Coronavirus : doit-on craindre une seconde vague ?

et, ce soir :

https://chicagobiomedicalconsortium.org/education/cbc-covid-19-seminar-series/ (traduit)

Série de séminaires COVID-19 de la SRC

Logo de la série de séminaires COVID-19 du CBC

Le Chicago Biomedical Consortium (CBC) et les récipiendaires du prix CBC COVID-19 Response Award présentent une série de réunions virtuelles (via ZOOM) au cours desquelles nos conférenciers invités discuteront des recherches biomédicales en cours sur le SRAS-CoV-2/COVID-19. L'objectif de cette série de séminaires est de créer un forum centré sur Chicago qui rassemble des personnes autour des nombreux aspects de COVID-19 et de fournir une nouvelle forme d'interaction pour échanger des idées et des commentaires.

La série de séminaires COVID-19 de la CBC aura lieu chaque quatrième jeudi du mois. Vous trouverez ci-dessous une liste des dates de réunion et enregistrez ces dates dans votre calendrier. L'inscription et les détails de la réunion seront disponibles au début de chaque mois.

À VENIR :

Date : Jeudi 22 avril 2021
Heure : 16 h 00 - 17 h 00
Lieu de la réunion : Virtuel via ZOOM
Conférencier : Savas Tay, PhD
Professeur associé d'ingénierie moléculaire
École Pritzker d'ingénierie moléculaire
Université de Chicago
Titre de la conférence : Reprogrammation de médicaments pour le COVID-19 et les futures pandémies.

L'inscription est obligatoire. Un lien vers le webinaire sera fourni lors de l'inscription.
▸ Inscrivez-vous ici ((()))

Le Dr Savas Tay est professeur associé à la Pritzker School of Molecular Engineering et à l'Institute for Genomics and Systems Biology de l'université de Chicago. Son objectif scientifique est de comprendre "comment la vie fonctionne" du point de vue de l'ingénieur, et de manipuler les systèmes biologiques pour résoudre des problèmes majeurs en médecine. Le Dr Tay adopte une approche de la recherche biologique fondée sur la biologie des systèmes et la biotechnologie, en développant des technologies permettant des mesures quantitatives à haut débit de cellules vivantes uniques et en intégrant la biologie expérimentale et la modélisation mathématique.

Un aperçu de l'exposé du Dr Tay :

Il existe un besoin urgent d'agents antiviraux pour traiter l'infection par le SRAS-CoV-2, car les médicaments actuels se sont révélés inefficaces lors des essais cliniques, et les vaccins ne sont pas efficaces pour les patients déjà infectés. Le médicament idéal serait efficace, sûr et disponible par voie orale pour traiter les patients avant leur admission à l'hôpital. Le chemin le plus court vers l'utilisation clinique d'un médicament est la réadaptation de médicaments qui ont un profil de sécurité établi chez l'homme. Après avoir passé au crible une bibliothèque de 1 900 médicaments connus, nous avons trouvé près de 50 médicaments candidats qui présentent une large activité antivirale contre le SRAS-CoV-2 et le virus du rhume OC43. L'un de ces médicaments est le masitinib, qui a été précédemment développé pour traiter le cancer. Le masitinib inhibe fortement deux bêta-coronavirus distincts et plusieurs picornavirus à l'origine de maladies humaines. Le masitinib est un médicament disponible par voie orale (contrairement au Remdesivir), ce qui en fait un candidat très solide pour une utilisation chez les patients qui ne sont pas hospitalisés, et il agit en inhibant la protéase principale du virus, ce qui le rend moins susceptible d'être affecté par des mutations sur la protéine spike. Je parlerai également de notre pipeline de découverte de médicaments et des développements technologiques en matière de criblage à haut débit, ainsi que de la manière dont ces outils pourraient être appliqués aux futures pandémies pour la découverte rapide de médicaments efficaces et adaptés.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

!!!

@SepSepien  merci pour ces informations. C'est quand même étonnant que ce soit fin avril 2021 que l'on en arrive à de telles conclusions : des produits existants qui "ont un bon profil de sécurité" on se demande combien de personnes sont décedées depuis une année, après avoir reçu seulement du doliprane sans avoir bénéficié de ces produits, un an de désastres évitables. J'espère bien que les questions de qui a pris de telles décisions et pour quelles raisons seront posées et que les responsables auront à y répondre.

Ton 17h08   @SepSepien‍    La conclusion  précise bien  la prudence de mise  quand l'HCQ  est administrée à des doses inhabituelles lors d'un épisode de Covid-19 . Je crois me rappeler que c'était cela qui,  au début,  posait pb,  . Dès que j'ai un peu de temps je retrouve  les documents afférents et les relis.
!!!!!!!!!!!!

