La recherche sur la fibromyalgie et tout autre sujet scientifique en 2013-2014

je ne savais pas où me "poser" et je fais remonter le sujet:  je le laisse dans cette "grosseur"sinon trop dur à lire 

On ne connaît ni leur nombre, ni leur technique, mais pour beaucoup, « Ca marche ». Présents depuis la nuit des temps, les guérisseurs n’ont jamais disparu du paysage, même si le monde d’aujourd’hui leur laisse une place marginale.

«Guérisseurs, connais pas ! » Ils sont pourtant plus d’une centaine en Auvergne (sur environ 8.000 en France), et il n’y a en général, pas besoin de chercher longtemps pour en trouver un : on connaît toujours quelqu’un qui en connaît un. Mais la médecine officielle semble éviter le sujet : alors que des milliers d’Auvergnats y font régulièrement appel, le sujet reste éludé : au CHU, « pour ce qui est de nos grands brûlés, ils partent sur Lyon. On ne fait donc pas appel à de quelconques charmeurs de feu… ni à d’autres spécialistes ».

Même réponse à Jean-Perrin où pourtant, de nombreux malades, traités par radiothérapie, utilisent les services de charmeurs de feu : « Notre direction ne communique pas sur ce sujet et n’est d’ailleurs pas favorable à ces médecines parallèles qui ne reposent sur aucune base scientifique ». Dans le même domaine, au Pôle Santé République, où l’on pratique également le traitement par rayons, on reconnaît que de nombreux patients font appel aux charmeurs de feu. « C’est assez courant, mais cela se fait sans nous ». À tel point que les médecins et infirmières que nous avons cherchés à contacter se sont tous désistés.

« Il y a une gêne, analyse Michel, passé il y a quelques années sous les rayons, aujourd’hui guéri, mais qui allait chercher un soulagement très efficace chez un coupeur de feu. « Nous sommes très rationnels en France. Or ce qui se passait sous les mains de mon guérisseur n’avait pas d’explication. Et pour quelqu’un qui a fait cinq, dix ou quinze ans d’études, il est dur de reconnaître qu’un autre, sans diplôme, obtienne des résultats. Dommage, car il n’y a pas de concurrence : un guérisseur ne soignera pas votre cancer… et un médecin n’atténuera pas vos brûlures comme le font ces gens ».

« Heilpraktikers »

Ailleurs, la cohabitation est plus facile, en Belgique, au Canada, aux USA, en Suisse ou en Allemagne, où environ 20.000 « Heilpraktikers » (*), reconnus, diplômés, exercent en toute transparence. « Mais il y a ici un problème de dogmatisme, tente d’expliquer Georges Vachon, ostéopathe à Clermont-Ferrand. Ces pratiques ont toujours existé et il y a aujourd’hui des phénomènes qu’on arrive à mesurer. Des modifications de la température de certaines zones, un rayonnement, des vibrations, des choses sur lesquelles, nous, ostéopathes, nous travaillons. Mais tout ça reste inacceptable pour notre cartésianisme. Sans parler de la religion du tout puissant diplôme, qui nous a valu a nous aussi, ostéopathes, quelques soucis par le passé ».

Belle ignorance !

Médecine officielle et parallèle poursuivent ainsi leur vie… en s’ignorant, comme l’a fait toute sa carrière Marie-Thérèse, aide soignante à l’hôpital nord : « Je soigne les brûlures et les zonas. Et je suis souvent intervenue sur des patients qui me le demandaient, mais en cachette. Une fois, une patiente, ravie, s’est empressée de le répéter au médecin. Je me suis fait chambrer, comme quoi j’étais devenue médecin… mais ça n’a pas été plus loin… et j’ai continué sans en parler, même si toutes mes collègues savaient et faisaient appel à moi quand quelqu’un se brûlait chez eux ».

« Quel intérêt auraient ces gens, qui souvent ne se font pas payer, de faire croire aux gens qu’ils les soignent ? Et quel intérêt auraient leurs clients de retourner les voir s’il n’y avait aucun résultat ? », rajoute Michel.

On n’a pas la réponse, mais comme en la matière ; on n’a réponse à rien… finalement, tout rentre dans l’ordre. 

(*) Statut délivré aux praticiens en médecines naturelles dans les pays de langue allemande .

Arnaud VERNET

la recherche...au niveau cerveau

LE CERVEAU SE « RECÂBLE » TOUT SEUL APRÈS UNE LÉSION

cerveau, neurone

publié le 13/07/2013

lorsque l’hippocampe, cette zone du cerveau qui joue un rôle crucial dans l’apprentissage et la mémoire, subit une lésion majeure, des circuits neuronaux alternatifs se créent afin de compenser la déficience de l’hippocampe. Une découverte qui pourrait aider à mettre en place de nouveaux traitements contre la maladie d’Alzheimer.

