peuvent pas survivre dans un milieu trop acide. 
 
C’est pourquoi notre estomac est notre première ligne de défense : il empêche les bactéries que nous avalons d’atteindre notre intestin – et il empêche également les bactéries de notre intestin de remonter dans l’œsophage. 
 
Si vous abaissez l’acidité de votre estomac, vous vous rendez donc plus vulnérable aux infections. D’où les études ayant montré un lien entre IPP et pneumonies ou Clostridium difficile. 
 
Plus grave encore, une faible acidité peut provoquer une prolifération bactérienne dans l’intestin. 
 
Car si l’estomac n’est pas suffisamment acide, il laissera passer des aliments non digérés dans l’intestin. Avec, à la clé, des ballonnements, des gaz et surtout un risque de fermentation et de déséquilibre de la flore intestinale. 
 
Or l’intestin – notre « deuxième cerveau » - est un organe absolument déterminant pour rester en bonne santé. 
 
Un simple déséquilibre de la flore intestinale et c’est la porte ouverte à l’obésité, au diabète, aux maladies inflammatoires de l’intestin (Crohn) et même à certains cancers. 
 
Les chercheurs commencent même à faire le lien avec des maladies comme l’autisme, Alzheimer ou la dépression ! 
 
Nous avons encore beaucoup de choses à apprendre sur cet organe passionnant… mais nous en savons suffisamment pour savoir qu’il faut se méfier des médicaments qui l’endommagent. 
 
Des pompiers pyromanes !
 
Les IPP ne se contentent pas d’avoir des effets indésirables ; ils sont en eux-mêmes un obstacle à la résolution du problème qu’ils sont censés guérir. 
 
D’abord pour des raisons psychologiques : comment remettre en cause son hygiène de vie quand il existe à portée de main un médicament aussi efficace pour éteindre le feu ? 
 
En plus, ces médicaments sont addictifs. Une fois que vous les avez essayés, il est très difficile de s’en passer, car lorsque vous les arrêtez brutalement, les brûlures repartent de plus belle – on appelle cela « l’effet rebond ». 
 
Et c’est ainsi qu’un médicament prévu au départ pour être pris pendant 2 mois maximum est désormais avalé par des millions de personnes pendant des années ! 
 
Plus problématique encore : loin de soigner votre problème de gastrite ou de reflux, ils l’aggravent. 
 
Pour les gastrites, c’est évident. On a vu qu’une des causes principales des gastrites et des ulcères était la prolifération d’une bactérie, Helicobacter Pylori. 
 
On a vu également que les bactéries n’aiment pas l’acide. Or Helicobacter Pylori a beau être beaucoup plus résistante que ses « collègues », elle n’échappe pas à la règle : si vous abaissez l’acidité de votre estomac, vous lui facilitez la tâche ! 
 
Vous mesurez l’absurdité de la situation : des patients prennent des IPP pour soulager leurs brûlures d’estomac… et aggravent du même coup leur risque de souffrir de gastrites et d’ulcères ! 
 
C’est un cercle vicieux… et il n’est pas fini. 
 
Car une des causes directes du reflux est le mauvais fonctionnement du clapet qui sépare l’estomac de l’œsophage. En temps normal, ce clapet laisse passer la nourriture qui descend dans l’estomac, et empêche le liquide gastrique de remonter. 
 
Mais il arrive que ce clapet se relâche. Cela se produit souvent lorsque votre ventre est soumis à une pression importante. C’est pourquoi les personnes en surpoids et les femmes enceintes sont davantage touchées par le reflux. 
 
Mais la pression abdominale augmente dans un autre cas : lorsqu’on souffre de gaz et de ballonnements. 
 
Or quelle est la cause première de ces désagréments qui aggravent le reflux ? Un déséquilibre de la flore intestinale… dont on a vu qu’il était amplifié par les IPP ! 
 
Les IPP sont de vrais pompiers pyromanes : sous couvert d’éteindre le feu, ils ne cessent de propager le brasier ! 
 
Et si vous avez le malheur de souffrir d’arthrose, ils risquent de créer un feu de toutes pièces. 
 
De Charybde en Scylla [6] : les IPP « préventifs »
 
Car de plus en plus de médecins prescrivent des IPP à toutes les personnes qui prennent des anti-inflammatoires au long cours. Qu’elles aient des brûlures d’estomac ou non ! 
 
La raison est simple : les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) comme l’aspirine ou l’ibuprophène attaquent la muqueuse de l’estomac. Pris régulièrement pendant des années, ils provoquent des gastrites, ulcères, voire des performations de l’estomac avec hémorragie. 
 
L’objectif est donc d’éviter cette issue malheureuse. 
 
Mais… ne serait-ce pas plutôt une raison d’éviter purement et simplement les AINS – plutôt que de les associer avec un autre médicament dangereux ? 
 
