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Prise en charge rapide aux Urgences : plusieurs pistes à l'étude
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Utilisateur désinscrit
c est un cas de societe!!de nombreuses familles vont aux urgences pour tout car elles ne peuvent faire l avance des honoraires des medecins!donc il faut reprendre des le debut!!!si tout le monde va chez les generalistes pour les rhumes ou toutes ces petites choses,les urgences seront desencombrees,donc moins d attentes!
encore faut il qu il y ait assez de generalistes pour cela!ds ma ville,cette annee 5 prennent leur retraite,et aucuns ne sont remplaces!!et c est sans compter sur les specialistes,ou la c est pire!et je n imagine meme pas ds les deserts medicaux!!!
il y a beaucoup de chose a revoir!!!!!

Utilisateur désinscrit
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Utilisateur désinscrit
oui @lyss222.je suis d accord avec toi!rares sont les medecins qui se deplacent encore facilement!le mien est un med de campagne,et il y a quelques annees,je bossais ds la pharma du village,et le soir,avant de fermer,on l appellaitr pour savoir combien il lui restait de patients,ou s il avait une urgence ds le coin!et tous les soirs,on restait a deux,jusqu a la fin des visites;car les personnes n allaient pas faire 15km pour aller au med ou au pharmacien!mais ca,c etait un titulaire qui avait la meme vision des choses que mon medecin!aujourd hui,c est fini!la pharma ferme a 19h,et les personnes qui sortent du med a 20h,doivent faire 15km pour aller chercher les medcs!c est une honte!!!
donc plus de med qui se deplacent,plus de possibilites d avoir les conseils,meme par tel pour savoir s il faut aller aux urgences ou pas!!c est la nouvelle medecine;et bien sur,ce sont les patients qui trinquent ,comme d hab!!!

Utilisateur désinscrit
il y a un mois, mon fils nous réveille en pleine nuit, blanc comme un linge, ruisselant de sueur et une douleur dans la poitrine. Vu les antécedents on téléphone de suite et on nous répond "vous savez c'est rare de faire un infractus à cet age" point barre.
Nous l'avons emmenés nous meme aux urgences, mais comment fait on si l'on ne peut se déplacer?
Bien sur que c'est rare à cet age mais pas impossible.

Utilisateur désinscrit
@michelle71,ils ont refuse de se deplacer?c est inadmissible!!!car mon mari de part son metier a deja vu des infarctus chez des enfants de 11 et 13 ans!!!heureusement que vous pouviez vous deplacer!!!mais c est qd meme tres grave!!!
scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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Il y a un gros problème aux urgences, c'est le manque de médecins urgentistes. J'ai vu un reportage sur un SMUR qui supprimait une équipe faute de médecin.
La réponse au 15, ça dépend aussi des endroits et des chefs de service. J'ai la chance que celui qui me répond soit à l'écoute. Il y a 2 semaines, ma petite-fille a appelé le 15 car son fils de 15 mois venait de faire un malaise. Il avait repris connaissance mais elle était très inquiète. Le médecin qui lui a répondu a bien pris la peine de l'écouter et de lui expliquer que le petit avait fait un "spasme du sanglot" et comment procéder si ça se reproduisait.
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.

Utilisateur désinscrit
@cathy51 , oui heureusement plus de peur que de mal dans notre cas, mais pour d'autres??? et pourtant on leur a bien expliqué les antécédents dans notre famille( plusieurs infractus pour deux de mes frères et 1 pour l'un de mes neveux plus moi) c'est rare mais ça peut frapper jeune, souvenez vous du jeune homme de Kolanta 20ans et en pleine santé....Cela m'a marqué.
Par ailleurs je conçoit qu'ils puissent etre débordé en journée, vu que pour obtenir un rendez vous chez son généraliste le jour meme, ça devient très dur.
Bonne journée.

