Alcool, tolérance zéro ? Quel est votre avis sur cette affirmation ?

@Nanard51 En fait je suis d'accord avec toi. Je suis agacé par les discours extrémistes concernant les thèmes que tu as évoqué : fémininisme, végan, et même racisme. Je vais peut-être relie mes derniers messages car je n'ai pas l'impression d'avoir alimenté ce discours orienté sjw, mais je me trompe peut-être (dans la forme ?). Après, je concède employer parfois un langage, voire un comportement guerrier, envers l'alcool que je considère comme un ennemi sournois et puissant, avec qui ne pas transiger. J'aime bien dire qu'il fait aussi bien lire Sun Tzu que le livre de Philippe Batel . En tout cas, oui, je reste radical concernant la notion de tolérance zéro envers l'alcool. Je le fais notamment parce que j'ai été convaincu par mes thérapeutes, mes lectures ou recherches et le témoignage des camarades que j'ai côtoyé à l'hôpital de jour, et par la suite lors des groupes de paroles, où les cas de rechute sont parfois lié à une consommation occasionnelle. 
Bon, d'un certain coté, ce que je vais écrire peut paraître facile compte tenu du contexte actuel, mais je suis bien content d'être complètement abstinent en période de confinement. 
De plus, l'alcoolisme restant une maladie chronique, je me méfie des "accidents de la vie" qui peuvent provoquer une rechute. Toujours lors de groupes, en entendant des personnes expliquer qu'ils ont craqué après 20 ans d'abstinence après un événement grave, je me pose la question de mon comportement. Pour le moment, j'ai eu droit à un deuil dans la famille (mon reliquat d'état dépressif m'a empêché d'aller aux obsèques) et en janvier on m'a détecté une tumeur cérébrale, heureusement bénigne, mais psychologiquement assez agressive. Je pense sincèrement que mon refus absolu de l'alcool m'a empêché de "décompresser temporairement" à l'aide d'un verre.

Maintenant, ça reste mon avis. Je ne prétends avoir les clés du savoir. J'ai dépassé mes 3 ans de sobriété en j'en suis très heureux. 

bravo à vous temudjin95  pour votre retour d expérience qui ne peut venir que de quelqu un, je pense je ne dis pas de bêtise: "qui a touché le fond avec cette saloperie d alcool". 

Mon mari  s est réveillé  en 2014, je l ai un peu poussé, il a réussi après difficultés  à se débarrasser  de ce problème en 6 mois. Aujourd'hui il est heureux de ne plus être dépendant. toute sa vie etait calculée en fonction du comment il allait  faire pour  boire...en cachette. Aujourd'hui nous nous battons pour l alcoolisme de notre fille de 36 ans seule avec une enfant de 4 ans... oui imaginez ....c est un vrai fléau....qui me met en colère.  On a tous un tonton, une tata,  un grand père, qui aimait bien son petit verre et  je vois mes amis (es) tombés dans la prison  de cette drogue sans qu ils ne s en rendent compte vraiment  ou alors ils refusent de l accepter et un jour ils se réveilleront mais ça sera trop tard. Ça touche tous les milieux, c est insidieux et  a se montre encore plus indispensable quand tout va mal. Moi je prends l apperô bien sûr quand cela se présente du blanc parce,que le rouge rien que l odeur me ferait vomir avant de l avoir bu mais je sais m arrêter à 2 verres, ce que je préfère dans l appero c est ce qu on prend avec, moi c est la bouffe ma drogue et je suis obligée de me contrôler... je l avoue. Mais la  bouffe ça ne fait du mal qu à moi toute seule, l alcool ça vous bousille et aussi tout ce qu il y a autour...alors vraiment  pour moi c est une drogue autorisée. Je suis bretonne et on dit que le breton est un alcoolique  "invertébré" 😆quand je vois ce qui se passe dans nos régions... c est franchement pas mieux.

L alcool en France  c est une filière c est tout, c est pour ça que l on ne fait pas grand chose contre, c est comme la cigarette on lutte un peu mais ça rapporte tellement ....

@Temudjin95  ....avec un peu de retard .....Tolérance zéro ok pour les gens directement ou indirectement concernés , ou choix perso , mais pas en faire une institution. Cela va vite devenir compliqué de vivre des moments sociaux avec de plus en plus d’adepte de ces nouvelles « religions » L’alcool, les sans gluten, les animalistes, les vegans, les végétaliens....tariens,les sans porcs......on se recroqueville sur soi là.....Je t’accorde que je déborde un peu du sujet de départ. Je me défoule un peu en ces temps de confinement...salut et bon courage à toi .

