- Accueil
- Forums
- Forums généraux
- Droits et démarches - Maladies chroniques
- Vie professionnelle : quels droits à la réinsertion pour les patients ?
Vie professionnelle : quels droits à la réinsertion pour les patients ?
- 967 vues
- 28 soutiens
- 99 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaire
Utilisateur désinscrit
@B.Barbara d'accord avec toi mais je n'avais pas encore ce statut jetais juste en maladie avec de l'oxygène à l'effort de toutes façons ils ont perdu le prudhomme. Bonne journée. J'ai quand même été viree pendant la période de protection prévue par ma convention collective pour maladie qui était de 6 mois.au bout de 5. C'est ballot.
Amicalement maria

Utilisateur désinscrit
@fadada bien sur que je l'ai vécu … et je continue à le vivre encore aujourd'hui.
Bien à vous
soft3131
Bon conseiller
soft3131
Dernière activité le 07/02/2025 à 15:05
Inscrit en 2016
33 commentaires postés | 2 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
2 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
@B.Barbara je ne m’arrête pas aussi souvent que j’en ai besoin pour éviter les réflexions car je sais que quand je m’arrête ça ne plaît pas à certains collègues de travail..!! Les gens qui sont en bonne santé ne comprennent pas ..!! Malheureusement..!!
Ccannelle
Bon conseiller
Ccannelle
Dernière activité le 07/01/2022 à 22:14
Inscrit en 2019
69 commentaires postés | 1 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
@Masacha10
Bonjour,
Je me demandais si compte tenu de ta situation tu avais essayé un retour via un CLM fractionné plutôt qu un mi temps thérapeutique.
Étant donné que le CLM a deja été accepte et que le mi temps thérapeutique dure une année maximum pour toute la carrière.
J imagine qu il n a pas du être aise de discuter de ça avec la medecine du travail, vu la manière avec laquelle tu as été soutenue.
Dans tous les cas, bon courage pour ta reprise
Béatrix
Bon conseiller
Béatrix
Dernière activité le 07/11/2024 à 07:04
Inscrit en 2017
321 commentaires postés | 6 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
9 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
Il n'y a hélas pas que le cancer qui foudroie une vie professionnelle. Des maladies peu connues comme la glossodynie vous rendent invalides et sans que vous puissiez prévoir à quel moment de la journée vous serez à même de pouvoir travailler car vous souffrez au point de devoir rester prostré dans votre lit, en sueur, avec le coeur qui bat à tout rompre. Dur de trouver pour ce genre de pathologie, une activité prof assez souple pour gérer son emploi du temps en fonction de l'intensité de la douleur et pourtant, ça me changerait les idées .
Voir la signature
Béa

Utilisateur désinscrit
@Béatrix je vous souhaite beaucoup de courage
Nathdu57
Bon conseiller
Nathdu57
Dernière activité le 26/07/2021 à 13:43
Inscrit en 2018
12 commentaires postés | 3 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
Bonjour, moi je suis atteinte d'une maladie inflammatoire, je suis en invalidité cat 1 et depuis que mon employeur a reçu ma demande pour diminuer mon temps de travail càd mi février, il me ballade de visite médicale en visite médicale avec l'interdiction de travailler pour ne pas mettre soit disant ma santé au travail en danger. Je précise que je n'étais absolumment pas en arret de travail lors de ma demande. Je suis donc payée à ne rien faire certainement en attendant que cet employeur trouve de quoi me licenscier. On parle souvent des travailleurs mdph et de leur protection salariale mais les invalides qui peuvent travailler ne sont vraiment pas protégés par un code du travail et dans mon cas je trouve cela bien triste.
Voir la signature
Nathdu57
Rochambeau
Bon conseiller
Rochambeau
Dernière activité le 16/01/2025 à 16:07
Inscrit en 2018
6 246 commentaires postés | 52 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
108 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
@Nathdu57 normalement, si tu bénéficie du statut de "travailleur handicapé", tu es indéboulonnable ! va en parler avec ton médecin du travail sans oublier une assistante sociale. On reste en contact, n'est-ce pas ?
Moi, je vais très prochainement lui demander de me passer en catégorie 2, ce qu'il m'avait proposé lors de la visite l'année dernière, mais j'avais bêtement refusé. Je suis à "temps partiel". Avec le traitement contre l'épilepsie, j'ai besoin de me reposer plusieurs fois sur mon lieu de travail, j'ai donc demandé à mon supérieur hiérarchique si je pouvais installer un lit d'appoint dans l'entreprise, et il n'y a pas eu le moindre problème (ça fait une vingtaine d'années que je travaille dans cette boîte, alors tout le monde sait combien j'étais "au taquet" avant d'être épileptique, et que je ne suis pas prise par des attaques de paresse soudainement).
Voir la signature
rochambeau
keke le lyon
Bon conseiller
keke le lyon
Dernière activité le 10/11/2024 à 00:17
Inscrit en 2014
527 commentaires postés | 112 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
4 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Ami
@Rochambeau
Bonjour, mais là vous êtes en train de vous mélanger les pinceaux et de mélanger ceux de @Nathdu57 en mélangeant la pension d''invalidité de la CPAM (Caisse Primaire Assurance Maladie) et la RQTH (Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé) de la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées), en gros vous mélanger l’invalidité et le handicap qui sont deux choses bien distinctes et sont traitées par deux administrations différentes.
enfin que l'on est l'un ou l'autre ou même les deux, on n'aura pas de protection particulière par rapports à ces collègues de travail, un patron qui décide de licencier quelqu'un le fera.
Bye, Bye.
Voir la signature
La suite dans les idées est souvent le dernier refuge des gens sans imagination. OSCAR WILDE
Rochambeau
Bon conseiller
Rochambeau
Dernière activité le 16/01/2025 à 16:07
Inscrit en 2018
6 246 commentaires postés | 52 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
108 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
vous ne pouvez pas vous imaginer combien je vous remercie pour votre témoignage, @keke le lyon !
un patron peut donc licencier un "travailleur handicapé" sans avoir à payer ça un certain prix ? on appelle ça "vouloir le beurre, l'argent du beurre ET le sourire de la crémière..." !!! L'année dernière, lors du colloque sur "Les épileptiques et le travail", une petite jeune, épileptique comme moi, et bénéficiant du fameux statut de "travailleur handicapé", a témoigné s'être fait licencier par son employeur qui était... médecin ! ni une, ni deux, elle a porté l'affaire devant le tribunal des Prud'hommes, et ce médecin s'en est bien mordu les doigts ! quant à elle, elle n'a pas perdu son moral de combattante, et a publié un livre, que je lui ai acheté, bien sûr !
Voir la signature
rochambeau
Donnez votre avis
Enquête
Enquête
Articles à découvrir...

