Le droit à refuser un traitement : jusqu’où aller ?

oui on a le droit ! et heureusement encore ! mon compagnon sait que si j'ai un cancer et que le docteur lui dit que j'en ai pour 2 ans à vivre ou un truc du genre comme on me l'a expliqué pour ma mère, il devra me le dire pour que je refuse le traitement. J4ai menti à ma mère pendant 2 ans, je l'ai vu souffrir avec leur traitement, pour le même résultat que si elle n'avait rien pris, elle a peut être gagné 6 mois de souffrance, je ne comprend pas ce principe, le voir croire qu'elle va guérir, je trouve ça ignoble ! de plus comme elle était bipolaire ça provoquait des crises maniaco pour moi le bénéfice risque était nul, j'ai été obligée de m'éloigner car j'aurais fini par lui dire, trop compliqué de voir ce mensonge, devoir lui mentir pour ne pas voir dans ses yeux la peur de mourir, enfin bref, je ne veut surtout pas vivre ça, bien sur que ça va me faire peur, mais si on arrive au même résultat, pourquoi ces traitements lourds avec des effets secondaires de merde, enfin bref, à chacun de se faire sa propre opinion sur le sujet mais si les médecins ne me disent pas la vérité, j'espère que mon compagnon me la dira, je profiterais de mes derniers instants de vie "normale" au lieu de prendre un traitement lourd en croyant guérir, c'est pas normal ce mensonge de la part des médecins

cet hiver j'ai refusé de prendre un traitement pour la dépression, à coté de ça je me suis prise en main, j'ai fait de la méditation, j'ai repris l'habitude de chercher 5 trucs positifs dans ma journée passée, tout les soirs, et j'ai pris rendez vous avec une infirmière psy qui croyait que je prenais le traitement, j'ai fini par lui dire que je le prenais pas, elle avait peur pour moi je pense, et elle voit que je m'en suis sortie sans, j'ai failli les prendre au début mais comme tous contenaient du lactose alors que je ne le supporte pas et que j'avais prévenu le psychiatre que j'avais ce problème, à un moment donné si on nous écoute pas, pourquoi on les écouterait ?

Quel sujet ! Je suis encore choquée d’une prescription qui m'a terrorisée tant c'est pour moi le médoc ultime qui me signe la dernière ligne droite pour quelques années de confort. je ne le prendrai pas mais c’était la première consultation avec une neurologue et je cherche une alliance thérapeutique et non le conflit , j’ai essayé d'exprimer ma surprise et mon désir d'y aller par étapes mais en vain , alors je vais ruser et chercher toute seule , quitte à souffrir et être inconfortable. Lorsque le soignant devient un énième problème, il y a du souci à se faire côté relation médecin patient. C’est effectivement de notre vie et de notre corps dont il s'agit et nous le connaissons; merci donc aux médecins et spécialistes de vérifier que le patient n;a pas d'objections valables, entendables et légitimes . J’ai l'impression de devoir manéger leur susceptibilité, leurs connaissances (toujours relatives puisque la science évolue tjs) et ne pouvoir être actrice aussi avec eux sur ce chemin bon courage à tous

Tout dépend du contexte.
Mais si un malade veut s'arréter car il est en fin de vie, c'est totalement acceptable.
Hélas la nouvelle loi française ne va rien apporter.

Nous sommes toujours en retard !

Lorsque le medicament n’est plus remboursé ou si le taux de remboursement baissé et n’est pas compensé par ma mutuelle je refuse le medicament. Cela c’est produit une fois.

Bonjour

J ai déjà arrêté un traitement. Mi je pense qu en tant que patient cette décision m appartient, qu en aucun cas on ne peux m interdire de faire ce choix. J ai route la tête, je suis consciente de ce que je fais. Et pour la simple raison que mon corps m appartient, il n appartient pas au monde médical. C est moi que prend ce traitement et subi des effets secondaires. J estime donc que je suis en droit de faire ce choix que ça plaise ou non.

Le médecin préconise un traitement, mais il n est pas la pour l imposer.

Ensuite la confiance fait qu il y a un échange. On en parle, on échange. L important je pense est qu il sache ce qui est pris, comment, afin que lui puisse aussi suivre la maladie et avoir les informations réelles.

Après on est pas toujours d accord. Mais la vision du médecin n est pas celle du patient. La perception de l' équilibre traitement et vie n est pas perçu pareil.

Cordialement

Bonjour à tous,

L'expérience que je souhaite partager n'est probablement pas aussi dramatique et importante que celles que j'ai lue. Mais pour moi aussi il est essentiel de pouvoir dire "non" a un traitement. J'ai beaucoup voyagé, pour traiter une maladie même banale (le rhume est un excellent exemple) chaque médecin rencontré à son propre traitement "dada" mais je me connais, je vais voir le médecin parce que j'ai besoin du papier justifiant mon absence au boulot pas tellement de la prescription de médicaments pour ma pauvre rhino pharyngite qui passe me dire bonjour tous les ans. Certains se vexent d'autres pas. Et voilà mon premier tri est fait. Ceux qui se vexent je ne les reçois pas. Mais à l'hôpital c'est un autre challenge. J'ai eu une césarienne pour mon premier loulou...je ne faisais jamais rien de bien. Chaque équipe de soignants ayant ses propres idées, me donnant des conseils contradictoires, voire, pour certains, étaient limite maltraitant. Ça m'a traumatisée. Maintenant a chaque prescription je demande le pourquoi et l'action exacte du médicament. Je suis d'une méfiance folle. Je me suis entouré de quelques soignants en qui j'ai confiance car ils m'ont justement aidés à faire face à des traitements inapproprié et je pense que le point clé est là. La confiance. On doit tellement aller consulter de spécialiste où de médecins qui ne nous connaissent pas et vide versa que le risque d'avoir un traitement rentrant en contradiction avec un autre est important. Donc oui, pouvoir refuser un soin ou un traitement est pour moi essentiel. Ne plus jamais subir les avis contraires. Je crois que c'est Molière qui disais que pour tuer un malade plus rapidement il suffisait d'appeler plusieurs médecins à son chevet. Et aujourd'hui chaque morceau de notre corps à son médecin attitré, le patient (non formé au médical) fais office de relais d'infos. Dangereux non?

Bonsoir, sujet intéressant..jai refusée de prendre des statines..jai 4 vaccins à faire aussi je réfléchis..mon nephrologue et mon medecin sont au courant..pour l'instant on ne met pas la pression..

Bien sûr qu'un patient a le droit de refuser un traitement.

Personnellement je refuse de prendre les antidépresseurs que me prescrit mon médecin.

Je refuse à chaque visite, car il insiste lourdement, de me faire vacciner.

Il est même allé jusqu'à me mentir en disant qu'ils étaient obligatoires

Je n'ai jamais accepté le vaccin contre la covid et d'autres d'ailleurs.

Ce n'est pas parceque un médecin pense qu'un traitement est une bonne chose qu'il l'est forcément.

Tout patient a le droit de refuser un traitement, son corps lui appartient.

bonjour, oui je refuse de prendre certains médicaments qui m'assomme car je faisais que dormir matin et soir, et je fais une pause pour la kinés en effet j'en fais depuis des années et je reconnais que ces épuisants et lassant de faire deux fois par semaine toutes une vie amitiés

Bonjour

Les traitements médicaux interdit pour moi c'est tout ce qui me fera mal comme la chimiothérapie les douleurs c'est plus pour moi. Cordialement votre