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Dépression et hospitalisation, des témoignages ?
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chrissevemele
Bon conseiller
chrissevemele
Inscrit en 2022
@Ange99 Où as-tu trouvé ce merveilleux HDJ, c'est ce que je cherche pour mon amie qu'aucun psy ou h.p. n'ont jamais réussi à soulager.
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Christine Convert
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Ange99
Bon conseiller
Ange99
Inscrit en 2021
@chrissevemele
Bonsoir
Désolée pour ma reponse tardive.
Hdj Clinique du Pays de Seine | Inicea
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@Ange
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chrissevemele
Bon conseiller
chrissevemele
Inscrit en 2022
@Syl2086 Où as-tu trouvé des soins psy orientés TCC pour pas trop cher ? Je cherche désespérément çà pour mon amie. Merci
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Christine Convert
chrissevemele
Bon conseiller
chrissevemele
Inscrit en 2022
@vivi31 Mon amie, Monique est allée à l'hôpital suite à un ts, on ne lui a pas suprimé ses médicaments on lui en a au contraire donné des doses massives mais ce n'est pas une solution d'avenir : les médicaments ne guérissent pas la dépression, il faut faire une psychothérapie. Elle est peut-être mal tombée, des amis carenity ont fait de meilleures expériences
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Christine Convert
dongano
dongano
Inscrit en 2022
Bonjour!j'aimerais entrer en relation avec chrissevemele (que je viens de lire sur une autre discussion) pour echanger sur une sitution tres repandue et parfois paradoxale!
Je suis just temoin d'une situation que a beaucoup en commun avec celle dont vous parlez, por cela je viens de rejoindre ce forum!
Je sohuaite à Oswin_ et à tous ce que ont le choix de eviter au maximom toute hospitalisation, sauf si strictement necessaire, et en tout cas de garder en priorité les liens avec ceux que nous aiment (meme si c'est parfois difficile, et qu'il faut commencer par faire comprendre ce que on ressent et ce de quoi on a besoin, moi meme j'ai encouragé quelc'un de cher à faire confiance au docteur sans pouvoir imaginer vers quel enfer elle allait!) car dehors, difficilement on trouvera des autres que tiens autant à nous.
Enfin, on connait dans quel etat on arrive a l'hopital, on ne sait pas das quel etat on va se reveiller des le lendemain! Esigez d'avoir une personne de confiance (ne suffit pas de donner un numero de telephone, il faut qu'elle repart avec sa fiche d'engagement, ce que lui donne droit d'intervenir pour vous!).
(desolé pour mon mauvais francais, je comptais sur l'aide du correcteur, mais il est anglosaxone!)
Boncourage à tous et merci pour toute reponse
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G.N.
dongano
dongano
Inscrit en 2022
Bonsoir, je voulais temoigner sur ce soujet, donc voilà:
#1 à ma copine est detectèe une depression melanconique, on lui prescrit du NORTEC . Elle le supporte mal mais on lui dit qu'il faut continuer et envisager quelque semaine d'hospitalisation... elle fait un TS avec overdose de medocs , principalement NORSET!
- Pour commencer, manque dejà une prise en charge psychologique du patient, manque la consideration des problemes liées au medicament, et manque une alerte vers la famille sur les risques (pourtant signalés dans la notice)
elle passe la nuit aux UG, la suivante à la maison.
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G.N.
dongano
dongano
Inscrit en 2022
#2 Le lundi matin je l'ai accompagné comme convenu à la Clinique, à l'accueil ils se sont montrées très cordiales et disponibles, à la sortie du bureau des admissions, le ton a subitement changée ainsi que les quelques règles que nous avait été indiquées, j'ai été mis dehors brutalement, c’était la dernière fois que je voyait ma compagne "normale", la dessante aux enfer venait de commencer!
Des le premier soir, elle me supplie au téléphone de "la faire sortir" car elle ne pouvait pas supporter cet endroit, .La première visite possible fut le mercredi suivant.La première chose que je remarque est sa façon de bouger, elle se déplace comme un robot, avec des petits pas, glissant ses pieds sur les pointes.Depuis elle se sent "endormie" et me dit que lui est difficile de raisonner, elle ne parle que avec des phrases courtes et semples, avec des mots "basiques". (Apparemment c'est du a l'effet choc du traitement, ces symptôme devront s'estomper des que le cerveau commence a s’habituer aux molécules, je ne me souvient pas en ce moment de quelle part est venue cette explication, mais ces effets, que je vais nommer "état de démence", sont toujours présents!) Autre remarque de ce jour, elle présente des "boutons" bien rouges et très évidents, un premier sur le visage et un autre sur le poignet de la main gauche.Je demande si il y a n'as d'autres, elle parle de l’état de sa gorge et de sa langue, attaquées, que s'empirent toujours plus.