25/04/2025 | Conseils
Les secrets du journaling pour une meilleure qualité de vie avec une maladie chronique

15/04/2025 | Droits et démarches
Comment protéger juridiquement un proche vulnérable ? Les conseils d’un expert !
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Louise
Bon conseiller
Louise
Dernière activité le 11/06/2021 à 09:00
Inscrit en 2018
2 069 commentaires postés | 66 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
19 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Messager
Engagé
Explorateur
Evaluateur
Droit à l’oubli, horaires aménagés, statut de travailleur handicapé… autant de thèmes qui résonnent tout particulièrement pour les malades chroniques. Leur parcours professionnel est souvent bouleversé par la maladie. L’étude menée par des chercheurs et datant de janvier 2019 a montré que la probabilité d’occuper un emploi au moins un trimestre dans l’année est fortement diminuée l’année qui suit l’annonce d’un cancer, par rapport à l’année avant le diagnostic. Jusqu’à cinq ans après la découverte de la maladie, on note un accroissement des arrêts maladies puis une hausse des situations d’inactivité sur le long terme.
Le type de cancer influe sur la réinsertion professionnelle
L’étude a distingué les trajectoires professionnelles selon le type de cancer dont le patient est atteint. Chez les femmes, le cancer de l’ovaire est celui qui a les conséquences les plus négatives sur la carrière, suivi par le cancer du sein. Chez les hommes, le cancer de la prostate a des conséquences peu prononcées sur le moment mais les effets se ressentent sur le long terme. Chez l’ensemble des patients atteints d’un cancer, les cancers du poumon et des bronches sont les plus impactants sur la vie professionnelle, contrairement au cancer de la thyroïde qui n’a que peu de répercussions sur l’emploi des patients concernés.
>> (Re)lisez le témoignage d’Alain : « le marché du travail exclut les malades chroniques »
L’étude conclut que les entreprises ont un rôle majeur à jouer et devraient être incitées par l’État à lutter contre les discriminations liées à la maladie.
Maladies chroniques et vie professionnelle : quelles solutions mettre en œuvre ?
Les cancers ne sont pas les seules maladies qui peuvent influer sur la carrière. Toute maladie qui a des conséquences sur le moral, la condition physique ou la santé mentale peut justifier des aménagements de poste. Il ne faut pas hésiter à en parler à un professionnel de santé.
>> Rejoignez notre forum dédié aux droits et démarches administratives pour poser vos questions
Dans certains pays, la visite médicale est obligatoire dans le cadre d’une embauche. Le médecin du travail est alors l’interlocuteur privilégié du patient et pourra exiger des aménagements de votre cadre professionnel.
Privilégier l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés…
De la même façon, le statut de travailleur handicapé, appliqué en France et au Luxembourg, permet de reconnaître les droits des patients dans le monde professionnel. Certains pays, principalement en Europe, ont mis en place l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés. En France, elle s’applique pour les entreprises de plus de 20 salariés en France, à hauteur de 6% des effectifs, sous peine d’amendes. L’Allemagne, l’Italie et l’Espagne appliquent des politiques similaires en matière d’accès à l’emploi. L’Allemagne fait d’ailleurs office de bon élève de l’Europe puisque le taux obligatoire d’emploi de 5% est presque atteint dans le privé comme dans le public, à 4,5%.
Ou la lutte contre les discriminations ?
En revanche, au Royaume-Uni, la seule base juridique est l’Equality Act de 2010, qui protège contre toutes formes de discrimination (âge, sexe, origine, handicap…). Une aide financière nommée Access-to-Work peut également être octroyée aux patients pour mieux s’équiper. Aux Etats-Unis, l’American with Disabilities Act plaide pour une approche inclusive, luttant pour l’égalité des chances. C’est également une approche au cas par cas, sans obligation d’emploi particulière pour les handicapés.
Pensez-vous qu’il faille obliger les entreprises à embaucher un certain nombre de travailleurs handicapés ? Quelle politique mettriez-vous en place ?
Comment bien gérer son retour à l’emploi après un cancer ou après le diagnostic d’une maladie chronique ? Avez-vous été victime de discriminations ?
Donnez-nous votre avis et partagez votre expérience pour aider d’autres personnes à mener une vie professionnelle épanouie !
*Thomas Barnay et al., « L’effet des cancers sur la trajectoire professionnelle », Questions d’économie de la santé, n° 238, décembre 2018. Etude fondée sur la base de données administratives Hygie.