- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Revue de presse
- Dépénalisation du cannabis : l'avis d'un psychologue
Dépénalisation du cannabis : l'avis d'un psychologue
- 3 924 vues
- 295 soutiens
- 218 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaireCompte suspendu
Je connaissais "par toutatis" mais pas "par simonie", he he..
Oui, bon !..
Voir la signature
Carpe Diem
gisela
Bon conseiller
mansouave ca t arrive jamais de faire des fautes
Voir la signature
gislaine
Utilisateur désinscrit
@manosuave , bonsoir.
Pour ton information, dire par simonie veut dire doucement.
Amicalement.
Patrick...........
Compte suspendu
Ah ben alors, on peut plus blaguer maintenant ?..
Voir la signature
Carpe Diem
pipit8457
Bon conseiller
en Amérique, dans certains états quand on soigne une personne on lui donne du cannabis, je l'ai vu dans un reportage sur le câble. la morphine est une drogue, et nous même produisons de la morphine en cas de douleur, notre cerveau est bien conçu, mais il arrive qu'il faut suppléer pour soulager et pourquoi pas le cannabis. dans les tribus, ils mâchonnent la coke à longueur de journée ils sont pas morts. bon les dents c'est pas top ! bien encadrer pour éviter tout débordement, médicalement le cannabis peut soulager, et s on m'en donner je le prendrais car les douleurs insoutenables épuisent et le manque de sommeil amène à la dépression
Voir la signature
julie kerespars
gisela
Bon conseiller
Il y a une différence entre plaisanter et se moquer
Voir la signature
gislaine
Compte suspendu
Parce que si vous me cherchez sérieusement, moi je vais vous dire que ça s'écrit "parcimonie" et qu'on dit "AVEC parcimonie" , ou alors "parcimonieusement"..
Pour votre information..
Voir la signature
Carpe Diem
Compte suspendu
Oui, eh bien moi, je plaisante, ne vous déplaise..
Voir la signature
Carpe Diem
maritima
Bon conseiller
Ah non ! @pipit8457 les indiens des Andes ne mâchent pas de la coke mais de la coca , ce qui n'est pas pareil. La coca ( qui est une plante), transformée par des procédés chimiques et par des additifs pas clairs du tout, finira par donner la coke mais .... les effet du produit fini n'ont rien à voir avec la plante de départ.
Voir la signature
maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Compte suspendu
Par contre l'opium, j'ai déjà testé, beaucoup plus naturel et très agréable.. et la fumée est très douce, elle ne déchire pas les poumons comme le cannabis..
Voir la signature
Carpe Diem
Donnez votre avis
Enquête
Articles à découvrir...
29/04/2024 | Nutrition
27/04/2024 | Actualités
Comment la saison printanière favorise-t-elle notre santé et notre bien-être ?
26/04/2024 | Actualités
22/04/2024 | Droits et démarches
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
lailaine
Bon conseiller
"Le cannabis entraîne une dépendance, un trouble des fonctions exécutives chez les adolescents. Il altère la concentration, la mémoire, la prise de décisions, l'analyse des situations. Chez des personnalités prédisposées, il peut avoir un impact sur le déclenchement d'une maladie psychiatrique. Enfin, comme pour toute substance psychotrope, il peut favoriser la survenue d'accidents de la circulation, une perte de contrôle", explique le psychologue.
Sur la question de la dépénalisation, Jean-Pierre Couteron estime qu'il faut trouver un "système intermédiaire" car "la prohibition qu'on voudrait nous imposer, coûte très cher et n'a pas apporté de résultats [...] quant à la libéralisation absolue, ce serait une catastrophe assez évidente pour tout le monde".
Le spécialiste évoque trois approches très différentes de la consommation de cannabis. L'exemple "libéral" du Colorado aux Etats-Unis où le cannabis est devenu un produit de consommation courante. Le cas de l'Uruguay où l'on a un "monopole d'Etat". Les consommateurs se déclarent auprès de l'Etat et doivent respecter des règles d'usage en échange de cet accès. Enfin, le système portugais basé sur une "dépénalisation" dans le sens où l'usager simple n'est pas sanctionné. En revanche, les mineurs, eux, sont orientés vers des dispositifs de soins pour limiter les risques de dérives.