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La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
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brunobriand
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brunobriand
Dernière activité le 10/01/2022 à 13:57
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Bonjour,
pas facile d’avoir une vie sentimentale et sexuelle normale avec la BPCO . Il faut , je penses avoir une femme , ou compagne qui comprend vos difficultés et vous aide à surmonter ce problème . Nos efforts étant limités , il faut toujours composer et le résultat pas toujours très agréable pour l’un comme pour l’autre , d’ou Une grande frustration . Si quelqu’un a des , positions ou solutions merci de partager . Cordialement BB
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BB

Utilisateur désinscrit
Il y a fort longtemps que j'ai fait mon deuil d'avoir une copine dans ma vie , dans mon lit , j'envisage d'acheter une chèvre faute de mieux , elle pourra dire "-Méé, méé" Je lui répondrais : "-Il n'y a pas de mais!"
Plus sérieusement , que voulez vous ? La maladie m'a physiquement changé , je me croiserais dans une rue étroite , la nuit , je me ferais peur , je peu comprendre ne pas attirer l'amour , je fais donc contre mauvaise fortune bon cœur.
Mais avoir des assistantes sexuelles , comme dans certain pays , ne serait pas un luxe , j'aimerais parfois , me sentir homme normal
poppy64
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poppy64
Dernière activité le 03/10/2020 à 15:21
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Bonjour. 55 ans bientôt. Seule depuis 1999. Mais j'ai une vie sociale. Je vais à la MVC de mon quartier. Je fais partie d'une association qui aident des migrants.
Je lis , je joue de la guitare. J'ai fait des pèlerinages en Pologne. J'ai visité
Auschwitz , Rome, Assise.
J'aime la vie. Il faut garder espoir.
Je suis contente de ce que j'ai. et je suis riche de mes rencontres et de mes amis.

Utilisateur désinscrit
53 et seul depuis juin 1989 @poppy64 , je vous bat , de plus je suis un homme , contrairement a vous , je ne voyage pas , et plus je vieillis , moins je suis patient , a 30 ans j'aimais les bébés , aujourd'hui , je ne veux plus en voir , c'est trop cassable , et les gens m'ont si déçus que je vie très bien en en voyant le moins possible
fadada
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fadada
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63 ans , j'ai eu un cancer de la prostate et pendant 18 mois aucune relation sexuelle avec ma femme car j'avais plus d'érections . Ma doctoresse m'a dit qu'il fallait du temps pour que les érections reviennent naturellement ou avec une petite pilule comme le viagra . Ma femme a été patience mais cela nous a pas empêché de faire des calins pour remplacer l'acte d'amour . Après les 18 mois j'ai vu mon sexe se redresser un peu et avec cette pilule j'ai pu faire l'amour à ma femme avec pénétration . Elle m'a même remonté le moral car pour un homme ne plus bander c'est la honte . Maintenant notre vie à repris comme avant sauf quand amour cela dure un peu moins longtemps mais ma femme ne se plaint pas . Dans ce cas il faut être solidaire l'un vers l'autre . Ma femme m'a dit que l'amour n'était pas que du sexe on peut remplacer ca par des bisous , des calins , des surprises , etc...
Dire à sa doctoresse que je n'avais plus d'érections cela n'es pas facile et au début quand il fallait se mettre nu devant elle pour un touche rectal j'avais un peu la honte , et palper les testicules pour voir si j'avais pas aussi un problème de ce côté là . Elle m'a rassuré en disant qu'elle était docteur et qu'elle avait déjà vu plusieurs hommes nus . Maintenant plus de complexe quand on parle de sexe ou de pilules pour les érections , elle m'a dit aussi que j'étais fort d'en parler car beaucoup d'hommes n'osent pas de parler de leur verge
il faut se battre pour garder sa moitié malgré sa maladie
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fadada
helene59273
helene59273
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Bonjour, lors de môn premier cancer, c est sur que la peur etait la pour nous deux, surtout que môn fils n avait que deux mois, puis la perte des cheveux, mais les sentiments etaient' à ma recidive j ai dû subir une masectomie puisque du meme côté pas evident le retour à la maison' nous avons discuté tous les deux, je ne l ai jamais force à voir "l absente" comme je l appele toujours, puis au bout de 3 semaines, il est venu me voir dans la sdb car j étais longue et il a vu l absente, par la suite, il a caressé ce côté, puis lors d un moment intime il s est lache depuis on s est retrouve comme avant, il.nous a fallu du temps et de la patience.
Reno62
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Reno62
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@fadada je suis pareil, cancer de la prostate à 47 ans. Cela fait un ans sans relations. Je vais dire que ma femme me soutient énormément et qu elle comprend mais avec l hormonothérapie ce n'est même pas la question d'avoir une érection, c est que je n' ai plus l envi et ne la désire plus ( putain d'hormonotherapie). Ça me bouffe le moral et j ai peur car j' ai 48ans, elle 44 ans va t elle resister. On en parle, elle me dit oui mais pour moi je ne suis pas rassuré. J'aime trop ma femme et a chaque fois qu elle part travailler, j y pense et ça me fait un coup sur le moral. Tu dis que pour un homme ne plus bander c est la honte, mais ne plus désirer sa femme c est pire que tout! C est même de l' humiliation !!!
