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Antidépresseurs : nocifs ou incontournables ?
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maritima
Bon conseiller
maritima
Inscrit en 2015
Ah mais un médicament peut être nocif et néanmoins incontournable !!! En fait ,les anti-dépresseurs sont comme tous les médicaments: pris à bon escient je les crois susceptibles d'apporter à la personne un réel mieux-être . je pense ainsi mais .....sans expérience personnelle. J'espère me documenter grâce à vos remarques à toutes et tous.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
alyzée
Bon conseiller
alyzée
Inscrit en 2015
maritima , tu as raison...par ex pour la fibromyalgie...les malades manquent de sérotonine...d'où des manifestations...à xx niveaux même intestinal...
en prenant la "dose"minima utile (souvent très très inférieure à la dose anti dépréssive....) d'un antidépresseur "anti recapteur" de sérotonine la fibro est compensée sur les symptômes en dépendaient....et il est beaucoup plus facile de faire un sevrage d'antidépresseur, que celui d'un anxiolytique.
amitiés
Utilisateur désinscrit
Je suis obligée de prendre le Cymbalta 60.
GIGI
Bon conseiller
GIGI
Inscrit en 2011
Je ne supporte aucun anti-dépresseur !
quesaquo
Bon conseiller
quesaquo
Inscrit en 2012
J'aimerais en savoir plus sur les thérapies cognitives et comportementales SVP?
mapisally
mapisally
Inscrit en 2015
Je prends le cymbale 60 un le matin et un le soir. Je suis toujours autant dépressive mon médecin traitant m'a ajouté en plus 10 mg de seresta le matin et le soir .
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mapisally
Utilisateur désinscrit
comme n'importe quel médicament les anti-dépresseurs ne doivent pas être prescrits à quelqu'un qui n'en a pas besoin mais aurait besoin de tout autre chose. Le problème se situe au niveau du diagnostic bien plus qu'au niveau de la molécule elle-même.
Certains médecins se montrent très légers dans leurs prescriptions et cela aboutit parfois à des catastrophes.
J'ai une amie qui les traite souvent d'apprentis sorciers et elle n'a pas tout à fait tort.
Je pense que les médicaments de ce type (antidépresseurs, psychotropes divers etc) ne devraient pouvoir être prescrits que par des médecins ayant suivi un cursus spécial. Tout ce qui touche au fonctionnement du cerveau devrait être beaucoup plus encadré.
Quand je constate avec quelle facilité n'importe quel généraliste peut prescrire ce type de produits je suis extrêmement inquiète.
matinclair
Bon conseiller
matinclair
Inscrit en 2014
Pour moi personnellement çà m'interpèle !! car j'en ai tous les symptomes !! je ne fais que pleurer, envie de rien, fatiguée, extc !! et en plus cerise sur le gateau je ne dors pas !! jamais avant 4h ou 5h et mme plus tard !! et ensuite je suis toute décalée !! je mange n'importe quoi dans la journée !! et je prends du poids !! je prends pourtant 2 comprimés d'Atarax avant de me coucher, que mon doc traitant m'a prescris, mais çà ne me fait rien du tout !! je ne sais plus quoi faire pour arriver enfin à dormir !! je ne veux pas retomber avec du laroxyl comme j'ai eu à un moment donné car obliger d'augmenter les doses !! j'ai fini par l'arréter petit à petit !! et je n'en prends plus !! et je ne sais plus quoi faire !!! que me conseillez vous de faire ?? je ne rêve que d'une chose c'est de me coucher après mon film et de dormir mes 8h d'affiler comme avant !!
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matinclair
Utilisateur désinscrit
@matinclair voir peut-être un autre médecin pour avoir un autre avis...
matinclair
Bon conseiller
matinclair
Inscrit en 2014
@damedepic, merçi pour la réponse,j'ai justement rv avec ma rhumatologue vendredi !! je vais déjà voir avec elle !!
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matinclair
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Julien
Bon conseiller
Julien
Inscrit en 2012
« Non. La dépendance est un phénomène psychologique et biologique induit par des substances comme l’alcool, la nicotine, le cannabis et les drogues, assure la psychiatre. Ces substances provoquent un effet immédiat. Elles se caractérisent par la nécessité d’augmenter les quantités pour obtenir le même effet, et par des symptômes de manque. Ces phénomènes n’existent pas avec les antidépresseurs, dont l’effet est différé dans le temps. » Comme les personnes prenant des traitements contre le diabète ou l’hypertension, les patients soignés par antidépresseurs ont besoin de leurs médicaments pour être en meilleure santé, mais ils n’y sont pas accros. « Pour autant, un tel traitement ne doit pas être interrompu brutalement, car il existe un effet rebond. »
« Le plus souvent, ils sont bénins: maux de tête, troubles digestifs… Il peut aussi y avoir, surtout au début, une anxiété plus forte, surtout chez les sujets les plus angoissés, et un sentiment d’apathie avec une distanciation accrue par rapport aux émotions. On observe parfois une prise de poids ou une baisse de la libido. » Ce sont des causes fréquentes d’interruption du traitement, mais il est préférable d’en parler avec son médecin pour trouver des solutions : elles ne sont pas parfaites, mais elles existent.
« Les antidépresseurs font partie de la boîte à outils pour soigner la dépression et éviter les récidives, souligne Adeline Gaillard. Ils sont complémentaires d’autres stratégies comme les psychothérapies cognitives et comportementales qui ont montré leur intérêt dans la prise en charge de la maladie. » En cas de dépression légère, une psychothérapie suffit généralement. En cas de dépression modérée ou sévère, les antidépresseurs sont nécessaires et le traitement doit commencer le plus tôt possible. « Plus un épisode dépressif s’installe dans la durée, plus il est difficile à traiter. » Dans certains cas très sévères (dénutrition, idées délirantes, risque suicidaire majeur…), si les antidépresseurs ne suffisent pas, on peut avoir recours à l’électro-convulsivothérapie. « Cette technique s’est bien améliorée et permet une amélioration souvent plus rapide », assure le docteur Gaillard.
Ouest-France.fr