Alcool et couple

Ton médecin a peut être raison si ta vie est invivable avec ton mari, car des fois ( mais c'est pas sure) l'alcoolique peut comprendre qu'il peut tout perdre, qu'il est dans l'addiction que c'est une maladie et qu'il doit se prendre en charge, car la médecine n'as pas de réel solution efficace contre l'alcoolisme.

Un travail sur soi est nécessaire pour se sortir d'une dépendance, les médicaments ne font que remplacer le problème mais ne le résous pas ( pourquoi passé d'une addiction a une autre)

Bon courage.

A bientôt si tu le veut bien

Carmeline

A toutes celles qui subissent un alcoolique à la maison, sachez qu'il y a un espoir quand même , ne désespérez pas.

Car j'en suis la preuve.

Carmeline

Message d'espoir.

Sortir de l'alcoolisme c'est possible.

bonjour

Merci carmeline, ayant des problèmes  de santé en ce moment , je me polarise moi sur les actions de mon mari et finalement je me rend compte que je vis à coté de lui et plus avec lui .

merci 

bonjour

toujours aussi peu d’intérêt , le temps passe est rien ne bouge .Je sombre dans la dépression et me demande si moi aussi je ne vais pas me réfugier dans l'alcool .

bonne journée à tous 

 Bonjour

je relance le sujet

Que faire avec une personne que je considère comme alcoolique (5 bouteilles de vin en 3 jours sans compter bière double en metal et deux petites bière en verre) et une bouteille dejà ouverte le 4eme jour (midi).

Quand est on alcoolique? La quantité? Juste le fait de ne pas pouvoir s'en passer? Avoir le vin mauvais?

Bref j'aimerais aussi parler des constatations et des conséquences de l'alcoolisme. J'ai remarqué que son oreillé chaque nuit prenait beaucoup de transpiration et j'ai cru lire que c'était lié. Quels sont les signes cognitifs à part les tremblements et l'agressivité en cas de manque et suite à une consommation au long terme?

Je constate aussi que les mêmes phrases reviennent que c'est la faute de l'autre ce qui permet le droit de boire et de continuer vu que la personne ne peut pas s'en empecher. Et aussi "je décompresse". Bref, merci pour vos interventions et vos expériences car ce genre de situation parait sans issue quand la personne refuse de se prendre en charge, d'accepter qu'elle est malade et d'aller en cure et ne se rend pas compte des dégâts collatéraux.

merci 

Les périodes de fêtes n’arrange rien difficile les bon vœux quand on commence une année avec les mêmes soucis .

La mémoire qui flanche , des problème de circulation , mal aux jambes mais ne pas vouloir faire la connexion avec l'alcool voila les effets secondaires que je constate et supporte de plus en plus mal pas dégressivité plutôt apathique , absent déconnecté des autres dans sa bulle .bref toujours a coté de la plaque .

Je regrette juste mon manque de courage pour fuir tout ça .

bonne année 

Bonjour. Ce sujet serait pour moi dune grande aide. Mon conjoint et alcoolique et diabétique. Le pire c'est que c'est moi qui doit faire les courses et m'assurer qu'il ai bien l'alcool qui lui faut. Je suis avec lui soeur 3 ans et il a diminue de moitie sa consommation. Il buvait du vin et Ricard, maintenant il est à 20 bières par jour en moyenne. Y'a des jours ou il arrive à se contenir et d'autre ou il se bourre la gueule. Dans les débuts je devais régulièrement l'amener au lit. Il s'ecroulait devant le lit ou ne tenais tellement pas bien debout que je devait l'accompagner. 

C'est de plus en plus dur de le soutenir car j'ai moi même des soucis de santé et je le voit se suicider à petit feu sans pouvoir faire grand chose . 

Je suis complètement perdue car j'ai refusé de passer les fêtes chez ma soeur parce que je savais qu'il allait boire et finir par sortir des phrases qui allaient énerver . Quand il boit trop il croit du noir et s'en prend à tout le monde . Heureusement ce n'est qu'en paroles mais c'est très vexant . Les gens finissent par ne pas vouloir le voir car il est tellement lourd que ca soule tout le monde . Et quand je lui dit il me répond que les autres aussi sont lourd quand ils boivent . Sauf que moi je fini par passer une mauvaise soirée et devoir le surveiller et l'engueuler sil va trop loin. 

Voilà . Ca fait du bien de le dire même si cela ne changera pas grand chose à ce que je vit .

Merci de m'avoir lu

@florefaune je me suispiseee ces questions aussi mais heureusement pour moi je ne sombre pas dans l'alcool.

J'espère avoir de bonnes nouvelles vu que le temps passé depuis le début du sujet

Bonjour

Je découvre ce sujet qui date donc je ne sais pas s'il trouvera un écho aujourd'hui.

Il existe un traitement efficace contre l'alcoolisme ; c'est le baclofène. 

J'étais alcoolodépendant pendant près de 15 ans et ce traitement m'a délivré de ma dépendance. Je suis heureux aujourd'hui. 

Si vous voulez essayer d'aider votre conjoint, vous pouvez vous renseigner sur le site baclofene.com

Je comprends parfaitement ce que les femmes d'alcooliques peuvent ressentir face à la maladie de leur conjoint. J'ai la chance d'avoir une femme qui m'a toujours soutenu car elle savait que ce n'était pas qu'une question de volonté pour arrêter, mais une vrais maladie. Mais je sais aussi que je l'ai fait énormément souffrir, à cause de cette maladie incontrôlable ... 

Ma femme m'a accompagné et soutenu tout au long de mon parcours avec le baclofène. Elle a été plus que formidable. Et je tiens vraiment à vous féliciter, vous les femmes, d'avoir cette faculté de ne pas simplement culpabiliser celui qui boit avec excès.