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Reno62
CharlotteDL
CharlotteDL
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@Reno62 oui mes si tu ne la désire plus ses que les pensés et désire vont ensemble ses pas comme si tu ne l’aime plus le désir n’est pas là à cause de la maladie oui c’est difficile mais tu doit comprendre que tu n’y peut rien ont espère tous pour le mieux et ses un peut ça aussi rester dans la réalité et rester positif , la vrai amour c’est ça ont s’entraide ont s’aime ont soutient avec compassion prend soins 🕊🕊🕊🕊🕊🕊
fadada
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fadada
Dernière activité le 08/05/2025 à 10:26
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oui reno cela est dur de vivre avec des doutes , mais surtout restes positif et il y a d'autres manières pour éviter la séparation . Ta femme sait pour ta maladie et elle doit aussi dire que cela n'est pas de ta faute , c'est la vie . Essaies de la séduire par d'autres manières en allant au restaurant , un petit bouquet de fleurs , des mots doux , tu n'es pas un gosse , tu es mature . Il faut en parler un bon coup des problèmes de cette maladie , ta femme est censée , elle va comprendre . Il faut la reconquérir d'une autre manière .
Je te souhaite de réussir
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fadada
Reno62
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@CharlotteDL @fadada bonjour, ça fait du bien d' avoir un forum comme celui et d'échanger avec vous. J'étais avant sur un forum spécialisé sur la prostate mais il ne vie pas.
C'est plus fort que moi d'y penser. Même quand j'essaye de chasser cette idée de mon esprit, elle revient toujours. Pourtant je sais qu'elle ne partira pas (enfin je crois), elle est toujours là près de moi a me soutenir de plus c'est une infirmière. Mais bon, de toute façon je vois la psy pour ca
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Reno62
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Louise
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Louise
Dernière activité le 11/06/2021 à 09:00
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Conserver une vie intime et sexuelle : une difficulté pour 31,2% des répondants
À la question "en tant que patient ou proche, quel impact a la maladie sur votre vie amoureuse", une majorité des participants a répondu que leur vie intime et sexuelle était difficile. De nombreuses raisons peuvent expliquer ce constat : baisse de libido liée à la fatigue, dysfonctions érectiles, douleurs localisées… Être atteint d’une maladie chronique peut fortement troubler les relations intimes avec son partenaire. Quant aux proches de patients, eux-aussi peuvent ressentir un épuisement psychologique, voire physique.
>> Rejoignez notre groupe de discussion sur les dysfonctions sexuelles masculines
Pour les patients qui n’ont pas trouvé l’âme sœur, la maladie peut également freiner la rencontre de partenaires. Notre grande enquête sur l’isolement a révélé que 57% des patients avaient réduit leurs sorties en ville. Les occasions de rencontrer de nouvelles personnes sont donc plus limitées. De plus, 88% des patients ont constaté un impact de l’isolement sur leur vie intime et 98% sur leur vie sociale.
Les relations avec son partenaire sont plus difficiles pour 21,5% des répondants
Pour 21,5% des patients et proches de patients qui ont répondu à l’enquête, les relations avec leur partenaire se sont compliquées à cause de la maladie. En effet, les patients peuvent souffrir de l’incompréhension de leur conjoint ou ne plus avoir assez d’énergie pour leur consacrer du temps et de l’attention.
>> Témoignage : comment gérer ses relations avec ses proches lorsque l’on souffre d’une maladie mentale ?
Seuls 9,3% des participants ont eu le bonheur de voir leur couple renforcé par l’épreuve de la maladie. De nombreux couples se séparent suite au diagnostic d’une maladie ; par ailleurs, une récente étude a montré qu’une femme est six fois plus susceptible de vivre une séparation après avoir reçu un diagnostic de cancer ou de sclérose en plaques qu'un homme dans la même situation. On en discute par ici.
Rester seul, la solution pour 18,3% des répondants
"Je souhaite rester seul(e) en partie à cause de la maladie" est la réponse donnée par 18,3% des répondants à notre sondage. En effet, des cicatrices, la prise ou la perte de poids ou encore l’appareillage médical peuvent engendrer une mauvaise image de soi. Les difficultés à conserver une vie de couple normale ou la peur du rejet de l’autre peuvent ainsi décourager les personnes concernées.
>> Rejoignez notre groupe sur les traitements de la douleur et trouvez des solutions
Que faire pour retrouver une vie amoureuse épanouie ?
Le Ministère des Solidarités et de la Santé préconise avant toute chose de discuter avec son partenaire de ces problématiques. La communication est l’outil qui vous permettra, dans de nombreux cas, de faire évoluer les choses. Chacun, à son rythme, sans se forcer, pourra réapprendre à dialoguer avec son partenaire.
Si vous n’avez pas trouvé l’âme sœur, n’oubliez pas que vous n’êtes pas défini uniquement par votre maladie. Vous conservez les qualités que vous aviez avant d’être malade ou de vous occuper d’un proche souffrant. La sexualité peut prendre de nombreuses formes, que votre maladie soit handicapante ou non.
Il faut également traiter les symptômes de la maladie qui ont un impact sur la vie intime, dès que cela est possible. Des symptômes neurologiques, cardiovasculaires, physiques ou psychologiques peuvent affecter la sexualité, tout comme les effets secondaires d’un médicament. Parlez-en à votre médecin pour limiter la fatigue et la douleur et améliorer votre moral. Vous pouvez également consulter un spécialiste :
- Un psychologue pourra vous aider à surmonter vos blocages et accepter votre maladie ou celle de votre proche
- Un sexologue vous conseillera sur tous les aspects de la sexualité, qu’ils soient physiques ou affectifs
- Un gynécologue traite la physiologie et les affectations du système génital de la femme pour les aider à limiter la douleur ou des gênes diverses
- Un urologue s’occupe notamment de l’appareil uro-génital masculin et pourra vous conseiller face à des troubles érectiles ou autres douleurs
Et vous, votre vie amoureuse est-elle mise en difficulté par la maladie ? En parler, c’est déjà avancer vers une intimité amoureuse et sexuelle, quelle qu’elle soit, qui vous épanouira. Avez-vous traité des symptômes en particulier ?