COVID quand la critique dépasse la réalité de l'action

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suites à certaines réponses

Il est frappant de constater, avec le recul de la pandémie de COVID-19, à quel point une partie du débat public semble ignorer la logique élémentaire de la crise sanitaire.Imaginez un instant le scénario inverse : Si, face à ce virus inconnu et meurtrier, aucun vaccin n'avait été développé. La critique aujourd'hui serait unanime et virulente : on dénoncerait l'échec de la science, l'inertie des gouvernements, le sacrifice de la population faute de protection. L'indignation serait totale.Or, le scénario n'est pas celui-là. En un temps record – une prouesse scientifique historique –, des vaccins ont été conçus, produits et administrés à l'échelle mondiale. Ces outils ont permis de sauver des millions de vies et d'éviter un effondrement bien pire des systèmes de santé.Bien sûr, aucune solution n'est parfaite. Ces vaccins ont eu des effets secondaires, parfois graves, et leur efficacité a varié face aux mutations du virus. Mais dans un contexte d'urgence absolue, ils ont représenté la meilleure réponse disponible pour faire face à une menace sans précédent.Aujourd'hui, une autre vague de critiques s'élève : celles qui dénoncent l'action, l'existence même des vaccins, l'État, les institutions. Ces critiques s'appuient souvent sur des affirmations non étayées – des rumeurs, des peurs, et non des preuves scientifiques solides.Il est temps d'exiger de la rigueur : Ceux qui dénoncent un "tissu de mensonges" ou un "crime" doivent produire des preuves irréfutables pour soutenir leurs allégations. Sans cela, leurs paroles restent de simples opinions, des bruits de fond qui sèment le doute au lieu d'apporter la vérité.Chaque individu réagit différemment au virus comme au vaccin. C'est une vérité biologique indéniable. Mais la science travaille sur la statistique, l'efficacité globale et la réduction du risque à l'échelle d'une population.Au lieu de crier à la mauvaise foi à chaque imperfection, il est essentiel de se souvenir de l'objectif initial : réduire l'impact d'une catastrophe. La critique constructive est vitale en démocratie, mais les accusations non fondées ne servent qu'à obscurcir la réalité.

C'est là que le débat bascule souvent dans l'irrationnel : sur la question des preuves.Lorsque des organismes de santé comme l'ANSM, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ou l'Agence Européenne des Médicaments (EMA) publient des données sur l'efficacité et la sécurité d'un vaccin, elles le font en s'appuyant sur des milliers de pages d'études cliniques, des analyses statistiques soumises à la revue par les pairs (évaluation par d'autres experts) et des systèmes de pharmacovigilance en temps réel. Ces organismes sont par nature soumis à la transparence et leurs travaux sont vérifiés par des institutions de contrôle (Cour des Comptes, Parlements, etc.).À l'inverse, beaucoup de critiques et d'accusations sévères diffusées sur les réseaux sociaux ou par certains leaders d'opinion sont lancées sans aucune preuve factuelle comparable.Accusation grave = Preuve solide : Affirmer qu'il y a eu "crime contre l'humanité" ou "tissu de mensonges" n'est pas une simple opinion; c'est une accusation juridique et criminelle extrêmement lourde. Où sont les dossiers judiciaires ? Où sont les enquêtes indépendantes qui ont conclu à une culpabilité ? Les preuves requises doivent être de l'ordre d'un jugement incontestable, pas d'une simple hypothèse ou d'un montage vidéo.Les mécanismes de la science : La science ne fonctionne pas par l'intuition, mais par la méthode expérimentale et la reproductibilité. Si un chercheur remet en cause une conclusion générale, il a le devoir de publier ses propres données et de soumettre son travail à l'évaluation des pairs pour prouver que l'erreur est dans le consensus, et non dans son analyse. C'est ce travail de preuve qui manque cruellement aux détracteurs non scientifiques.Le danger du "je sais, mais je n'ai pas de preuves" : Ce type de discours crée un vide de confiance. Il installe l'idée que "tout est caché" et que les institutions sont corrompues, sans jamais avoir à présenter la moindre pièce justificative. Cette absence de preuve est une arme rhétorique, mais elle ne résiste pas à un examen rigoureux.En conclusion, si l'on veut un débat sain, il faut exiger que ceux qui prétendent détenir une "vérité alternative" fournissent des preuves vérifiables, publiées et évaluées par des organismes indépendants, au lieu de se contenter de jeter le discrédit sur l'ensemble du système sans jamais apporter d'alternative crédible et documentée. Je vous remercie de votre participation à cette discussion, mais face à la gravité des affirmations que vous avancez – notamment sur un "tissu de mensonges", un "crime contre l'humanité" ou l'incompétence des institutions – je me dois d'exiger une rigueur factuelle équivalente à vos accusations

