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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Mglm23
Bonjour à tous ,
j’écrit mon parcours si quelqu’un ce reconnaît là dedans….
début des symptômes fin novembre brûlure urètre comme tout le monde médecin
qui me prescrit un ECBU négatif ..
tempi ça passera je me dis mais non cela empire 20 décembre ( croyais moi ça m’a marquer ) une douleur au périnée et au rectum tellement forte .jai aussi des gouttes retardataire . je décide de revoir mon médecin qui me prescrit un éco vessie rénale RAS .. je voie un urologue : TR négatif
et le déroule une multitude d’examens
spermaculture : négatif
éco prostate : négatif
scanner pelvien : négatif
prélèvement urètre : négatif
psa : 0,58 parfait
éco testicule : négatif
mst : négatif
cystoscopie : urétrite mais lurogue m’a dis sans grande conviction ( oué cela doit être du à une prostatite )
j’ai vu un autre urologue TR : négatif qui m’a dis vous somatiser … et m’a proposer un irm prostatite « pour moi c’est dans votre tête mais si ça vous plaisir de perdre votre temps « ..
que puis-je faire ?
Car prostatite sans aucun germes trouver jamais .. urétrite c’est le therme donner à tous quand il trouve pas la cause ! Je suis perdu ..
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Gilles30
Bon conseiller
@Mglm23
Il faut regarder coté neurologique comme syndrome myofascial du périnée ou névralgie pudendale.
Avez-vous sollicité le périnée comme en faisant du vélo ou équitation, etc...?
valogne
@Mglm23 moi aussi courage et surtout tentons de gérer notre stress - il y a des jours voire même de heures où il ne se passe rien... misons là-dessus et gardons confiance... et il y a quand même des commentaires encourageants
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Campeonissimo
Salut cher compratiote Prostaticien.
Je rédige un message car je suis très certainement en période de rechute. J'ai déjà connu une prostatite aiguë qui s'est chronicisé et qui a mis un an et demi à se calmer. À ce moment-là, j'avais fait tous les tests possible et on avait rien trouver (pas de sténose non plus, j'avais fait cystographie et examen rétrograde de contraste RAS). C'était il y a 6 ans. J'ai ensuite connu une période d'accalmie avec quelques petites rechutes dû au stress notamment que j'arrivais à gérer en quelques jours. Et depuis quelques mois et suite à de nouveaux rapports intenses, rechute. Rebelotte. J'ai remis en place mon protocole mais je galère. J'ai refais toute une série d'examen classique, on ne retrouve rien, pas de germe ni quoi que ce soit. Je sais que la zone est fragile désormais et que je vivrai avec cela toute ma vie. Le plus handicapant sont les douleurs urétrales distales. Lorsque je fais une miction mon jet peut être tantôt spiralé tantôt droit et fort, des fois plus faible et j'ai l'impression d'avoir l'urètre bien irritée. Mais il y a un nouveau symptôme qui m'inquiète, lorsque je m'essuie et que je presse un peu l'uretre pour faire sortir les quelques gouttes restantes, il y a avec comme des espèces de petits filaments noirs qui viennent l'urine résiduelle et je ne sais pas ce que c'est. Je peux les voir à l'oeil nu, ce n'est pas microscope et ça ressemble comme a des petits filaments. J'avais pensé à du sang coagulé et j'ai donc passé un ECBU et je n'ai pas hématies microscopique dans mes urines. J'avais pensé que cela pouvait venir d'une zone de la prostate enflammée mais aucune certitude ou bien d'une cicatrice résiduelle mais s'il ne trouve pas de sang dans mes urines ?
Avez vous déjà eu cela ? Savez vous ce que cela pourrait être ?
Merci beaucoup de votre aide et de votre soutien à travers ce forum.
Bon courage à tous
Campeonissimo
Salut cher compratiote Prostaticien.
