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Dépénalisation du cannabis : l'avis d'un psychologue
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Utilisateur désinscrit
La difference c est que nos medicaments si nous ne voulons pas souffrir ou nous soigner nous sommes obliges de les prendre ! Par contre la drogue n est pas une obligation !!

Utilisateur désinscrit
Ne vous faites pas de soucis , la dépénalisation , n'est pas pour demain , mais pourtant , en s'en servant comme un médicament , pour soulager nos douleurs , ça pourrait faire du bien , mais nous vivons dans un lieux , ou tous ce qui peu nous faire du bien a l'air de faire du mal au dirigeants et bien portants , il ne faut pas espérer une dépénalisation , comme pour les pensionnés une augmentation, c'est notre triste réalité , tout ce débat , a un ans des élections est stérile , car nous savons tous que rien ne changera, pour le bonheur des uns , et le malheur des autres

Utilisateur désinscrit
le cannabis suivit enmlieu thérapeutique ne risquue rien car gerret par les médecins.si vous fumez 15 pet par jour la y'adependance.Faut savoir gérer son produit.la médecine à prouver que l'on peut en faire bonne usage.sans être en infraction
Elonine
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Dernière activité le 03/04/2025 à 16:33
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Ami
Bonjour,
J'insiste pour les anglais les médicaments sont des "drugs", tout est dit. Je perds plus de neurones avec les médocs qu'avec le cannabis à mon humble avis, levothyrox (cœur), ixprim(morphine...), cymbalta (je présume que je vais avoir une surprise), Lexomil( addiction et j'en passe)...Perso, si une bouffée pouvait me soulager, je prends! Bonne journée
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Elonine
MIMINE
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j'utilise le cannabis pour dormir mieux, avoir un peu d'appetit, et ca me rend tres gaie. J'ai commence dans ma jeunesse, et je continue a 72 ans...
J'aimerais savoir ou est le probleme?
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marie brigitte prouvost
maritima
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Dernière activité le 27/04/2025 à 19:59
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Pour toi, apparemment, nulle part @MIMINE mais ....tout le monde n'est pas comme toi et c'est là qu'est le problème! La sensibilité à un produit est strictement individuelle : on ne sait jamais avant ce que ça va donner après . Bonne journée!
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
jmams33160
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jmams33160
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Tu as raison. J'essaye de me sevrer des mes cachetons. Je suis un traitement naturel. J’espère si je reste malade autant de temps que toi que je ne prendrai plus de cachetons. Et toi tu as quoi comme traitement?
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Mr Traoré
maritima
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Dernière activité le 27/04/2025 à 19:59
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Je disais à MIMINE que tout le monde n'était pas comme elle mais perso, je n'ai aucun problème puisque je n'ai jamais pris de cannabis . Bonne journée @jmams33160 !
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.

Utilisateur désinscrit
Le psychologue explique que le cannabis entraîne une dépendance, un trouble des fonctions exécutives chez les adolescents... Qu'est-ce que j'en ai à faire ? J'ai 48 ans ! Il n'y a pas pour moi d´addiction, mes prises de cannabis étant ciblées en fonction de mon état de santé, sans tabac, je ne fume plus, mais avec ma petite vapoteuse ! Je ne suis pas fort dans tout, mais là je gère...
zenlove
zenlove
Dernière activité le 28/12/2018 à 21:24
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Les antidouleurs comme la morphine et les opiacés (tramadol par exemple) sont prescrits par les médecins, sans problème, aux patients atteints de spondylarthrite, par exemple - ou autres pathologies très douloureuses. Or les effets secondaires de ces médicaments sont bien plus dangereux pour l'organisme que ceux du canabis géré avec modération.: addiction bien plus importante - lente détérioration des systèmes nerveux et digestif -problèmes respiratoires etc...le liste est longue
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lailaine
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lailaine
Dernière activité le 20/04/2025 à 21:55
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"Le cannabis entraîne une dépendance, un trouble des fonctions exécutives chez les adolescents. Il altère la concentration, la mémoire, la prise de décisions, l'analyse des situations. Chez des personnalités prédisposées, il peut avoir un impact sur le déclenchement d'une maladie psychiatrique. Enfin, comme pour toute substance psychotrope, il peut favoriser la survenue d'accidents de la circulation, une perte de contrôle", explique le psychologue.
Sur la question de la dépénalisation, Jean-Pierre Couteron estime qu'il faut trouver un "système intermédiaire" car "la prohibition qu'on voudrait nous imposer, coûte très cher et n'a pas apporté de résultats [...] quant à la libéralisation absolue, ce serait une catastrophe assez évidente pour tout le monde".
Le spécialiste évoque trois approches très différentes de la consommation de cannabis. L'exemple "libéral" du Colorado aux Etats-Unis où le cannabis est devenu un produit de consommation courante. Le cas de l'Uruguay où l'on a un "monopole d'Etat". Les consommateurs se déclarent auprès de l'Etat et doivent respecter des règles d'usage en échange de cet accès. Enfin, le système portugais basé sur une "dépénalisation" dans le sens où l'usager simple n'est pas sanctionné. En revanche, les mineurs, eux, sont orientés vers des dispositifs de soins pour limiter les risques de dérives.