pourquoi ?

Bonsoir @LuneNoire21 je trouve très pertinente ton observation. Moi même inscrite que depuis mai. Je vois bien les membres fidèles qui s'entraident et se parlent de tout et de rien tous les jours où bien régulièrement dans le mois

J'ai posé la question à plusieurs d'entre eux. Les plus anciens m'ont répondu que beaucoup de personnes s'inscrivent sur Carenity (je parle que de ce site) pour avoir des informations sur leur pathologies et s'ils les obtiennent ne s'implique pas où plus dans Carenity.

Mais, au vu du nombre de membres ça interroge, je me permets de mettre en copie Candice dans cette interrogation.

Les gens ont sans doute leur réponse mais se desinscrivent pas et donc le chiffre est élevé alors qu'au final, moins de membres qu'on le croit font vivre Carenity au quotidien.

Je vois ça comme ça ?

@Candice.S

Bonsoir @LuneNoire21

@Anabelle18 à très bien résumé la situation

Dans une époque où les échanges numériques rythment notre quotidien, l’absence de réponse à un message peut rapidement susciter un mélange de perplexité, d’inquiétude et parfois de frustration Attendre une réponse sans retour peut rapidement dériver vers un questionnement intérieur

J'aide un maximum après suivant les pathologies - Je mets en contact mes amis de carenity qui sont atteints de la pathologie , j'ai aussi ouvert des sujets

Quand un nouveau est perdu j'essaye de l'aiguiller

Bonne soirée

C'est une excellente observation, et tu as mis le doigt sur un phénomène très courant dans l'univers des communautés en ligne, pas seulement sur ce forum ! J'ai tenu un forum BLABLATERAMA , j'ai été moderateur sur 2 petits forums et j'ai commencer sur Lycos IQ ....Tu as parfaitement raison : il n'y a pas besoin d'être expert pour partager ses idées ou ses problèmes. Alors, pourquoi cette dissonance entre le nombre d'inscrits et la faible activité ? Voici les raisons principales qui expliquent ce que tu vois :

1. La Règle des « Lurkers » (ou la Règle du 90-9-1)C'est un principe quasi universel dans les communautés en ligne :90% des utilisateurs sont des « lurkers » (des lecteurs passifs) : Ils viennent lire, s'informer, peut-être cliquer sur un lien, mais ils ne posteront jamais de message, ni ne répondront à une discussion. 9% des utilisateurs contribuent occasionnellement : Ils postent de temps en temps, souvent en réponse à une question très spécifique ou un sujet qui les touche directement.1% des utilisateurs créent l'essentiel du contenu : Ce sont les hyperactifs, les piliers de la communauté, ceux qui lancent la majorité des discussions.La grande majorité des gens préfèrent rester dans l'ombre et juste consommer l'information

2. Les Barrières Psychologiques à la Participation

Même si ça ne demande pas d'être un "spécialiste", poster en public demande un effort psychologique... C'est la plus forte. On a peur que notre message soit mal écrit, mal compris, ou qu'il soit critiqué. On se dit : « Mon idée n'est pas assez originale » ou « Quelqu'un d'autre a sûrement déjà dit ça. »Lire un fil de discussion est instantané. Répondre, structurer ses pensées, les écrire, puis attendre une réponse, demande beaucoup plus de temps et d'énergie. Beaucoup de gens n'ont pas cette disponibilité mentale. Sur les réseaux sociaux, tu as des likes et des commentaires rapides. Sur un forum, les discussions sont plus profondes mais les interactions sont souvent moins fréquentes et moins immédiates, ce qui décourage les participations rapides.

3. Depuis l'avènement des grands réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Discord, etc.), les gens ont tendance à disperser leurs discussions. Les conversations qui auraient pu avoir lieu sur un forum spécialisé se retrouvent maintenant dans des groupes privés sur d'autres plateformes. Les forums traditionnels comme celui-ci sont un peu moins à la mode, même s'ils offrent souvent une qualité de discussion et une permanence des informations bien supérieures. Bref, ton constat est très lucide. C'est un peu le paradoxe du web : beaucoup d'inscrits, mais seulement une poignée de "bâtisseurs" qui font vivre l'endroit.