Car les médicaments anti-inflammatoires peuvent être évités. Non seulement il existe dans la nature de puissants anti-inflammatoires naturels sans effets secondaires… Mais des douleurs chroniques comme celles de l’arthrose peuvent disparaître pour de bon avec la bonne stratégie alimentaire (je vous montrerai tout cela dans une prochaine lettre). 
 
Sauf que… les médecins ne sont pas formés à ces méthodes, qui ont de surcroît le grand désavantage de ne rien rapporter aux laboratoires pharmaceutiques. 
 
Résultat : si vous prenez des AINS, beaucoup de médecins vont vous prescrire des IPP en prévention de l’agression que les anti-douleurs vont faire subir à votre estomac ! 
 
Même la Haute Autorité de Santé s’est récemment inquiétée de cette dérive. Selon elle, les IPP « préventifs » ne devraient concerner que les patients les plus à risque – et non pas tous ceux qui prennent des AINS. 
 
On aurait largement atteint le fond… si l’envol des prescriptions contraires aux recommandations officielles ne touchait pas aussi les nourrissons. 
 
Et maintenant, des IPP au biberon !
 
C’est difficile à croire, mais c’est ainsi : plus de 10 % des nourrissons prennent désormais des médicaments anti-reflux [7]. 
 
Et parmi ces médicaments, les IPP font partie des plus prescrits. 
 
Inutile de préciser qu’ils ont les mêmes effets indésirables que pour les adultes – comme l’augmentation du risque de gastroentérites aiguës et de pneumonies [8]. 
 
Chez l’adulte, les IPP ont au moins le mérite de soulager les douleurs. Mais chez le nourrisson, ils n’ont pas plus d’effet qu’un simple placébo ! C’est ce qu’a montré sans équivoque une récente synthèse incluant 5 études contrôlées chez des bébés [9]. 
 
Donner ces médicaments à des bébés est d’autant plus invraisemblable que la plupart des reflux des nourrissons disparaissent spontanément. Et des méthodes simples et sans dangers règlent le problème dans l’immense majorité des cas [10] (je les mentionne en note si vous êtes concerné). 
 
Où est passé le serment d’Hippocrate ?
 
Evidemment, il n’y a pas que du mauvais dans les IPP. 
 
Ces médicaments sont utiles pour permettre à l’œsophage de cicatriser, lorsque les régurgitations acides à répétition ont endommagé sa paroi. 
 
Ils sont précieux, également, pour augmenter l’efficacité des traitements antibiotiques contre Helicobacter Pylori. Ce sont des traitements de courte durée, là encore. 
 
Par ailleurs, je ne dis surtout pas qu’il ne faut rien faire en cas de reflux ou de gastrite. 
 
Je dis simplement la chose suivante : vu les effets délétères des IPP, ils ne devraient être prescrits qu’en dernier recours. En commençant par les méthodes naturelles, que je vous détaillerai dans une prochaine lettre. 
 
Mais la médecine moderne fait l’inverse. Elle commence par le médicament dangereux. 
 
Les autorités de santé ont accepté d’autoriser les IPP en vente libre, comme s’il s’agissait de médicaments inoffensifs. Pourquoi ? 
 
Et pourquoi les médecins font-ils donc du zèle : pourquoi prescrivent-ils ces IPP en dehors des recommandations officielles – ce qu’ils font dans plus de deux tiers des cas [11] ?? 
 
Pourquoi les donnent-ils pour de simples brûlures d’estomac ? Pourquoi les pédiatres les donnent-ils à des nourrissons ? 
 
Certes, les patients ne sont pas irréprochables : ils demandent le plus souvent un remède qui les soulage rapidement et sans effort. 
 
Mais les médecins devraient leur résister. Et toujours se rappeler le serment d’Hippocrate : 
 
« D’abord, ne pas nuire »
 
Voilà une valeur fondamentale, qui sera au cœur du programme Santé Corps Esprit. 
 
Bonne santé, 
 
Xavier Bazin 
 
PS : n’hésitez pas à me faire part part de votre sentiment, en commentaire de cet article. 
 
Etes-vous d’accord avec moi pour dire que la médecine moderne joue parfois aux apprenti-sorciers ? Avez-vous d’autres exemples en tête ? D’après vous, pourquoi assiste-t-on à une telle dérive par rapport au serment d’Hippocrate ?
 

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dinouille


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23/06/2017 à 20:52

je me pose une question : j'ai reçu des ipp pour les ulcères causés par la medication per os pour ma mici. je me vois mal prendres des antibios au long cours ( pas d'helicobacter p.). enfin, les psychiatres disent que les personnes de 80 ans ou plus sont 80 % à être en partie séniles...on fait quoi? merci!


