Votre découverte de la maladie

oui merci carenty d'existe

merci a toi aussi grand je t'ai bcp lu avant de venir écrire ici tu semble de bon  conseils 

je suis simplement bipolaire depuis plus longtemps que toi....

Bonjour à tous

j'ai 55 ans cette année, le diag a été posé en 2011 suite à une hospitalisation à ma demande, étant submergée d'idées suicidaires. D'autant que je me souvienne j'ai toujours eu des état de "mélancolie" mais j'apparaissait auprès des gens comme qq de très énergique. Première dépression en 1976, deuxième en 1992 (baby blues): pas de traitement. A partir de 2000, des symptomes physiques: 3 pericardites, hyperactivité suite à la prise de cortisone, perte de sommel, 2 psoriasis généralisés et par conséquence des absences plus fréquentes au travail. En 2005 annonce de la grossesse de ma fille de 16 ans. Depuis mon mari et moi élevons son fils, à ce jour elle ne s'est toujours pas reprise en main et je la porte à bout de bras (surement bipolaire, des TS, refus de se faire soigner,...). la suite pour moi: mise sous prozac en 2006 et descente aux enfers progressive. En 2011, annonce du cancer fulgurant de ma mère, TS de ma fille, obligation de faire une HDT à son encontre: fin mars je me suis présentée au urgences pour éviter d'attenter à ma vie. Depuis je suis sous depakote qui a calmé les phases dépreSsives (ce qui étonne mon psy) mais par contre je n'ai pu de phase maniaque et ça me manque. Je vois mon psy toutes les trois semaines. j'ai été soulagée quand le diag a été posé car je me sentais différente depuis si longtemps....ce que je regrette c'est que mon entourage proche est soulagée d'avoir retrouvé mon côté positif mais ne se soucie pas plus des causes

"on la connait, elle va rebondir"

bonjour a tous

cela fait plus d'un mois que je n'étais pas venu et je suis contente de vous lire

grand pere pour ma part je trouve trés important de pouvoir vivre sans medoc sans psy car ca c'est la vrai vie meme si cela fait plus longtemps que nous que tu es bipolaire mais a chacun son experience lire les temoignage pour certain suffit pour d'autre en discuté c'est mieu. oui j'ai étalé ma vie j'ai mis plus de 15ans pour pouvoir en parlé a un psy meme pas ma famille est au courant de tous ca et en quelque seconde j'en parle sur un forum. cela a été trés dur pour moi j'ai mis plusieur jour avant de relire.

keyra je te remercie pour ta compréhension ca me touche comme tu dois le savoir etre compris est important pour un bipolaire.

biz a tous bonne année 2013

C'est extraordinaire de ne pas avoir de traitement, tu as fait ce choix, et il a marché pour toi, j'en suis heureux , quelle belle victoire sur ta bipolarité et quelle connaissance de toi, tu dois avoir, félicitation , mais ce n'est pas le lot de la majorité des bipolaires

philippe

Bonjour à tous,

Pour rebondir sur le sujet, comment le médecin vous a t-il annoncé votre maladie ? Pensez-vous qu'il a utilisé les bons mots ?

Bonnes discussions.

Julien

Bonjour !
Je viens répondre a ce post car il y a un peu je me suis inscrite sur ce site en tant que proche car mon compagnon est bipolaire (diagnostiqué). Mais en apprenant a découvrir cette maladie, j'ai trouvé souvent que cela collait a mon cas. Des tas d'états qui s'enchainent sans que je puisse rien n'y faire. Je m'en rend compte vraiment que depuis un mois je n'arrive pas à me dire tu es bipolaire ... mais en même temps mettre un mot sur cette différence celle qui fait que je n'ai jamais tenu un job, un mec, un appart, pas grand chose enfait que j'ai pu être a fond et passionnée d'autant de choses pour a tout les coups tout lâché d'un coup de tête, me mettre en danger a plusieurs reprises ... A présent je suis plutôt en état dépressif depuis que je n'ai plus de travail ... Il y a peu ce qui m'a vraiment mis la puce a l'oreille c'est ma mère qui me dit un médecin m'a dit que j'étais bipolaire ... sachant qu'elle ne prend pas du tout les bons médocs nie cette maladie et reste repliée sur elle même. Je suis l'enfant qui ressemble le plus a ma maman... la sensibilité la gentillesse mais aussi pas mal d'autres choses la colère et l'impulsivité ! l'instabilité si on regarde sa vie avec du recul... Je n'ai pas été diagnostiquée bipolaire mais je compte bien allé consulter et la suite fera le reste.

En + de tout ça ce matin j'ai reçu un coup de fil, pour un boulot je suis contente et paniquée à la fois.

J'attend encore un second coup de fil pour savoir a quel heure je commence demain ... c'est soudain mais j'ai vraiment besoin de ce job même si ce n'est qu'un remplacement d'un demi mois ! j'espère que je ne vais pas paraitre trop différente, avec ces nouvelles choses dans ma tête j'ai du mal je ne sais plus quoi penser. J'ai hâte de consulter car parfois je me dis je suis forcément bipolaire en repensant a mes actes ou paroles, puis juste après mais non, juste impulsive et sensible... vais-je devoir vraiment avoir un traitement ? même si je n'ai pas vraiment de phase super maniaque, enfin ... je me demande ... c'est si dur de se regarder objectivement ... la dépression m'assaille depuis trop longtemps. Est-ce possible de passer d'une phase maniaque globalement avec de petit virage dépressif a l'inverse ? juste parce que j'ai quitté Paris et me suis retrouvée sans travail ? est-comme cela pour vous ? j'aimerais tellement juste mettre un mot sur tout ça sur mon état ....

Je m'arrête là désolée pour ce long long message ! un peu HS puisque je ne suis pas diagnostiquée donc... jusque là je n'ai vu qu'un médecin généraliste qui m'a dit dépressive mais le médoc je ne l'ai pas supporté du tout le matin j'avais des tremblements.

on ma diagnostiquer ma maladie il y a maintenant 2 ans avant on me considérai comme dépressif a tendances suicidaire il a fallut que je change de médecin au cours de mes internement pour enfin mettre un nom sur ma maladie je suis soigner depuis deux ans mais il eue pratiquement pas de résultat donc je voir revoir un nouveau psy 

Suite harcèlement moral au travail et une dépression sévère, bien qu'étant infirmière et plus maligne que les autres, j'ai tenté seule un sevrage des anti dépresseurs et le fameux syndrome de manque m'a surprise.

J'ai ,miracle!!! réussi à trouver en urgence un psychiatre avec lequel le courant passe ; mon généraliste et mon psychiatre ont eu le même diagnostique à savoir découverte d'un trouble bipolaire révélé à la suite d'une dépression. Il est vrai que des événements prenaient des importances inconsidérées aussi bien dans la joie que dans la peine et aucun élément ou raisonnement ne me calmait. Le rationnel ne marchait pas seul l'émotionnel était exacerbé.

En quelques mots 2 ans de ma vie en quelques lignes.

Il se greffe sur ce tableau des idées obsessionnelles concernant la mort, celle qui m'a torturée mentalement au travail et des broutilles qui prennent des ampleurs inconsidérées et dont je me rends malade et malheureuse