Troubles bipolaires, parlons des conséquences sur les aidants !

Merci bcp pour ce message d'espoir, j'espère aussi, non pas que mon père guérisse, mais au moins un mieux-être, diminuer les rechutes, quand je pense ce qu'il doit endurer... moi aussi je pense que génétiquement j'ai dû hériter de qqch, je ne pense pas être bipolaire, ms en tout cas tendance à la cyclothymie, ça oui... ce site est une bénédiction pour moi, car c'est le genre de  maladies tabous méconnues qui ne sont pas reconnues tel que, et c'est encore + dur à vivre je trouve. Bref, bon courage à tous et merci de poster ici vos témoignages!

En lisant ces témoignages un peu anciens , je suis en accord avec leurs messages. Notre vie a basculé avec la maladie de nos proches.Après avoir vécu l'enfer comme beaucoup d'aidant et pendant des années, je suis aujourd'hui un homme apaisé.Mais le combat est vraiment difficile et long. Pour ma part, c'est le jour ou mon docteur a mis un nom sur le comportement de mon épouse que j'ai vraiment pris sa maladie à bras le corp.J'ai passé des heures sur le net,You tube et forum a m'informer sur cette maladiede. Et c'est en fesant mes recherches que je suis tombé sur le sîte de L' UNAFAM. Je les ai appelé aussitôt pour pouvoir les rencontrer. Celà fait un bien fou de rencontrer des gens qui vous comprennent et partages vos souffrances mais surtout qui vous donnent des orientations pour vous en sortir.

J'ai vu que cette assoc existe sur Montpellier, mais seulement une antenne de 2 jours par mois à Béziers... quelqu'un de la région pour me renseigner? Je pense que l'Unafam pourrait nous aider, surtout ma soeur, qui en bave bcp avec notre père, je ne veux pas qu'elle y laisse des plumes, c'est une maladie qui embarque tt le monde sur son passage :(

 

marié à un bipolaire, j'ai vécu des moments affreux ou je me faisais engueuler, traiter de tous les noms, il ma meme pousser en me faisant tomber.Trouver le bon ytaitement a été très long et difficille maintenat ca va mieux mais j'ai toujours peur d'une rechute.

moi aussi compagne de bipolaire . j'ai aussi traversé des moments difficiles comme speedy401. en plus il y a eut une longue période ou il n'y avait pas le bon diagnostique. j'avoue que cette période m'a beaucoup fatiguée.  maintenant qu'il y a un traitement cela va mieux mais comme speedy401 j'ai peur d'une rechute et je veille  au grain discrètement pour qu'il prenne bien son traitement . moi aussi encore maintenant je me fais traité de petite fille à Hitler ....( car j'essaie de le freiner dans ces actions déraisonnées ) . mais ne même temps la vie avec lui est vraiment enrichissante et intéressante .  bonne soirée a tous et tout particulièrement à speedy401 .

Je suis fille de bipolaire.
J'ai été très épargné par la maladie étant petite, quand elle s'est déclenchée, avec l'aide de ma famille. Je savais ce qu'elle avait, et bien que j'étais la "cible principale", pour le plus grand désarroi de ma mère, j'étais plutôt tranquille. Mais maintenant que je peux et que je suis en âge de comprendre, disons depuis 5 ans, ça me fatigue beaucoup.

Rien ne s'arrange, ses passages "bas" sont plus violents qu'avant, les médicaments bouffent littéralement sa santé. Je suis quasiment son seule soutien, mais vous comprendrez qu'à dix-huit ans, il est difficile de soutenir sa maman en étant étudiante et loin de la maison presque six jours sur sept. Je pleure beaucoup, mon fiancé dit lui-même que je me bouffe la santé alors que je sais très bien que ce n'est que de passage. Mais la peur de perdre ma mère est bien présente, elle. Ses idées noires se font de plus en plus fortes, et mon moral en est plus que touchée. A la différence de ce que beaucoup croient, je n'en veux absolument pas à ma mère. Ce n'est pas de sa faute, je ne veux pas qu'elle ait honte d'être ce qu'elle est. C'est une malade, elle ne l'a pas voulu.
Mais il m'arrive par moment d'être égoïste et vouloir que tout s'arrête, car ça en devient fatiguant. Je suis encore jeune, j'ai ma vie à construire, des études à réussir, des projets qui se font peu à peu avec mon fiancé. J'ai eu un blocage au niveau des sentiments étant gamine, m'empêchant presque de dire "je t'aime" sans pleurer à ma mère, pourtant c'est ce dont elle a le plus besoin, mais je n'arrive pas. Je le pense, j'aime ma mère, c'est mon exemple, mais je bloque, et elle ne le comprend pas, rajoutant de la peine sur sa maladie déjà assez sombre.