@Nanard51 Tout à fait d'accord avec vous L'alcool est un fléau mais ce n'est pas pour cela qu'il faut tout interdir regarder de travers ou culpabiliser ceux qui prennent l'apéro ou du vin au repas Bien sur il ne faut pas aller à l'extreme car cela ne sert à rien et ne font que reporter de quelques heures les choses pour lesquelles on a bu A la maison il y a mais comme je vis seule je n'ouvre jamais de vin ou pour la cuisine et là je finis mais par contre il m'arrive de boire un apéro le samedi soir en tête à tête avec moi même Chez mes amis je fais comme tout le monde surtout quand je sais que je dors sur place vu qu'il faut peu plus que peu pour dépasser la norme Moi aussi toutes ces nouvelles modes m'exaspèrent 

Bon confinement et courage en attendant des jours meilleurs 

Bonjour à tous et à toutes,

Comment allez-vous aujourd'hui ? 

L'alcool est-il banni de votre quotidien ? Si oui, pour quelles raisons ? 

N'hésitez pas à partager et à échanger en commentaire ci-dessous !

Belle journée,

Candice de l'équipe Carenity

Bonjour je n ai personnellement pas de problème avec l alcool, mais plusieurs personnes de mon entourage et au moins 2 de mon entourage proche ont des problèmes avec l alcool et sont disons le clairement alcooliques et alcooliques ne veut pas dire inanimés sur le sol, non c est plus vicieux, C est une vraie drogue, une saloperie ça rapporte tellement d argent que ça n est pas considéré comme telle...

@Bridget22 ledalle

bonjour @Bridget22‍  l'alcoolisme est une grave maladie ,souvent mal comprise et mal vue ,et crois moi  ceux qui sont touchées souffrent énormément, ainsi que leurs entourage ,c'est très difficile de sortir de cette addiction , ily en a partout autour de nous ,a la télé  dans les films,dans les revues ,dans la ville  ,l'alcool est present  il faut se faire aider c'est important de pas rester seul avec cette maladie 

moi je m'en suis sortit après une cure en désintoxication de 6 semaines, il y a de cela 19 ans depuis je n'ai jamais plus consommer 1 seule goutte d'alcool et ça ne me fais plus rien de voir quelqu'un  boire un verre ,un apéro ou autres ,par contre chez moi il n'y aura jamais plus d'alcool ,et mes amis le savent, et on trinque au jus de fruit, ou palermo (apéro sans alcool) et la vie est belle 

bonne soirée

Dan

Je désespérais @ledalle‍ , avec mon petit frère , il ne tournait qu'au pastis , la marque très connue , ça lui a couté presque la vie , il a eux des accidents de la circulation dont un terrible , mais dés que ses sens sont revenus , il a recommencé , ça l'a conduit au divorce , a ne pouvoir rester dans aucun logements , il a suivit beaucoup de cure sans succès.

Il avait le visage , et la peau du corps en général couleur terre , combien j'ai souffert de le voir comme ça , puis en 2009 , quelque semaines avant la mort de notre mère , il a fait une ultime cure , loin de chez nous , la il a eu le déclic , ça ne s'explique pas , c'était le moment , puis il a passait pas loin de 10 ans a fréquenter les alcooliques anonymes .

Il a trouvé une nouvelle copine , il a de bonnes relations avec ses trois fils , aujourd'hui adultes , il ne bois plus une goute d'alcool , et pourtant si quelqu'un vient chez lui , il y en a .

Ça peau a retrouvé une belle couleur , cela fait plus de 11 ans qu'il ne boit plus et pourtant quant on en parlent il me dit qu'un alcoolique reste malade a vie , malgré tout , cela me fait du bien de le voir normal .

Je pense que si cela était arrivé a mes frère ainés , je ne me serais pas temps impliqué , mais celui ci , je voulais qu'il aille tout ce que je n'ai pas eux et le voir dés ses 17 ans sombrer dans ce cercle vicieux de spiritueux , je pense en avoir aussi beaucoup souffert .

Je tolère quelque alcools , mais j'ai arrêté d'en boire régulièrement bien avant lui , ayant toujours été , je ne sais pourquoi , le gendarme des six? Je me suis occupé, d'une nièce et d'un neveu , qui était en désaccords avec leur parents , je me suis occupé de ma grand mère paternel , qui avait perdu la tête, je me suis occupé de lui et des parents , j'ai toujours été aidant , alors que normalement dans une famille ce travail est dévolu au plus âgé, mais chez nous , c'est moi , le seul célibataire , qui ai fais la police pour tous , il semble que j'étais destiné a ça , j'ai de ce fait été le témoin des ravages de l'alcool et souvent pour ne pas le laisser dormir dehors , j'ai du le garder chez moi .      

