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Accepter ses handicaps.
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Utilisateur désinscrit
Le respect c'est de mettre en avant la personne avant sa différence (en occurrence son handicap)
Malheureusement le manque de respect envers les personnes handicapées je le vois quasi quotidiennement.

Utilisateur désinscrit
bonjour
Je rajouterais au post de marmoro, qu'il n'y a pas QUE les employeurs qui nous méjuge, mais peut-être plus dur les "copains, copines, ""ami(es) de travail ou pas d'ailleurs!!!) et ça c'est très dur à vivre car j'en est eu l'expérience
clt

Utilisateur désinscrit
Le sage,
jJe le sais pour la simple raison que je travaillais en usine, et les moqueries et les "elle fait du cinema" pour se faire arréter, je les ai entendu, c'est bien pour cela que depuis que je suis en arrét je donne aucune nouvelles aux collègues de travail comme sa ca evitent qu'ils racontent n'importe quoi. Ils ne savent pas ce que je supporte, cela ne se voit pas alors c'est vite fait de juger, je n'aurais qu'une chose à leurs dire quand on ne sait pas on s'abstient de commentaire. Je souhaite pour eux que je n'en rencontre pas pendant mes sorties car la sa va mal se passer, ils savent que j'ai un tempérament impulsif qu'ils se mefient bien.

Utilisateur désinscrit
Comme le dit si bien grenouille, avons-nous, nous-même, fait preuve de compassion, quand tout allait bien pour nous, vis-à-vis de certaines personnes dont nous avons ignoré la souffrance tant qu'elle n'a pas été visible comme le nez au milieu de la figure ?

Utilisateur désinscrit
Damedepic, pour moi il serait difficile de répondre à cela la fibro je ne la connaissais pas avant de l'avoir, les personnes autour de moi non plus, par contre de la compassion je suis sure que j'en ai eu tout les membres de ma famille ainsi que de celle du côté de mon mari que j'ai perdu étaient tous atteint de cancers jusqu'à un neveu qui aurait l'age de mon fils soit 32 ans si il n'était pas décédé à l'âge de trois ans lui aussi d'un cancer de l'estomac. Je pense avoir fait souvent preuve de compassion et d'empathie, mais je ne me rappelle pas souvent les avoir surtout dans le milieu professionnel.
kelily
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kelily
Dernière activité le 15/05/2025 à 20:56
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Ami
Bonjour , je suis désolé je ne supporte pas le traitement j'ai prie la petit dose ce matin avec un médicament pour l'estomac , j'espère que ça va marcher , ou je vais aller voir le médecin si il a une autre solution , MERCI pour votre soutien passer une agréable journée KELILY
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KELILY
odysee
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odysee
Dernière activité le 11/05/2025 à 20:53
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Bonjour à tous,
Je viens de lire le post de grenouille, je me retrouve tellement dans ce qu'elle dit sur le monde du travail. Vous donnez le meilleur de vous-même quand vous êtes en activité, et lorsque vous n'êtes plus là , au début on prend de vos nouvelles, on reconnaît même qu'avant votre arrêt, vous fournissiez plus de travail qu'un temps plein (tiens donc?) et puis un peu plus tard, on ne se souvient presque plus de vous (au suivant), le pire peut-être c'est de n'voir pas de nouvelles de certaines collègues avec qui vous avez travaillé pendant plus de 25 ans.....tant pis, c'est la loi de la vie.
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odyssee

Utilisateur désinscrit
J'avais un travail de solitaire. Mes collègues, je ne les voyais que sur deux petites journées deux fois par an à Paris.
Je n'en attendais donc rien et apparemment c'est moins douloureux ainsi...

Utilisateur désinscrit
Bonjour damedepic,
C'est sur qu'il vaut mieux travailler seule que accompagné de gens qui te critiquent en permanence et je ne parle pas que des ouvriers, dés que tu es malade même la direction si met. Si tu peux pas travailler tu n'as qu'a resté chez toi quand tu entends sa aprés 20 ans de loyaux services il y a de quoi déprimer.
morma
kelily
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kelily
Dernière activité le 15/05/2025 à 20:56
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Ami
Bonjour, moi aussi je travailler quand j'avais pas de problème de santé il mon licencier non acte au poste de travail !! les collègue nous oublie très vite demande plus jamais de nouvelle mes je me dit souvent que personne et a l'abris d'une maladie que on soit pauvre ou riche ??? bonne journée KELILY
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KELILY
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Utilisateur désinscrit
Parfois j'ai du mal à accepter mes limites. Celles que m’imposent la polyarthrite dont je souffre. J'essaie de me dire que rien n'est grave, qu'il y a une solution à tout. Mais parfois, en crise, le moral flanche. Ne pas pouvoir ouvrir une simple bouteille d'eau m'irrite. Avoir mal, sournoisement, en permanence m'agace, pire, m'épuise surtout. Et parfois je suis vraiment limite... mais bon ma soeur lutte contre son second cancer alors je n'ose me plaindre. Pouvez-vous me donner des tuyaux afin de remédier à mes manques. Partager fait déjà un bien fou ! Il m'arrive de rester deux jours enfermée parce que je ne suis plus capable de me lever. Non pas physiquement mais moralement. Et bien sûr c'est encore pire car mes articulations n'étant pas chaudes, je me lève courbaturee avec à chaque fois un début de lumbago. .. je m'en veux mais je suis un peu fatiguée de toutes ses luttes. Même si mon combat social arrive enfin ...à sa fin. J’estime que je ne suis plus rien dans la société mais comme j'ai 59 ans, je me dis que cela n'est pas grave. Néanmoins, la méthode couet à ses limites lol