 

Honnêtement, je ne sais pas pourquoi je vous raconte tout ça, mais après un énième coup de fil mouvementé, j'avais besoin de raconté un peu mon histoire de mon point de vue, de façon un peu égoïste même, à des personnes qui le vivent plus ou moins comme moi. Et dans un sens, ça fait du bien de savoir qu'on est pas seule face à une maladie trop méconnue à mon sens.

cette maladie est très fatigante pour les malades mais aussi pour la famille . je sais que c'est très dur mais essaye de prendre du recul par rapport à cette maladie . il faut quand même penser a toi et a ta vie. bien sur il faut aider ta mère dans ca maladie mais prend des grand moment ou tu ne pense qu'à toi et à tes loisirs . profite quand même de la vie. c'est important . courage à toi .  

Bonjour

je vis la meme chose depuis des annees mais on ne vit pas ensemble je suis le meilleur homme a ses yeux elle veut des enfants des projets tout avec moi les phases « normales » durent en general 2 mois et demi ou trois mois puis du jour au lendemain elle me sit je ne vais pas bien tu sais que quand je suis comme ca il faut pas me parler j’essaye de lui dire je suis pas pour toi si tu as besoin tu le sais je t’aime pour le meilleur et pour le pire et elle me rejette me dit laisse moi ne m’ecrit plus ou je te bloque je deviens a ses yeux son pire ennemi ca peut durer deux mois facile soit elle me dit car j’arrive pas moi a tenir en etant ecarter ne comprenant pas qu’elle veut pas mon soutien dans cet etat que on arrete que je suis toxique pour elle et que elle me veut plus soit que c’est un break puis un jour elle revient tout est normale comme si il c’etait rien passer et on est amoureux a nouveaux et revis notre vie de reve puis moi je vis dans l’angoisse constante au jour de le jour de me dire ca va revenir et ca revient 4 separations cette annee a chaque fois pour la meme raison car je suis mis z l’ecart de ces phases et j´y arrive pas j’en sombre moi meme en deprime ne vais plus travailler c’est trop dur je pense qu’elle sait que c’est une maladie mais ne fait rien pour se soigner car pas d’amelioration je suis perdu je l’aime mais toute une vie comme ca je tiendrai pas le coup

bonjour mon compagnion est bipolair il es stabeliser mai des que j exprime un poin devue diferent que le sien ou de que je ne suis pas d accord avec lui il pete les cable je l aime mai j ai du aracter je lui repend je conteste si il dit quelque chose qui n est pas vrai et lorsque il me dit que c est fini c est fini pour moi aussi apre il reflechi il revien de son plain gre demander pardon lorsqu eil est en cris eil se crois superieur a tous le mende il devien dur dictatur et il esy de rous controer il esy de me dominer ei il reusssi pas si je me laisse fair c est la cata car il recule devent rien un jour il m a dit que ces ex de que il dit que il va partir elle pleur et elle se met a ses pied je lui expliquer que je suis quelqun de bien et fort et si il m aime malgre sa maladi il doit fair de seffort et que son cote dictatur guache tous et que moi je ne suis pas obliger de rester avec lui car de que je fait un pas vere lui il monte sur ses grand chevaux et je ferai auccun effort et je suis l esclave de personne vu la situation il fais des effort car il m aime et moi aussi je laime je suis pret a fair des effort et le soutenir mai il doit fair des effort avrai dir lorsque il fais une crise je n eprouve auccun amour car jr ne peux jamais aimer la maltraitense le chantage et la dictature et sa il a compris j aimerai l aider mai pas passeer acote de ma vie je suis jeune et j ai tout ma vie devent moi et je n accept pas d etre pas respecter ont dirait que il a un tchalenge c est de fair ensort que je soi soumise a lui il me la demander jentiment et j ai refuse