Elle est très fragile et apeurée, soupçonne d’être espionnée dans sa chambre et a peur que mème le parc soit "bourré" de micros et cameras. M'explique comment tout est insupportable, le personnel (sauf quelques exception), l’hygiène, la nourriture, et autres, mais surtout, coté médicale, impossible de parler a son psy, d'entendre ou avoir des informations sur son propre traitement, elle est obligée de tout avaler en présence du personnel sans mème pas savoir de quoi il s'agit. (NORSET,LAMICTAL, ainsi que ZOPICLONE au coucher) .Puis ils lui ont doublé les doses, toujours sans aucune indication, moi, je n'ai aucune possibilité de discuter avec son psy, elle continue à avoir de plus en plus de manifestations cutanées, elle demande au generaliste (que elle voit seulement une fois en clinique) de lui dire, indiquant les boutons sur son visage, ce que ça pourrait être, la réponse sera la phrase:"Ça, madame, seulement vous pouvez le savoir" ...comme si c’était du à quelque chose de mauvais que elle aurait pu faire! (Ma compagne à été beaucoup marquée par ces mots).
Au week-end on craque, on décide de tout abandonner et de quitter ce lieu infernal (le jour de l’hospitalisation, sur ma demande explicite, on nous avait bien confirmée que ma compagne, étant en "hospitalisation libre" avait le droit de pouvoir quitter la clinique de sa propre initiative à n'importe quel moment).Dans la réalité ils ont réussi a empêcher la sortie tout le long d'une deuxième semaine, tout en continuant la somministration obligatoire de son traitement a doses doubles. Moi, je trouve sur des post, un cas similaire concernant une autre clinique du mème groupe, (la personne avait fait intervenir l'IRS, quelque heure après l'envoi du fax, sa femme était sortie!) Mais chez nous ce n'est pas pareil, on me répond que s'agissant d'un institut privé, eux n'ont aucune autorité... et bla bla... , pendant cette semaine je contact plusieurs associations dont l'UNAFAM où je trouve des personnes vraiment disponibles et à l’écoute des besoins, toutes volontaires, très engagées , j'arrive a prendre partie à leur réunion régional, prendre contact avec le membre interne à la clinique en question. Sans manquer de passer aux bureaux de la clinique, "tirer un grand coup de gueule" sur le pratiques et le non respect des droits des malades.En réponse, l’employée admet qu’ils sont au courant qu’elle avait demandé de partir à plusieurs reprises tout le long de la semaine, mais ils ne l'ont pas faite sortir, car face au refus du doctor, elle n'a pas assez insisté. Arrive le week-end, elle me dit que il lui donnent un permis de "sortie pédagogique" du vendredi soir au dimanche, bonne nouvelle, certes, sauf que la personne que je récupère ce jour, n'est plus la même, les peurs qu’elle manifestait avant, sont devenue "paranoïe" d'une lourdeur insoutenable, elle se croit continuellement espionnée et contrôlée, elle se méfie de tout le monde car "ils sont la pour la piéger".Le fisic ne va pas mieux non plus, plusieurs boutons sur le visage sont devenue des pustules bien évidentes, la gorge, la langue et les lèvres sont attaquées, elle bouge au ralenti, comme si chaque mouvement est contré par un fil invisible, elle peine à contrôler son équilibre, elle parle comme avec de la mousse, ou du pain dans la bouche.
Bien sur, on n'avait aucune envie, pourtant Elle, n'arrive pas à transgresser règles et consignes,et moi je craint les arrêt brutales des traitement, le Dimanche soir elle retourne en clinique!Le matin suivant, c'est le lundi qui entame la troisième semaine.Contre toute attente elle m'appelle pour me demander de passer la récupérer, ils l'ont dimissionnée!dans le compte-rendu serà mentionné " bonne reponse aux traitements proposés, à continuer pendant 28 jours et serapprocher ensuite d'un specialiste"
-une fois seule, ils l'obligent à signer des documens sur le consentement et l'acceptation de toute traitemens proposé. (les droits sur le choix , l'information et la concertation sont balayé d'un coup!)
-les molecules sont inadaptèes (elle devient delirante et paranoiaque), selon les fiches l'association norset-zopiclone est à eviter, les manifestations que devrait declencher l'arret immediat du traitement, ne son jamais prises en compte! L'overdose relative au ts?
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G.N.
chrissevemele
Bon conseiller
chrissevemele
Inscrit en 2022
@Nacelia Et alors, comment çà s'est passé cette hospitalisation ? on cherche des témoignages. Merci
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Christine Convert
dongano
dongano
Inscrit en 2022
#3 Mon rêve de pouvoir tourner la page a eu courte vie: des la sortie elle donne signes de délire et paranoïa, ses propos sont incohérents.Je l'accompagne voir ses "chers", on se rend au siège de l'UNAFAM (où on nous conseil de contacter le "centre experts").Le soir venu elle est totalement enfermée sur elle mème, elle a refusé touts médicaments et refuse de se nourrir, elle va refuser aussi toute communication et va rester toute la nuit début a me regarder parler, pour essayer de la faire réagir. Elle me fixe d'un regard perdu, j'ai le sentiment qu'elle me voit comme un ennemi ou un antagoniste, je suis effrayé car je crois comprendre qu'elle puisse envisager à nouveau d'en finir! Au petit matin, alors qu'elle semble bouger pour pouvoir sortir, je trouve qu'elle est "totalement absent"! Course aux U.P.! ...Niveau médicament, elle n'a rien pris depuis le lundi matin, je ne sait pas ce qu'ils lui donnent aux urgences, je la voit à partir de 14h, on est le mardi, elle continue dans le refus de communiquer.Je continue de parler, je cherche a la rassurer, et je explore plusieurs argument cherchant ses reactions que je finis par trouver par petits signes, je continue j'insiste jusqu'a obtenir un deblocage de la parole! (je suis long sur ce point, il montre l'importance du travail sur la parole, donc de l'approche psychologique) le débat continue en présence du docteur, puis on discute jousq'au moment de la fin des visites!Elle allait mieux, on s'est parlé au téléphone le soir.Le matin, j’attendais son appel confiant qu'elle puisse sortir l’après-midi.Coup de fil:"je suis en attente de l'ambulance que va m'amener à l’hôpital psychiatrique".Je me précipite pour essayer de l’arrêter, on parle que quelque minute, elle est dans un état de soumission, elle culpabilise énormément, elle croit que en se soumettent, elle puisse préserver ses chers, on avait envisagé de commencer un suivi psychologique, peu être en couple, la je n'arrive plus a la raisonner, le docteur envisageait l'hospitalisation et lui parler ne l'a pas fait changer d'avis! (elle me dira à la suite que ce matin on lui avait somministré plusieurs médicaments, que l' aurait poussée a "dire et faire n'importe quoi"!)
- on ne sait pas ce qu'ils donnent aux urgences,
- l'approche psycologique reste faible ou inexistente
- se laisser imposer cette hospitalisation a eté la plus grande erreur! ..elle a eu le choix ..ou elle a eté conditionne?
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G.N.
chrissevemele
Bon conseiller
chrissevemele
Inscrit en 2022
@dongano J'ai déjà raconté les si gros problèmes de mon amie, Monique avec sa psy que j'ai déposé 2 réclamations auprès de la direction. Nous avons été embètées par l'UNAFAM. Le moral était à 0. Et puis aujourd'hui j'ai fait des rencontres formidables avec des gens qui nous comprennent et sont tout prêts à nous aider, il faut faire savoir çà à tous les malades. Je crois que çà existe dans presque tous les établissements de soins : l'Espace des usagers et ses représentants, çà fait un tas de gens qui sont chargés par la direction de recueillir nos observations et suggestions pour améliorer les parcours de soins des usagers, de veiller à ce que nous restions acteurs des décisions de santé nous concernant, de nous informer sur nos droits et nous aider à les faire valoir etc... tout ce que la psy nous empêche de faire. Ils font çà très bien. Depuis que je les ai découverts (parceque il faut les découvrir) je parle avec eux avec bonheur, ils comprennent tout et nous aident à nous protèger de cette maudite psychiatre, ils suivent de près mes réclamations pour que les malheurs de Monique cessent. Pourvu que çà dure. J'ai abandonné mes militants parcequ'ils n'ont pas le temps de s'occuper des malades mais je m'intèresse toujours à leurs activités et publications. Je raconte tout à France Info Santé par mails, ils écoutent soigneusement et mettent des juristes et des avocats à notre disposition pour nous défendre gratuitement s'il le faut. Je crois qu'il y a plein de bonnes associations mais pas toutes, on essuie des mauvais coups. Le seul vrai problème c'est la psychiatre qui a des relations partout pour empêcher Monique de bénéficier d'autres soins que ses médicaments tous ceux que j'ai sollicités téléphonent à cette sale bonne femme pour demander son autorisation. Elle demande à Monique de ne plus me fréquenter parce que j'ai "une emprise" sur elle (j'espère bien que j'ai une emprise sur elle : je veux qu'elle ne se suicide pas !). Bon, en attendant, j'espère que çà va mieux pour ton amie, que vous aussi faites de belles rencontres et que tu gardes le moral. A bientôt
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Christine Convert
chrissevemele
Bon conseiller
chrissevemele
Inscrit en 2022
@dongano Si l'hospitalisation devient inévitable il faut au plus vite prendre contact avec l'Espace des usagers et le represétant des usagers : ils sont du côté du malade, l"accompagnent et font valoir ses droits.
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Christine Convert
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Nacelia
Bon conseiller
Nacelia
Inscrit en 2018
Bonjour à tous !!! J’attends avec impatience une hospitalisation dans une clinique privé, et j’aurais voulu avoir des témoignages de personnes qui se sont fait hospitalisé ??? Sa vous a aidé ou pas??? Merci ❤️