@SAW1967 ledalle c'est super ce que tu as fais @SAW1967‍ ,mais pour que la cure sois efficace ,il faut que cela vient de la personne car ,si elle a pas le déclic d'arrêter, la cure ne sert a rien ,c'est malheureux a dire ,mais il faut être au bord du précipice, pour demander de l'aide (la cure) forcer une personne a  arreter de boire ne marchera pas ,mais l'accompagner dans sa demarche contre l'alcool l'aidera beaucoup ,,il faut souvent comprendre le pourquoi de ce besoin d'alcool en dehors de la dépendance, ce qui a fait que l'on c'est mis a boire sans s'arrêter souvent il y a une cause derriere, mais c'est pas evident pour la personne malade d'en parler ,car elle se cache derriere son verre, et comme tu le dis, les personnes proches souffrent beaucoup ,il y a des rupture familiale, car la vie n'est plus possible avec une personne alcoolique souvent des divorcent des enfants traumatisées  et le pire que c'est que nul n'est égal devant l'alcool 

bonne soirée mon ami une caresse a ton toutou

Le commencement @ledalle‍ , je pense que c'est un peu de ma faute , car il a mimé , beaucoup de choses que j'ai faites bien avant lui , on a 4 ans d’écarts, seulement la ou moi , je connaissais mes limites et savais dire stop , lui a su commencer , mais pas arrêter.

Il avait une prédisposition a l'alcool et est tombé , dans la famille de sa femme dans une famille de gros buveurs , ça n'a pas aidé .

Au début , il me revient une histoire qui me fait rire aujourd'hui , ces gens venaient d'un autre département et c'étaient installé dans notre commune en location , hors , ils avaient beaucoup d'enfants et dans le lot trois filles , comme les filles ne couraient pas les rues qui n'existent pas dans ma commune, c'est des maisons , loin les unes des autres , avec des routes bordées d'herbes qui les relient , mon frère dés qu'il vit sa femme , ne la lâcha pas , moi, j'étais sur une autre piste , d'une jeune fille, qui vivait depuis toujours dans le village , ma copine étant décédée depuis pas mal d'année déjà.

Donc très vite , la famille de la femme de mon frère s'est approchée de la notre , on parlaient vaguement de mariage , et ces gens étaient lourds , quant-ils venaient a la maison et qu'une bouteille d'apéro restait sur la table ils ne partaient pas , hors mon père n'était pas radin , bien qu'il buvait très peu , il ne rangeait pas la bouteille par politesse .

Puis un jour , la femme qui avait environ 40 ans est passée chez nous , et a plusieurs reprises est tombée , cela inquiétait les parents mon frère et moi , quand elle a voulu partir , par deux fois elle est tombée sur la route , elle avait presque 1km a faire pour rentrer , avec mon frère nous l'avons mise dans ma voiture , une GS a l'époque , et je l'aie retournée chez elle.

Arrivé la bas , j'ai demandé a son homme d'appeler un médecin ne trouvant pas ces chutes normal , il me répondit : "-T'en fais pas" Sans trop rire .

Dans la journée mon frère est allé voir sa copine et quand il est rentré , je lui ai demandé si un médecin était passé? Il m'a dit que non .

Alors je suis retourné chez ses futures beau parents , et je me suis fâché avec l'homme qui ne voulait rien entendre , je suis parti en colère , me disant qu'il fallait bien peu aimer sa femme pour ne pas la faire soigner .

Quelque temps plus tard , la femme revenait vers nous , le visage tuméfié , elle nous raconta qu'il y avait eu une tentative de cambriolage chez elle , bonne poire , je pris initiative, de téléphoné au gendarmes , qui me dirent , qu'ils savaient déjà, surprise ?

Encore quelque temps plus tard , le petit journal de la commune , une femme de 60 ans a l'époque discutait avec moi , terrible celle la , elle savait tout sur tout le monde dans le village et savait faire parler les gens : "-Alors comment ça se passe avec les parents de la copine de ton frère ?

-Je ne les aiment pas particulièrement , mais la femme a comme des crises d' épilepsies et quand je demande a son homme de la faire soigner c'est limite s'il ne me fout pas dehors 

-Et bien sur , tu ne comprends pas pourquoi?

-Bien non , tu me connais , comme ils ont pas de voitures , s'il faut , je la conduirais chez le médecin

-Seulement , elle n'est pas malade

-Que dis tu la , je l'ai vu

-Je te dis qu'a l'est pas malade , elle est juste saoule du matin au soir , comme son gars d'ailleurs , mais lui ça se voit moins "

De faite , elle avait raison , mon frère dans cette famille , prit vite le plie , et étrangement ça future femme , elle ne supportait pas ça et ne buvait pas , c'était la seule de sa famille , le reste suivaient bien les parents .

Donc la suite a été logique .

Ça fait longtemps que ces gens sont parti de la commune , je sais que lui autour de 60 ans a du arrêter de boire , suite a un malaise cardiaque , elle , je ne sais pas ?

Leur fille , mon ex , belle soeur , n'a jamais bu, donc , elle n'a jamais élevé mes neveux dans cette doctrine, ils n'ont jamais été dépendant de l'alcool .

depuis 2009 , mon frère n'a plus jamais touché un verre .

A croire que tout fini par arriver en son temps