@maritima La prudence, évidemment les médecins qui l'utilisent, et l'ont utilisée, en france comme dans nombre de pays en font preuve et n'ont fait mourir personne, par contre des études ont donné des doses de cheval, plus d'un gramme le premier jour, étonnons-nous qu'il y ait des résultats douloureux, voir mortels !

je ne cherche pas a intervenir ici, mais je viens de voir une vidéo américaine et officielle  sur une étude faite sur le nombre de décès imputable au Covid, hors il s'avère  que seulement 6% des décès sont réellement imputable au Covid, le reste cétait des personnes en fin de vie ou avec une pathologie très avancée

je n'interviendrait plus

bonsoir

@krisslo57 en aucune façon je ferai confiance à ces gens que vous citez.

Une confiance aux Professeurs Raoult, Perronne : oui

@12byron‍  je soutiens totalement votre Rapport

Avant le covid, combien mouraient du cancer, diabète, hypertension, AVC, crise cardiaque, accidents de voiture etc....et ce, Mondialement . Pourtant personne ne les évoquaient ou petite journée "consacrée à" pour un pseudo Devoir de mémoire.

Maintenant, "que ces maladies sont éradiquées"  survient le covid ? case facile et la journée de deuil national (évoquée) est une empathie déplacée au même titre que les "marches blanches" et les commémo chaque jour qui sortent souvent de nulle part. L'Histoire est modifiée perpétuellement autant que les CV.

Bonne soirée

@maritima  Bonsoir, les doses d'HCQ qui ont posé problème au début de la pandémie n'étaient pas celles préconisées par le Pr.Raoult, elles étaient bien trop élevées et données trop tard ! D'où le "procès" inique fait à ce médicament...

Je rejoins donc l'avis de @Stefan‍ appuyé par l'article canadien transmis par @SepSepien‍ 

 A toutes fins utiles ......ou inutiles       

Covid-19: un an plus tard, l'hydroxychloroquine associée à une mortalité accrue

Covid-19 hydroxychoroquine

Publié  le 19/04/2021 à 09:00

Plus de 146 études sur l'efficacité de l'hydroxychloroquine contre la COVID, dont 83 offrant suffisamment de données pour être prises en considération. Le résultat ? "Le traitement avec l'hydroxychloroquine est associé à une mortalité accrue, et aucun bénéfice".

C'est la conclusion d'une méta-analyse, c'est-à-dire une étude qui fait la synthèse d'autres études. Elle est parue le 15 avril dans la revue Nature Communications. Les trois auteurs de l'Université Stanford (Californie) se sont d'abord arrêtés à des études parues, mais ont aussi inclus des études non publiées ou non révisées, prenant ainsi en considération le fait que certaines des expériences ont été interrompues au printemps 2020, lorsqu'il a commencé à devenir clair que ce médicament n'apportait pas plus de bénéfices qu'un placebo.

Rappelons que la COVID a provoqué un déluge sans précédent de recherches sur de possibles traitements: rien que dans le premier trimestre de 2020, on avait recensé près de 700 études cliniques -c'est-à-dire des médicaments potentiels testés sur des humains. Or, parmi eux, un sur cinq ciblait l'hydroxychloroquine (HCQ) ou la chloroquine (CQ). Ce n'est donc pas étonnant qu'on ait pu voir rapidement se dégager la conclusion à l'effet qu'il s'agissait d'une fausse piste.

Mais beaucoup d'études se sont néanmoins poursuivies au-delà du premier trimestre -ou ont même été lancées plus tardivement en 2020. Les trois auteurs ont donc tenté un bilan de la littérature scientifique, incluant celle qui n'avait pas fait l'objet de révision par les pairs. Leur difficulté a été d'obtenir des données complètes des auteurs des études en question: la moitié n'ont pas répondu.

Il en ressort que la majorité des chercheurs ont évalué l'HCQ (la CQ ne bénéficie au final que d'un petit échantillon de 300 patients). Et que la majorité l'ont évalué sur des patients hospitalisés, bien que quelques-uns l'aient aussi testée sur des gens avec ou sans symptômes.

Au final, 14% des patients traités avec de l'HCQ sont décédés. Lorsqu'on tient compte des tailles et des différences entre les groupes, le taux de décès est légèrement inférieur dans les groupes contrôle, quoique la différence ne soit pas significative. L'intérêt principal de cette méta-analyse, écrivent les chercheurs, ne réside toutefois pas dans ce chiffre, mais dans l'effort d'être allé chercher aussi des résultats non publiés -sachant combien, en recherche, la tendance à moins souvent publier des résultats négatifs introduit un biais.

Source : Techno-Science.net

Le protocole du Pr. Raoult n'a tué personne... si des études ont été faites pour discréditer l'HCQ, elles aboutissent forcément à des conclusions négatives.... prudence donc. Les résultats du Pr. Raoult sont cliniques et incontestables.