.@CelinLmne @titine59 @Valou66

Vous pouvez dire ce que vous voulez sur moi , mais vos accusations sont extrêmement graves ("crime contre l'humanité", "tissu de mensonges"). De telles allégations nécessitent des preuves irréfutables pour être recevables. L'heure n'est plus à la simple opinion ou à la théorie du complot. C'est pourquoi j'exige : Cessez de répondre sans preuve concrète. Fournissez immédiatement des documents officiels, des jugements de tribunaux, ou des études scientifiques reconnues qui prouvent ce que vous avancez. Les liens vers des blogs, des vidéos YouTube ou des pages de réseaux sociaux ne seront pas considérés comme des preuves.Si vous n'êtes pas en mesure de fournir ces éléments vérifiables, ne répondez pas !

bonjour, moi je me vaccine pas contre le covid j'ai eue une réaction violente même le vaccin de la grippe me conviens pas car aussitôt vaccinée j'ai attrapée la grippe de la forme la plus forte. Apres je ne critique pas chacun fait comme il veut ou comme il peut amitiés

Bonjour @Candice.S @Claudia.L

Merci @phildu @maritima @Zaza1966+ @Nathphil @pesquerin @pomme123 @arlesienne @Hookette Je soutiens vos avis.

Bonjour @12byron @Valou66 @titine59 @CelinLmne @Titus1968

et tou(te)s.

Tout d’abord, je vous le dis tout de suite : je n’entrerai pas dans une guerre sur ce sujet. Je suis pacifiste (sauf en cas d’agression ! ) Et je déplore très fortement que certains sortent les insultes comme s’ils ne savaient pas communiquer. Ce n’est pas ainsi qu’on fera avancer la réflexion.

On sait bien que le virus du covid cause ou aggrave une multitude de pathologies, même à long terme, et même quand on a l’impression d’avoir eu seulement une infection bénigne.La particularité du site de clivage furine, que possède ce virus SARS-CoV-2., lui confère une augmentation de pouvoir infectieux. Il est dangereux, et possiblement mortel. Ça n’est pas un rhume banal !

Des mesures immédiates et drastiques auraient dû être prises, au niveau planétaire, pour éviter sa propagation, dès les tous premiers débuts : port du masque généralisé, repositionnement de médicaments dont certains ont montré une efficacité, vaccination la plus rapide possible, et avec une adhésion la plus généralisée possible de la part des personnes, afin d’éradiquer le virus.

Malheureusement, des conflits d’intérêts, plus politiques et économiques que scientifiques, ont scindé le monde en deux, alors qu’une situation si terrible aurait dû réveiller la solidarité parmi les gens. Des fake-news ont proliféré, nuisant gravement à l’efficacité de la lutte contre le virus, et contribuant à une insuffisance de protection des populations. Et pour des années et des années encore. Cette pandémie de Covid-19, a des fait 20 millions de morts, et n’a malheureusement pas terminé de faire des victimes, de manière directe ou différée.

Perso, je fais chaque année les vaccins anti-grippe et anti-covid (à une semaine d’intervalle). Tout s’est toujours bien passé.

Je pense que pour l’immense majorité des gens, la vaccination est la meilleure solution, car elle permet une production de lymphocytes et une synthèse d’anticorps suffisants pour assurer leurs rôles protecteurs. J’ai fait il y a quelques mois, un dosage des anticorps IgG anti SARS-CoV-2. Cela peut se faire sans prescription médicale. J’avais un taux d’anticorps correct. La protection immunitaire induite par la vaccination est efficace.

Mon argument est aussi qu’il vaut mieux recevoir le petit fragment d’ARN non répliquant contenu dans le vaccin, plutôt que l’ARN total du virus répliquant avec sa reverse-transcriptase (c’est-à dire qu’il se multiplie), ce qui est beaucoup plus grave.

Juste pour ne pas être injustement étiquetée, je tiens à préciser que je m’informe beaucoup, que je m’intéresse aussi bien aux recherches sur l’ARN qu’à la phytothérapie traditionnelle, que j’ai un niveau suffisant en Biologie Cellulaire et Immunologie pour élaborer moi-même mes idées, et que par nature je crains les effets de groupes qui sont parfois des supports d’intox.

Prenez soin de votre santé et de celle des autres.

Bonjour @CelinLmne,

J'ai pris connaissance des commentaires postés dans le week-end. Vous êtes encore allé trop loin. Vous pouvez tout à fait avoir votre propre opinion mais dénigrer d'autres membres car ils ne pensent pas comme vous est inacceptable. Nous ne sommes pas en dictature. J'ai modéré vos commentaires.

Le forum Carenity doit resté un espace d'échange bienveillant.

La prochaine fois, votre compte sera suspendu.

Bien à vous,
Candice de l'équipe Carenity