Je rédige un message car je suis très certainement en période de rechute. J'ai déjà connu une prostatite aiguë qui s'est chronicisé et qui a mis un an et demi à se calmer. À ce moment-là, j'avais fait tous les tests possible et on avait rien trouver (pas de sténose non plus, j'avais fait cystographie et examen rétrograde de contraste RAS). C'était il y a 6 ans. J'ai ensuite connu une période d'accalmie avec quelques petites rechutes dû au stress notamment que j'arrivais à gérer en quelques jours. Et depuis quelques mois et suite à de nouveaux rapports intenses, rechute. Rebelotte. J'ai remis en place mon protocole mais je galère. J'ai refais toute une série d'examen classique, on ne retrouve rien, pas de germe ni quoi que ce soit. Je sais que la zone est fragile désormais et que je vivrai avec cela toute ma vie. Le plus handicapant sont les douleurs urétrales distales. Lorsque je fais une miction mon jet peut être tantôt spiralé tantôt droit et fort, des fois plus faible et j'ai l'impression d'avoir l'urètre bien irritée. Mais il y a un nouveau symptôme qui m'inquiète, lorsque je m'essuie et que je presse un peu l'uretre pour faire sortir les quelques gouttes restantes, il y a avec comme des espèces de petits filaments noirs qui viennent l'urine résiduelle et je ne sais pas ce que c'est. Je peux les voir à l'oeil nu, ce n'est pas microscope et ça ressemble comme a des petits filaments. J'avais pensé à du sang coagulé et j'ai donc passé un ECBU et je n'ai pas hématies microscopique dans mes urines. J'avais pensé que cela pouvait venir d'une zone de la prostate enflammée mais aucune certitude ou bien d'une cicatrice résiduelle mais s'il ne trouve pas de sang dans mes urines ?
Avez vous déjà eu cela ? Savez vous ce que cela pourrait être ?
Merci beaucoup de votre aide et de votre soutien à travers ce forum.
Bon courage à tous
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MaladePasImaginaire
@Campeonissimo
Salut, j'avoue que ca a l'air flippant, une petite recherche sur google t'aidera à avoir des réponses, genre https://www.google.fr/search?q=black+string+in+urine
Ca parle effectivement de de potentiels caillots de sang.
axgtline
Bon conseiller
@Campeonissimo Franchement ce que je peux te préconiser c'est un massage prostatique à l'institut Fournier à Paris avec examen des germes directement dans le liquide prostatique et antibiotherapie dans la foulée pour savoir quel anthibio est efficace.
Je me suis guéri comme cela d'une protatite que j'ai trainée pendant plus d'un an (douleurs dans l'urètre et sensation de balle de golf dans le Q) avec d'inombrables examens ECBU prélèvement uretral, rdv chez plusieurs urologues memes des réputés en fait je me suis rendu compte que c'est des incompétents (c'est psychologique, vous aurez les douleurs a vie ...), du coup voilà j'ai pris les choses en main, apres de nombreuses recherches le seul examen valable pour voir ce qui a vraiment dans ta prostate c'est le test de STAMEY (examen du liquide prostatique).
En gros le médecin te met un doigt dans l'anus, presse trés fort sur ta prostate pour faire sortir le liquide par l'uretre qui et recuperé et analysé, pour moi c'était un streptocquoque du groupe B (germe commun a priori mais qui en grand nombre peut declenché des prostatites).
Il m'a mis sous Bactrim pendant 2 ou 3 semaines que j'ai pris en fait pendant 6, je me suis fait mon stock d'antibios moi même ( il faut taper fort le germe pour l'eradiqué) et les antibios mettent longtemps a penetrer la postate qui est comme un éponge.
Du coup j'ai fais 1 mois et demi de Bactrim et 15 jours d'Augmentin et je n'ai plus rien eu depuis 5 ou 6 ans tout est rentré dans l'ordre.
Bon courage
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EnideLucas
Vous avez raison de souligner à quel point cette maladie est mal comprise par l'entourage quand rien ne se voit à l'extérieur. Mais vos souffrances sont bien réelles et légitimes. Ne culpabilisez pas d'avoir besoin de vous arrêter ponctuellement pour vous soigner, votre santé doit primer.
Tenez bon Miguel, même si c'est une période très difficile, gardez espoir qu'une solution existe pour retrouver une qualité de vie décente. Votre courage et votre persévérance finiront par payer. Je vous souhaite bon courage et une issue favorable au plus vite.
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel