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prix des médicaments en vente libre
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Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Je demeure en Ontario au Canada. Ici c'est la province qui négocie les prix des médicaments pour tous les résidents de la province. Nous avons en général des prix plus bas.

Utilisateur désinscrit
bonjour cali !
ta remarque rejoint les messages à ce sujet...tu peux très bien demander du gaviscon...et de plus s'il est toujours remboursé te le faire prescrire (nos cotisations servent pour nos soins)
gavisconel est dit "produit conseil" ...je ne veux pas être mal comprise mais je vais vous donner une explication sur cette différence de prix.
le pharmacien est sollicité pour des conseils...pour lesquels il n'est pas rémunéré...ce qui explique qu'il a des produits dits "de conseil" qui prend en compte une rémunération pour lui et son équipe de travail..
ceci vous pouvez très bien demander un générique ou un médicament vignetté...et refuser le produit "conseil"
la pharmacie est encore un lieu où l'on peut avoir un contact humain , une écoute, des conseils sans obligatoirement une vente, des soins de première urgence gratuits, des livraisons si besoin...
je prêche pour ma paroisse mais j'ai vécu avec mes clients ..une époque formidable et je pense que beaucoup sont comme moi (vu les retours amicaux que nous avons..)
ceci dit c'est vrai, comme dans tout métier, il y a des gens qui discréditent leur profession et cela me navre...
amitiés cali et n'hésite surtout pas à parler avec ton pharmacien...tu n'as que la porte à pousser...et n'oublie pas qu'il est tenu au secret professionnel...ce que beaucoup de gens ignorent mais c'est une réalité, comme les médecins.


Utilisateur désinscrit
C'est la loi du marché libéral ! J'en sais quelque chose j'étais directeur des ventes pour un fabricant français qui a toujours ses usines en France. Mon boulot était de vendre à toutes les grandes surfaces, ayant comme interlocuteurs que leur centrale d'achat.
Pour vendre afin de faire tourner les usines françaises je devais négocier des prix en fonction du quantitatif, c'est le principal but des centrales d'achat. J'avais comme seuls concurrents que les importations asiatiques. Il en est exactement de même pour les laboratoires qui vendent à des grossistes mais aussi de plus en plus à des centrales d'achat de regroupement de pharmacies. Tout le détail est désormais regroupé de cette façon, si ils veulent se battre contre les systèmes des grandes surfaces. C'est valable pour toute les consommations en Europe.
cali29s
Bon conseiller
cali29s
Dernière activité le 07/03/2025 à 07:59
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bonjour, pour le Gaviscon je ne parlais pas pour moi, c'était juste un exemple.
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cali29s

Utilisateur désinscrit
si je peus me permettre,sous tous les produits en vente libre doit figurer le prix,soit sur le rayonnage soit sur la boite,mais visible du client,c est "obligatoire"!de plus toutes les pharmacies editent tous les mois un "tarifs de prix exerces ds l officine "et qui est a dispo du client,c a d ds un rayon,pose ,ou il peut le consulter librement;et ca aussi,c est obligatoire!!!
par contre,pour les differences de prix,c est tres simple!!si la pharmacie travaille directement avec le labo (par exemple lysopaine:boehringer),elle peut commander en grosse quantite d ou un prix beaucoup plus bas;par contre,pour les produits qu elle commende chez le grossiste a l unite ou par deux ou trois,c est le prix plein pot,d ou aucune reduction!ce qui explique les enormes differences de prix!!!
qd au prix en lui meme,c est le titulaire qui le faitr,et non pas l assistante ou les preparatrices;,nous on doit juste obeir! donc en cas de probleme,demandez a parler au titulaire!!
chez nous,les prix sont marques sur des reglettes accrochees aux rayons et non pas sur chaque boite,car comme on recoit des centaines de boites chaque jour,on ne peut mettre une etiquette sur toutes les boites;par contre,etant responsable du "merchandising",tous les matins,la 1ere chose que je fais c est le tour de tous les rayons pour voir si tous les prix sont bien la!!car si l inspecteur passe,je me fais taper sur les doigts,et le titulaire peut etre amendable!!
scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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Bonjour Cathy,
Je comprends bien ce que tu dis à propos des achats chez les grossistes, mais, dans ma commune, le pharmacien le plus cher est celui qui a le plus gros débit car mieux situé près des praticiens, du laboratoire d'analyse et d'un grand parking !
Le pharmacien lui même, on ne risque pas de le voir, il n'est jamais là ! Président de la communauté de communes, maire de son village et député, il ne doit pas être pour le non cumul !
On regardera si le document dont tu parles est là la prochaine fois qu'on ira.
A bientôt
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.

Utilisateur désinscrit
Médicaments
Quand la pénurie menace
Les ruptures de stock de médicaments sont de plus en plus nombreuses. En cause, les quotas imposés aux grossistes par les industriels, mais aussi des problèmes de fabrication grandissants.
En ce début novembre, voilà plus de trois semaines que François Bardoul, pharmacien en périphérie de Toulouse, est dans l’incapacité de délivrer à ses clients du Bi-Profenid LP 100, un anti-inflammatoire des laboratoires Sanofi. « Il est en rupture de stock, impossible d’en avoir auprès de notre grossiste-répartiteur », précise-t-il. Après s’être un temps dépanné auprès de ses confrères, quitte à prendre le volant pour aller récupérer les boîtes, il est aujourd’hui contraint de revoir les ordonnances au téléphone. « Le Bi-Profenid LP 100 est une forme particulière de kétoprofène, en tant que pharmacien, je ne peux pas substituer, le médecin doit nécessairement prescrire autre chose », ajoute-t-il. Au final, si les patients s’inquiètent parfois de ne pas obtenir le médicament initialement prescrit, « ils ne courent aucun risque de voir leur traitement stoppé. Jusqu’ici, on s’est toujours arrangé pour trouver un équivalent ».
Des ruptures plus fréquentes
Le cas de François Bardoul n’est pas isolé. Depuis 2010, beaucoup de pharmaciens constatent, chaque jour au moment de passer commande, que toujours plus de références manquent à l’appel et ne pourront pas leur être fournies par leur grossiste-répartiteur. Trouver des solutions de remplacement pour leurs patients est souvent possible, mais cela leur prend de plus en plus de temps. Si bien qu’ils ont fini par se plaindre auprès de leurs syndicats ou du conseil de l’Ordre des pharmaciens de ruptures de stock qui deviennent vraiment gênantes. Pour en avoir le cœur net, l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) a mis en place un observatoire. Difficile d’en généraliser les données, recueillies uniquement auprès des adhérents du syndicat. « Mais les alertes que nous avons reçues montrent que tous les types de produits sont désormais touchés, aussi bien des antihypertenseurs que des antidiabétiques, des pilules contraceptives ou des antirétroviraux », note Gilles Bonnefond, président de l’USPO. Prescrites pour des traitements au long cours, ces classes de médicaments s’accommodent mal d’interruptions. Or, quand arrive la fin du mois ou à certaines périodes de l’année, la situation peut se révéler problématique. « Avant l’été, nombreux sont ceux qui veulent partir en vacances avec un mois ou deux de traitement. Les pharmacies ont peu, voire pas de stocks, elles se retrouvent rapidement à court et ne peuvent plus satisfaire les demandes », déplore Hélène Pollard, représentante de SolEnSi au sein du TRT5, collectif d’associations de malades du sida. Or, pour un malade du sida, par exemple, quelques jours sans traitement font courir un risque, tant la continuité est importante.
Les tensions entre laboratoires et grossistes-répartiteurs, qui fournissent chaque jour les pharmaciens, ont leur part dans l’actuelle aggravation des difficultés d’approvisionnement des officines. Au cœur de la discorde : la possibilité pour les grossistes de faire du commerce parallèle, c’est-à-dire d’écouler une partie des médicaments initialement destinés au marché français dans des pays européens où les prix sont plus élevés. C’est légal si, en même temps, ces intermédiaires respectent leur mission de service public, soit avoir devant eux quinze jours de stock de 90 % des médicaments qu’ils vendent, afin de garantir l’approvisionnement du marché domestique. « Tous les grossistes-répartiteurs ont une cellule d’export, précise Olivier Marco, directeur commercial et marketing chez Phoenix Pharma France. Une fois que nous avons servi le marché national, nous vendons à l’étranger des molécules sur lesquelles, en France, les marges sont proches de zéro. » Les laboratoires estiment que certains grossistes ont la main lourde sur les exportations. Afin de limiter cette pratique et de rester maîtres des bénéfices réalisés sur les médicaments, ils ont donc mis sous quotas plusieurs centaines de produits. Concrètement, ils rationnent la quantité mensuelle de boîtes attribuées à chaque grossiste, en fonction de ses parts de marché. Le quota atteint, le laboratoire ne livre plus le grossiste. Qui ne livre plus l’officine. Le pharmacien n’a plus qu’à prendre son téléphone pour commander directement au laboratoire.
Si le délai pour obtenir en officine des médicaments aussi sensibles et difficilement remplaçables que des antirétroviraux est trop long, les pharmacies hospitalières constituent alors pour les patients une porte de secours appréciable. Elles ont des stocks relativement confortables et, en général, « elles dépannent de bonne grâce », précise Hélène Pollard. Comme elles se fournissent auprès des industriels sans passer par la case grossistes-répartiteurs, elles ne subissent pas la loi des quotas imposée par les laboratoires. Les variations d’approvisionnement qui empoisonnent le quotidien des pharmacies de ville ne les affectent pas.
Production en flux tendu
Pour autant, les hôpitaux ne sont pas totalement à l’abri. Car s’ils ne font pas les frais des ratés du circuit de distribution, les multiples couacs de fabrication, qui surviennent régulièrement et se traduisent également par des ruptures de stock, ne les épargnent pas plus que les officines. Défauts de qualité révélés lors d’une inspection sanitaire, catastrophe naturelle comme au Japon l’an dernier, chutes de neige qui retardent les livraisons, grève de transport, pénurie brutale de matière première, sous-traitant défaillant, fermeture du laboratoire pour réorganisation informatique : les motifs de perturbation, voire d’arrêt de la production, en amont du système de répartition, ne manquent pas. Et chaque événement a d’autant plus d’impact qu’aujourd’hui, « sous la contrainte économique, chaque maillon de la chaîne raisonne en flux tendu », remarque Isabelle Adenot, présidente de l’Ordre des pharmaciens. La concentration de la production d’un médicament sur un ou deux sites dans le monde n’arrange rien : qu’une usine soit bloquée, et plusieurs pays ne sont plus approvisionnés. Ainsi, en septembre dernier, Sanofi a dû suspendre la commercialisation de stylos à insuline, suite à un « incident technique sur son site de production ». Résultat, une rupture de stock mondiale de plus de trois mois. Les patients ont été contraints de changer de dispositifs d’injection ou de passer à d’autres produits. En Irlande, la contamination des cuves de l’usine Baxter a conduit, en 2010, à l’arrêt de fabrication de solutions de dialyse péritonéale. Les autorités ont eu à gérer la pénurie : les poches restantes ont été rationnées et, pour faire face à la demande, des lots ont été importés des États-Unis et de Turquie. Leur mode d’emploi étant différent de ceux utilisés en France, ils étaient accompagnés d’une notice explicative, afin que les soignants ne se trompent pas en les administrant. En cancérologie, des produits manquent aussi régulièrement à l’appel. Témoins les messages d’alerte réguliers de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) à l’attention des hôpitaux et cancérologues. « Au quotidien, les ruptures sont un véritable casse-tête, témoigne Pascale Avot, pharmacienne à l’hôpital de Creil et secrétaire générale adjointe du Syndicat national des pharmaciens des établissements publics (Synprefh). Dans mon centre hospitalier, nous n’avons jamais eu à reporter de traitement, mais il faut sans cesse utiliser des produits de remplacement. Leur concentration n’étant pas la même, nous devons veiller à ne pas commettre d’erreur au moment de les préparer. »
En ville comme à l’hôpital, médecins et pharmaciens composent avec la situation, s’évertuant à trouver des solutions de repli. « Il n’y a jamais eu de situation complètement critique », assure Philippe Arnaud, pharmacien à l’hôpital parisien Bichat-Claude Bernard et représentant du Syndicat des pharmaciens hospitaliers (SNPHPU). Parfois, c’est aux patients de se débrouiller : « L’an dernier, mon médecin à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière m’avait prescrit du Thyrogen en vue d’un contrôle, quelques mois après une opération de la thyroïde », raconte Élisa Lenain (1). Sachant le médicament introuvable en pharmacie, il conseille tout de go à sa patiente de faire le tour des pharmacies hospitalières. « Je l’ai finalement obtenu dans un établissement de la région parisienne par piston, grâce à la belle-mère d’un copain qui est médecin. Sans ce coup de pouce, je ne l’aurais pas eu », assure-t-elle. Beate Bartès, administratrice du forum Internet « Vivre sans thyroïde », confirme : « Ce produit est souvent en rupture totale. Pour ceux qui sont traités pour un cancer de la thyroïde et qui ne peuvent pas attendre que le médicament revienne sur le marché, les médecins le remplacent par une période de défrénation, c’est-à-dire un arrêt du traitement par hormones qui est long et pénible. Ceux qui ont besoin de Thyrogen pour un contrôle voient leur examen retardé de plusieurs mois. Ce délai n’a pas d’incidence sur leur état de santé. Mais, psychologiquement, c’est éprouvant, car le moment où ils apprennent s’ils sont ou non guéris est retardé d’autant. » Et quand le Thyrogen revient sur le marché, plusieurs mois s’écoulent avant le retour à la normale. Le réapprovisionnement d’un médicament prend du temps, d’autant que « les laboratoires privilégient les pays où les marges sont plus favorables », note Olivier Marco, de Phœnix Pharma.
Les pouvoirs publics réagissent
Après plusieurs alertes, venues d’abord des associations de patients, puis des organisations de pharmaciens, le ministère de la Santé s’est enfin décidé à s’attaquer aux ruptures de stock de médicaments. En septembre dernier, il a réuni toutes les parties concernées. Un décret devrait paraître, courant 2012, afin de « sécuriser la chaîne de distribution et renforcer les obligations de service public, détaille Marc Stolz, directeur de l’inspection et des établissements à l’Afssaps. Nous devons veiller à ce que les fabricants se prémunissent contre les problèmes de fabrication. Nous aimerions aussi que les pharmaciens puissent nous alerter en direct, afin que les autorités opèrent des contrôles sur le circuit d’exportation à partir de signalements précis. » Une liste des médicaments dits « sensibles », dont le fabricant devrait disposer en permanence un stock minimum, devrait voir le jour.
Arrêts de commercialisation
De nouvelles règles
Moins fréquents que les incidents de fabrication, les arrêts de commercialisation sont également à l’origine de ruptures de stock. Ils concernent des médicaments anciens, plus assez rentables aux yeux des laboratoires. Mais ils ont souvent encore leur place dans la pratique médicale, notamment parce que leurs effets secondaires sont bien connus. Cet été, c’est la disparition annoncée du thiopental (Penthotal), utilisé en anesthésie-réanimation, qui a mis le feu aux poudres et poussé les autorités à prendre en compte le concert de plaintes concernant les ruptures de stock. Grâce au remue-ménage provoqué par le syndicat des anesthésistes-réanimateurs, les règles d’arrêt de commercialisation devraient changer bientôt. Le laboratoire aurait l’obligation de prévenir non plus six mois avant l’arrêt de commercialisation, mais un an avant. Et l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) aurait la possibilité de bloquer la décision dans le cas où il n’existerait pas d’alternative au médicament.
Concurrence
Lorsque les labos lèvent le pied
Quand le brevet d’un médicament tombe dans le domaine public, le fabricant du « princeps », le médicament de marque, jusque-là en situation de monopole, s’attend à voir arriver rapidement sur le marché les versions génériques, vendues moins chères. La perspective d’une telle concurrence peut inciter le laboratoire à « lever le pied » sur la production de son médicament. « Mais si le générique tarde à faire son apparition, alors il peut y avoir une période de flottement et d’indisponibilité de la molécule sur le marché », détaille Emmanuel Déchin, secrétaire général de la chambre syndicale de la répartition pharmaceutique. D’où, quelquefois, une période de rupture entre le moment où le médicament est moins présent dans les officines et celui où ses concurrents inondent le marché.
Maria12
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Maria12
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Il ne s'agit pas de médicament mais de parapharmacie:
Des coussinets plantaires (la même marque, la même taille):
en pharmacie: 39€
en parapharmacie: 29€
en parapharmacie sur internet (port compris): 28€
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Maria12.

Utilisateur désinscrit
bonjour BABARD
votre commentaire me rappelle quelque chose de récent: FINANCE/ CAHUZAC(labo de pharmacies)
je l'ai toujours pensé.Bravo de l'avoir souligné

Utilisateur désinscrit
En France, le prix d'un médicament peut dépasser très largement son coût de revient. Plusieurs questions s'imposent : quels sont les intervenants et comment procèdent-ils ?
Quels sont les intervenants ?
La fixation du prix d'un médicament implique plusieurs acteurs qui interviennent à différents niveaux afin de le rendre accessible. Ainsi, dans le circuit des médicaments on trouve :
• le laboratoire qui met au point le produit ;
• l'ANSM ou la Commission européenne qui délivre son autorisation de mise sur le marché ;
• la Haute Autorité de Santé qui juge le médicament remboursable ou non après évaluation du service médical rendu ;
• le CEPS qui détermine le prix après concertation avec les industriels, le ministère de l'industrie, les assurance-maladies et les mutuelles ;
• le dernier mot dans la fixation du prix revient au Ministre de la Santé.
Comment fixer un prix ?
Dans le cas où le laboratoire n'exige pas que son médicament soit remboursé, l'industriel est libre de fixer un prix. Si par contre, le laboratoire désire que son médicament soit remboursé, il se lance alors dans une procédure assez longue avec l'Etat. Lorsque les négociations sur le prix coincent, les laboratoires mettent en valeur leur poids dans le tissu industriel.
Les prix de vente sont souvent proches de la moyenne pratiquée dans les grands pays de l'Europe.

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scoobidoo
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scoobidoo
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Il y a de quoi être scandalisée: une boite de Lysopaïne (remède pour la gorge) achetée cet après-midi 4.90€. Chez la pharmacienne où nous nous servons habituellement elle est vendue 2.80€.
Cherchez l'erreur !
Francine
PS: les prix n'étant ni affichés ni sur les boites, on ne le sait qu'en passant à la caisse.