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23/06/2017 à 20:58

ps : ne pensez vous pas que les ipp sont aussi prescrits à des gens qui mangent, boivent et fument des crasses pour éviter un cancer gastrique catastrophique? dans ce cas la prescription au long cours est indispensable...à l'hosto tout le monde reçoit des ipp aussi... quid? 


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TUSSIPAX, NEO-CODION, EUCALYPTINE : VASTE RAPPEL DE LOTS DE SIROPS POUVANT ÊTRE DANGEREUX POUR CERTAINS PATIENTS
L'Agence nationale du médicament annonce le rappel de sirops pour la toux suite à la contre-indication émise de la codéine chez les enfants de moins de 12 ans. 
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image: http://preprod-img.medisite.fr/files/resize/images/article/2/0/6/2694602/4367113-inline-500x333.jpg

© iStock
L’Agence nationale du médicament (ANSM) a publié le 22 juin 2017 un rappel de produits contre la toux , dans un "intérêt de protection de la santé publique". "Cette décision de rappel fait suite à une demande de l’ANSM de retirer du circuit de distribution les lots de spécialités non périmés à ce jour dont les informations qui figurent sur les articles de conditionnement ne prennent pas en compte les restrictions d’utilisation de la codéine chez l’enfant de moins de 12 ans dans le traitement de la toux" indique l'agence dans son communiqué. Ce rappel concerne les officines et les circuits de distribution pharmaceutique.

3 laboratoires concernés par le rappel
Le rappel concerne les laboratoires BAILLEUL, BOUCHARA-RECORDATI et HEPATOUM (solutions buvables en gouttes, sirops).

Laboratoires BAILLEUL :

TUSSIPAX® , solution buvable en gouttes, code CIP: 34009 310 965 4 2

- Lot OP19 (péremption : octobre 2017)

- Lot OP20 (péremption : novembre 2017)

- Lot OP21 (péremption : décembre 2017)

Les spécialités Tussipax®, comprimé et sirop ne sont pas concernées par ce rappel de lots.

Laboratoires BOUCHARA-RECORDATI :

NEO-CODION ENFANTS® , sirop (Boîte de 1 flacon de 125 ml), CIP n° 34009 307 101 2 8

- Lot 281 (péremption : 08/2017)

- Lot 282 (péremption : 01/2018)

- Lot 283 (péremption : 04/2018)

- Lot 284 (péremption : 07/2018)

- Lot 285 (péremption : 11/2018)

- Lot 287 (péremption : 07/2019)

- Lot 288 (péremption : 11/2019)

- Lot 289 (péremption : 02/2020)

Les autres lots de NEO-CODION ENFANTS®, sirop et les spécialités NEO-CODION®, comprimé enrobé, NEO-CODION ADULTES® sirop et NEO-CODION NOURRISSONS® sirop ne sont pas concernés par ce rappel de lots.

Laboratoires HEPATOUM :

EUCALYPTINE LE BRUN® , sirop, CIP : 34009 303 814 4 1

- Lot 361 (péremption : Septembre 2017)

- Lot 362 (péremption : Septembre 2017)

- Lot 363 (péremption : Septembre 2017)

Les autres lots d'EUCALYPTINE LE BRUN®, sirop ne sont pas concernés par ce rappel de lot et ne seront pas repris."

Des restrictions qui datent de en 2015
En 2015, l’ANSM annonçait que les sirops contre la toux contenant de la codéine étaient désormais contre-indiqués chez les tous les enfants de moins de douze ans, chez les adolescents entre 12 ans et 18 ans présentant des troubles respiratoires, en cas d’allaitement (la codéine pouvant passer dans le lait maternel et jusqu'à l'enfant allaité) et chez les patients qui métabolisent (en morphine) trop rapidement cette molécule.

En savoir plus sur http://www.medisite.fr/a-la-une-tussipax-neo-codion-eucalyptine-vaste-rappel-de-lots-de-sirops-pouvant-etre-dangereux-pour-certains.2694602.2035.html?xtor=EPR-55-%5BMedisite-Alerte-Infos%5D-20170627-%5BtestA%5D&gcltc=3&gcltl=3&gcnid=2718299&art=1#BxjoB1GlKq2Aj5OX.99

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27/06/2017 à 22:28

Bref si j'ai bien compris il faut soigner toutes  les maladies je dis bien toutes avec du paracetamol qui lui est aussi toxique  pour le foie alors on fait quoi on ne se soigne plus ? ?


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dinouille

28/06/2017 à 09:04

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@Bipnadou Aucuns médicaments n'est bon pour la santé,mais on à pas souvent trop le choix.Mais heureusement il existe des remèdes naturels pour remplacer certain médicament tout aussi éfficace et meilleur pour la santé.

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dinouille


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