Utilisateur désinscrit
Il est regrettable aujourd'hui de manquer de médecins. On voit cependant de nombreuses personnes qui viennent aux urgences juste un petit bobo qui ne mérite pas une telle prise en charge.
On appelle aujourd'hui le SAMU, en effet un médecin répond pour cibler les symptômes et informer des premiers soins. Ensuite il envoie une ambulance si nécessaire. Le personnel est formé et le matériel médical est normalement vérifié, a savoir qu'il y a que du matériel des premiers secours, encore moins équipé qu'une ambulance des pompiers. J'ai pu lire plus plus haut qu'il manquait de l'oxygène pour une personne, cela peut arriver en fin de journée, n'ayant pu retourner s'équiper de nouveau et venir dans la précipitation, là aussi manquant de personnel. Pourtant quand il s'avère de soins importants et n'ayant de matériel adéquat pour une urgence vitale, l'ambulancier doit appeler les pompiers, ceux-ci arrivant beaucoup plus vite sur place et avec tout le matériel nécessaire et un médecin.
Chacun de ces corps de métier n'ont pas la même formation ni le même personnel. Le tout est de se poser la question si vraiment une ambulance du SAMU suffit ou une ambulance des pompiers. Ce que nous bénéficions autrefois. Aujourd'hui les pompiers interviennent beaucoup plus sur le terrain (accident, routier, feu, etc...là aussi l'ambulance est très souvent nécessaire). Nous en revenons toujours au problème de personnel.
pomme123
Bon conseiller
pomme123
Dernière activité le 05/05/2025 à 16:52
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Ami
bonjour, j'ai eu un accident le 15 juillet 2014, les pompiers m'ont transporté aux urgences d'un hôpital privé , ils m'ont fait une radio de l'épaule ,il n'y a rien, 1mois1/2 plus tard malgré l'attelle pour immobiliser l'épaule j'ai été opérée de l'épaule pour luxation et fracture de l'épaule qu'il n'ont pas vu, je ne pouvais pas marcher même pas une radio du genou pour lequel je souffrais, 3 mois après on m'a fait une IRM du genou j'avais des micros fractures du cartilage de l'articulation du genou et ce jour de l'accident, ils m'ont dit debout c'est un claquage ça passera tout seul et j'ai demandé une ambulance ils n'ont pas voulu, je n'arrivais pas à monter dans la voiture, ce sont 2 ambulanciers qui attendaient leurs patients qui m'ont aidé mais arrivée chez moi impossible de sortir de la voiture, on a appelé les voisins qui m'ont aidé, actuellement je marche avec une canne un an après, j'ai un très mauvais souvenir des urgences ,une très mauvaise prise en charge
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pomme123
leparigo
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leparigo
Membre Ambassadeur
Dernière activité le 27/04/2025 à 10:20
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Ami
Tout est dit dans les 4 ou 5 premiers messages et j'ajoute que vous n'aurez jamais un généraliste au téléphone dans une importante agglomération, donc Madame la Ministre et Monsieur Grall ne cherchez plus et excusez moi du peu 3 années se sont déjà écoulées!.
Pour les " bed managers" (pour beaucoup, no comprendo!) mieux vaut un lit de camp et des urgentistes qu'un bon Bed et attendre 4 à 6 heures avant de presque claquer!! vous voyez ce que je veux dire?
Ou alors " lit " est un terme technique pour, accueil, gestion,intervention, et soins.( BED pour les branchés, par expérience quand la langue de Shakespeare est utilisée, ça sent l’esbroufe ! )
leparigo
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Leparigo Delaciotat
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Julien
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Julien
Dernière activité le 23/04/2025 à 13:36
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Un rapport, remis le 22 juillet à la ministre de la Santé, suggère des pistes pour garantir une prise en charge rapide et adaptée aux Urgences. Revaloriser le métier d'urgentiste et inciter les médecins libéraux à recevoir des patients à l'improviste font partie des propositions.
C'est en mars 2015 que la ministre de la Santé, Marisol Touraine, avait demandé à Jean-Yves Grall, directeur général de l'Agence Régionale de Santé (ARS) du Nord Pas-de-Calais, de lui faire des propositions pour une nouvelle organisation territoriale des services d'urgences. L'objectif était simple : permettre à tous les Français d'accéder "aux soins urgents en moins de 30 minutes", - une "promesse présidentielle", rappelait-elle dans sa lettre de mission - tout "en répondant aux difficultés de recrutement d'urgentistes dans certains endroits."
D'après M.Grall, l'un des problèmes majeurs des services d'urgences, c'est que "l'afflux n'a cessé de croître pour une majorité de motifs ne le justifiant pas". En effet, il est passé de 7 millions de passages en 1990 à 18 millions en 2013. Alors que "la proportion d’hospitalisation après passage dans les services d’urgences, supérieure à 30% en 1990", s'est stabilisée aux "environs de 20%".
Cet afflux parfois injustifié contribue à la "désillusion" des urgentistes, explique Jean-Yves Grall. Ils se retrouvent obligés de réorienter les malades, faisant office de "gardiens de la porte d'entrée". C'est donc pour maintenir les vocations, et donc, les effectifs, que M. Grall préconise de recentrer l'activité des urgentistes sur leur spécialité, par exemple en confiant la gestion des lits à des professionnels dédiés, des "bed managers".
Des majorations tarifaires pour les généralistes qui reçoivent des patients à l'improviste
Diverses pistes ont été proposées par M. Grall pour désengorger les services et mieux orienter les patients, selon que leur état relève d'une "urgence vraie" ou d'autres "soins non programmés". Il suggère ainsi "une participation des médecins généralistes au sein des plateformes de régulation médicale, et notamment en journée", reconnaissant toutefois la lourde "charge de travail en journée dans les cabinets libéraux". Pour les inciter à admettre sur leur planning des patients non programmés, des majorations de tarifs pourraient ainsi être instaurées pour ce type de consultations.
Parmi les autres propositions de M. Grall figure la création d' "un réseau territorial de l’accès aux soins non programmés", placé sous l'égide des ARS. Ce réseau s'appuierait sur une meilleure coordination des professionnels de santé ainsi que sur trois types de structures pour une prise en charge graduée : les principaux services d'urgences, mais aussi des "antennes" plus petites, et des établissements "labellisés" pour les "soins non programmés", comme des maisons de santé.
M. Grall préconise également de créer des "équipes de territoire de médecins urgentistes" mobiles, ou encore d'élaborer de "nouvelles filières de prise en charge", par exemple pour la traumatologie dite "petite" (petites plaies, entorses), qui "représente 40% des passages aux Urgences".
De son côté, le ministère de la Santé a annoncé qu' "un groupe de travail sera mis en place afin de préciser les modalités de mise en œuvre des recommandations retenues".
Francetvinfo.fr