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Votre degré de stress et d'anxiété ?
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
perso je ne suis pas quelqu'un de stressée ni par ma maladie ni par la ie en général, par contre j'ai d'énormes coups de déprime qui n'ont rien à voir aec la fibro mais avec des éènements personnels parfois très lourds à porter
courage!
Utilisateur désinscrit
Aujourd'hui je suis a mon maximum en matière de deprime et d'anxieté et c'est un tout la fibro plus des soucis personnel, je me demande souvent si je vais reussir a me sortir de tout ça, perso je ne crois plus en rien........
dominiquetb
Bon conseiller
Ca ira mieux demain ! Et puis l'anxiété pourrit la vit par anticipation ! en plus tu perds ton magésium et tu as enc ore plus de troubles :
relaxes toi fais quelque chose que tu aimes, écris sur papier la source de ton anxiété et jetes le, bref aimes-toi !!!!
Courage
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<p>Amitiés</p>
Utilisateur désinscrit
Le stress? Une horreur! tout me stresse. Mes douleurs,mes enfants , j'en ai 4 de 17,20,23 et 24 ans. Mon 2ème s'est marié cet été, est papa d'une petite fille depuis 15 jours, et avec sa femme, c'est pas la gloire! Elle ne veux pas nous voir....Je suis épuisée, physiquement et moralement, je n'arrive réellement plus à gerer quoi que ce soit et ça aussi ça me stresse. Je ne sort plus de chez moi seule (je suis en batiment) trop tétanisée à l'idée de croiser quelqu'un! Je suis reconnue phobique sociale, mais ça augmente énormément ma fibromyalgie!
Utilisateur désinscrit
Le stress est l'ennemi juré numéro 1. Les fibromyalgiques sont plus sensibles à tout : le bruit, la lumière, les gens, les douleurs, les changements de saisons, bref, la liste est longue.
Anxieuse de nature, mon degré de stress ne s'est pas arrangé avec la fibromyalgie, loin de là !
On parle d'hypersensibilité, au début je trouvais ça un peu démesuré, mais je vois bien que c'est le cas, un rien prend des proportions énormes et la gestion de ce stress devient un vrai combat.
Facile à dire de rester calme, zen quand on est pris dans cette spirale peur-stress. Oui, il faut essayer de relativiser, oui il faut apprivoiser ses craintes, mais je dirais que la fibro n'arrange rien.... et comme tout cercle vicieux : stress = augmentation des symptômes fibro = stress = panique = douleurs encore importantes ...
DEDELLE
Bon conseiller
je suis une éternelle anxieuse
et une éternelle stressée de la vie
comme tout les fibros, hélas
Utilisateur désinscrit
Ma fibromyalie est apparue alors que je vivais une situation de maltraitance intra familale excessivement grave et qui a duré en tout plus de 8 années de suite. Tu imagines de suite le niveau de stress.
Quand j'ai quitté la maison, j'ai craqué nerveusement, insomnie, hypersomnie.
A force de volonté (je hais ce terme et dire ça mais c'est vrai que j'ai dû taper dessus et étudier beaucoup plus que qui que ce soit d'autre à cause de mes soucis de mémoire), j'ai réussi à obtenir un diplôme. Ca m'a donné de l'énergie pour démarrer ma carrière.
J'ai démarré celle-là et je suis toute de suite tombée sur des postes de travail à l'ambiance abominable jusqu'au dernier où j'ai vécu un harcèlement moral d'équipe qui m'a plongé dans la fibromyalgie jusqu'au cou. Impossibilité de marcher 100 mètres, difficultés à m'habiller, je ne faisais plus mon ménage etc.
J'ai été obligée de partir tellement mon stress était grand mais de toute manière, depuis, mon stress n'est pas retombé. Je sais que c'est mauvais pour mon corps mais la pression administrative, sécu etc. ne fait que renforcer le stress.
La maladie EST stressante car elle vous rend incapables et vous êtes donc forcément davantage déçus de vous et stressé car vous n'y arrivez pas...
C'est tout le problème de la fibro. Il faut que tu te relaxes quitte à voir un psy pour parler de ta vie et relativiser. Je sais c'est facile à dire et j'ai du mal moi-même mais ne laisse pas le stress gagner sur toi.
Il y a quelques jours, j'ai entendu une phrase de Aung San Suu Kyi qui disait "quand j'étais en résidence surveillée, j'étais tout de même libre, car je n'avais pas peur". C'est vrai, la peur nous emprisonne et nous empêche d'être libre.
Parfois, tout ce que ça prend c'est une décision : je ne cèderai pas à la peur et j'avancerai, quoi qu'il arrive.
Fais de toi TA priorité. Etre égoïste, ce n'est pas MAL quand on est malade. Il le faut. Le fibro bouge tout le temps, est empathique, pense toujours aux autres avant lui : cesse. Fais ce qui est bon pour toi quitte à perdre des choses mais il faut vraiment que tu sois ta priorité.
Et surtout cesse d'avoir peur... Et si tu n'y arrives pas seule, un psy pourra t'aider, j'en suis sûre.
dominiquetb
Bon conseiller
joli témoignage Delphine, je me suis reconnue en partie dans ton parcours ; et bravo d'avoir compris que pour aller mieux il faut être egoîste et penser à soi ; sinon qui le fera ?
Grande lucidité. (j'ai mis 10 ans à comprendre cela !)
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<p>Amitiés</p>
DEDELLE
Bon conseiller
moi elle m'est apparue, cette fichue fibro suite à deux décès successifs, mes parents à onze mois d'intervalle, mon père d'une pneumopathie foudroyante et est décédé dans mes bras et ma mère d'un cancer des os et je l'ai accompagné dans son long sommeil personnellement, ça marque je peux vous dire, et des antécédants du genre ; placement à la DASS à onze mois, maltraitance infantile avant onze mois, des difficulter pour enfanter, une vie pénible
Utilisateur désinscrit
Comme Fibrothon, ma fibro a déclenchée quand j'ai perdu mes parents d'un cancer en 2001 et 2004
Quand nous souffrons, cela augmente notre anxiété et le stress. Moi je suis de nature à m'inquiéter pour tout et pour tout le monde.
Je me culpabilise de ne pas être capable de faire mon ouvrage à la maison et que ma maison n'est pas rangée comme je veux!
Il faut apprendre à vivre au jour le jour, même heure par heure.
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Utilisateur désinscrit
Avez-vous un stress important ?
Me concernant, je suis une anxieuse de nature et maintenant avec la fibromyalgie et son cortège de symptômes, je crains toujours d'avoir quelque chose d'autre que la fibromyalgie. Malgré tous les examens, les bilans sanguins, les visites chez les médecins, rhumato, neurologue, etc... je devrais être "soulagée" mais ce mal-être, ces douleurs, en ce moment ces picotements dans les jambes, me font toujours cogiter. Après, faire du tourisme médical, ce n'est pas un bien non plus, il faut aussi savoir s'arrêter.
Aujourd'hui, je me sens fatiguée et déprimée. Je suis de nature calme mais je trouve que j'ai un stress intérieur important. Même si je reste dans l'ensemble positive en gardant l'humour ça reste parfois bien difficile.
Note positive : garder le cap et surtout le moral.