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@Momima

Bonjour

Oui , mal respirer entraine des angoisses . Lorsque j'ai été diagnostiqué BPCO et que l'on m'a mis sous oxygène , j'ai déprimé , j'étais angoissé en permanence . Alors j'ai vu une psychologue et ça m'a fait du bien

Je dois dire que @maya78 et @ledalle m'ont beaucoup aidé pendant ces périodes difficiles , ils ont répondu à mes interrogations , ils m'ont rassuré , ils m'ont expliqué la maladie , je leur dois beaucoup

Peut être faudrait il parler de vos angoisses à votre médecin généraliste qui pourrait vous prescrire un médicament qui vous apaiserait ?

Ce qui est sûr , c 'est que mal respirer est angoissant et l'angoisse empêche de bien respirer...


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avatar Mallo2407

avatar Lola21#

avatar phildu

@Claudia.L bonjour !

1 La BPCO est une colocataire plutôt envahissante qui a la fâcheuse tendance à prendre de plus en plus ses aises avec le temps. C'est un peu comme un logiciel qui aurait besoin de mises à jour constantes, sauf que là, le "support technique" est un peu plus complexe qu'un simple clic. Alors non, je ne ressens pas personnellement cette aggravation, mais j'ai une chute après chaque exacerbation surtout la dernière qui a durée pratiquement 2 mois vems à 27 ...j'etais à 37 ...

2 Je découpe la tâche en micro tâches. C'est mon équivalent de "Bon, ok, je marche juste jusqu'au prochain banc... puis on verra pour le banc d'après". Très efficace pour ne pas surchauffer mes circuits ! Je cherche le chemin le plus court et le moins gourmand en énergie. Donc, même si je ne connais pas la sensation du mollet qui tire après avoir bravé la distance héroïque entre le canapé et la cuisine, je comprends parfaitement l'idée d'adapter son "sport" (même la marche !) quand l'énergie joue à cache-cache. Parfois, la plus grande victoire, c'est juste de mettre un "pied" devant l'autre, peu importe la vitesse !

3 Si j'ai plusieurs tâches similaires, je les regroupe pour les traiter d'un coup. Ça optimise mes ressources. Un peu comme éplucher tous les légumes d'un coup pour la soupe de la semaine.. Un vrai maîtres Zen de la gestion d'énergie au quotidien !

conclusion C'est l'art de devenir un stratège de l'énergie digne de Sun Tzu, où chaque déplacement vers la cafetière demande une planification quasi militaire. C'est aussi développer une relation intime et parfois bruyante avec son propre souffle, qui décide de faire des siennes aux moments les moins opportuns.. La BPCO, c'est la preuve que les super-héros ne portent pas tous des capes. Certains portent juste un oxymètre et maîtrisent l'art subtil de la respiration... avec panache et une bonne dose d'humour !

Gardez le moral (et si possible, le souffle) ! 😏

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Je dois dire que @maya78 et @ledalle m'ont beaucoup aidé pendant ces périodes difficiles , ils ont répondu à mes interrogations , ils m'ont rassuré , ils m'ont expliqué la maladie , je leur dois beaucoup

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1 La BPCO est une colocataire plutôt envahissante qui a la fâcheuse tendance à prendre de plus en plus ses aises avec le temps. C'est un peu comme un logiciel qui aurait besoin de mises à jour constantes, sauf que là, le "support technique" est un peu plus complexe qu'un simple clic. Alors non, je ne ressens pas personnellement cette aggravation, mais j'ai une chute après chaque exacerbation surtout la dernière qui a durée pratiquement 2 mois vems à 27 ...j'etais à 37 ...

2 Je découpe la tâche en micro tâches. C'est mon équivalent de "Bon, ok, je marche juste jusqu'au prochain banc... puis on verra pour le banc d'après". Très efficace pour ne pas surchauffer mes circuits ! Je cherche le chemin le plus court et le moins gourmand en énergie. Donc, même si je ne connais pas la sensation du mollet qui tire après avoir bravé la distance héroïque entre le canapé et la cuisine, je comprends parfaitement l'idée d'adapter son "sport" (même la marche !) quand l'énergie joue à cache-cache. Parfois, la plus grande victoire, c'est juste de mettre un "pied" devant l'autre, peu importe la vitesse !

3 Si j'ai plusieurs tâches similaires, je les regroupe pour les traiter d'un coup. Ça optimise mes ressources. Un peu comme éplucher tous les légumes d'un coup pour la soupe de la semaine.. Un vrai maîtres Zen de la gestion d'énergie au quotidien !

conclusion C'est l'art de devenir un stratège de l'énergie digne de Sun Tzu, où chaque déplacement vers la cafetière demande une planification quasi militaire. C'est aussi développer une relation intime et parfois bruyante avec son propre souffle, qui décide de faire des siennes aux moments les moins opportuns.. La BPCO, c'est la preuve que les super-héros ne portent pas tous des capes. Certains portent juste un oxymètre et maîtrisent l'art subtil de la respiration... avec panache et une bonne dose d'humour !

Gardez le moral (et si possible, le souffle) ! 😏

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