C’est une découverte très probablement majeure concernant le phénomène de la plasticité neuronale qui vient d’être récemment réalisée. Et pour cause, puisqu’une équipe de scientifiques, emmenée par le neuropsychologue Michael Fanselow de l’Université de Californie (Los Angeles, États-Unis) et le neurologue australien Bryce Vissel (Institut Garvan pour la recherche médicale de Sydney, Australie), a découvert que certaines zones du cortex préfrontal (situé à l’avant du crâne, le cortex préfrontal joue un rôle majeur dans le raisonnement et les comportements sociaux) sont capables de « prendre le relais » lorsque l’hippocampe, cette aire cérébrale centrale dans les processus d’apprentissage et de mémorisation, ne peut plus fonctionner normalement suite à une lésion.

Plus précisément, ces scientifiques ont découvert que lorsque l’hippocampe est lésé, des circuits neuronaux alternatifs voient le jour dans le cortex préfrontal afin de suppléer à l’incapacité de l’hippocampe à assurer sa mission. Un phénomène d’autant plus surprenant que le cortex préfrontal et l’hippocampe ne sont pas du tout des zones voisines.

La découverte d’une telle plasticité dans la création des circuits neuronaux laisse entrevoir la possibilité de mettre un jour au point de nouveaux traitements permettant de mieux traiter la maladie d’Alzheimer, ainsi que les dommages causés par les accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Le résultat a été publié le 15 mai 2013  dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences, sous le titre « Prefrontal microcircuit underlies contextual learning after hippocampal loss«  .

Pour parvenir à ce résultat, les neurologues américains et australiens ont étudié le comportement de rats ayant subi une lésion de l’hippocampe. Ils ont ainsi découvert que ces rats étaient bel et bien capables d’apprendre de nouvelles tâches, malgré les dysfonctionnements graves affectant leur hippocampe.

Ces travaux ont été menés suite à de précédentes expériences qui avaient montré que les régions du cortex préfrontal des malades d’Alzheimer étaient étonnamment actives. Un constat qui avait incité  les auteurs de l’étude à faire l’hypothèse que des « circuits de compensation » pouvaient se créer dans d’autres zones du cerveau, comme par exemple le cortex frontal, en cas de dysfonctionnement affectant les aires cérébrales associées à la mémoire et à l’apprentissage.

A l’évidence, cette découverte est extrêmement prometteuse. En effet, elle suggère qu’il pourrait être possible d’exploiter cette plasticité neuronale pour aider les malades d’Alzheimer à développer des capacités d’apprentissage et de mémorisation.

Plus encore, cette plasticité neuronale pourrait également être utilisée pour aider les personnes ayant subi un accident vasculaire cérébral à récupérer leurs facultés de mémoire et d’apprentissage. En effet, il faut savoir que l’hippocampe, cette zone du cerveau en forme d’hippocampe qui joue un rôle central dans la formation des souvenirs, est particulièrement sensible aux dommages susceptibles d’être causés par un accident vasculaire cérébral.

Merci Arnica

En ce qui concerne les guérisseurs, je connais beaucoup de personnes qui vont les voir pour des zonas, des verrues etc mais j'habite un petit village à la campagne, et il me semble que les personnes âgées, plus que les jeunes, se dirigent vers cette méthode de soulagement !!

Pour l'autre sujet, j'ai des voisins Américains qui reçoivent régulièrement des journaux des USA et j'y ai vu ce sujet, sans m'y attarder vraiment ! Peut-être aurais-dû

Rien n'est perdu, puisque dorénavant, je peux le lire et le relire autant de fois que je veux, ici

Merci encore

Arnica :

merci beaucoup pour cet article.

C'est effectivement, une grande découverte, pour certaines maladies ainsi que les avc, savoir que le cerveau peut palier aux lésions devrait permettre aux médecins de ne pas considérer que la lésion est irréversible !

Espérons, qu'ils pourront bientôt faire l'expérience sur l'être humain

bon après-midi

neuropsychiatrie..une nouvelle voie pour soigner la dépression :

des résultats encourageants viennent d'être obtenus avec un modulateur opiacé, l'ALKS 5461,contre la dépression majeure résistante aux traitements standards.

il s'agit de l'association de 2 principes actifs:

un stimulant (agoniste) des récepteurs aux opiacés normalement présents dans l'organisme (hé oui!) et

un inhibiteur (antagoniste) de ces récepteurs.

au vu de la bonne tolérance et de l'amélioration des troubles en 2 mois chez 150 premiers patients, de nouvelles études sont en cours.

juin 2013

Bonjour Arnica,

Merci pour l'info

Belle journée

Bises.

merci des info ARNICA mais tu vois j"avais remarquer et avec mes médecins nous avons parlé !! de l'effet des opiacé sue ma mon état dapressif!!

donc sur surveillance et en notant chaque prise et le pourquoi nous essayons d'avancer dans ce sans!!

douce journée arnica

Arnica, je vois ma soeur samedi.Je vais li demander si elle est toujours en relation avec des député et si il est possible de faire quelques chose avec eux.N'hésite pas a me donner tes idées.Bisous

Bonjour Fleur,

Merci

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Belle journée à toi ! Bien chaude encore, avant l'arrivée des orages !!

Gros